Exemple De Recit Utopique

Sujet : Quel est l’intérêt pour un auteur d’avoir recours à une argumentation indirecte ? Quelles sont les limites d’un tel procédé ? ------------------------------------------------- L’argumentation indirecte se rencontre dans l’ensemble des récits de fiction renfermant un enseignement pratique et moral. Au XVIIème et début XVIIIème siècles, cette technique d’argumentation est de plus en plus utilisée par beaucoup de très grands auteurs comme Molière, Voltaire ou encore Jean de la Fontaine.

désire qu’il n’ait rien de trivial ni d’extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » Le Taureau blanc. En effet, Voltaire définit le conte comme un récit d’aventures imaginaires mais qui donne l’apparence de la vérité, il souhaite conter de façon amusante des faits qui s’inspirent directement de la réalité et qui s’en éloignent peu. On peut dire ainsi que Candide rempli la fonction d’apologue, texte

biais du conte se plonge dans une histoire avec des lieux fantastiques ou exotiques. Cela lui fait découvrir de nouveaux endroits et décuple son imagination. Par exemple dans Candide de Voltaire les périples ouvrent de nouvelles perspectives et font découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux paysages. L'eldorado, un pays merveilleux et utopique où tous les hommes sont heureux charme, enchante et émerveille le lecteur. B) Les personnages ne sont pas très caractérisés. Le lecteur peut ainsi s'identifier

Littérature Introduction : L’Odyssée se compose de 24 chants. Au IXème siècle avant JC c’était un poème oral ; le récit sera fixé à l’écrit vers le VIème siècle, sous Pisistrate. L’Odyssée a été écrite par Homère, un poète grec qui était soit disant un aède aveugle. C’est un mythe qui nourrit la vaine romanesque. ** aède = conteur grec, c’est celui qui fait perdurer les mythes. C’est un poète itinérant qui chante des poèmes. Il improvise à partir de thèmes traditionnels ; il s’aide de ce

1503-1504 puis 1510-1515. a) Le merveilleux : pour mieux appréhender le monde Le principal ingrédient de l’imaginaire est évidemment le merveilleux ; sans lui notre imagination serait très limitée. A l’origine, le merveilleux était issu de récits religieux et païens grâce à l’intervention d’êtres miraculeux : dieux, anges, démons… au fur et à mesure il intervient dans les œuvres littéraires notamment dans les contes pour enfants. Le merveilleux décrit alors un monde situé dans le passé ancien

et metteurs en scène à la fois) dont la fonction est d'aider les héros à ouvrir les yeux sur eux-mêmes, à voir clair dans l'imbroglio de leurs états d'âme. Toute pièce de Marivaux est une longue marche vers l'aveu (le plus souvent d'amour) Exemple : Dans Le Jeu de l'amour et du hasard, Silvia prend le costume de sa servante Lisette pour mieux observer l'homme qu'on lui destine, Dorante, qui se présente sous l'habit de son valet Bourguignon. Tout le jeu repose sur l'amour-propre des deux

forme de lutte et utilisant l'incitation auprès de son public. Il n'est pas le seul à écrire ce genre de texte polémique. « Matin Brun »de Franck Pavloff est un court récit visant à faire comprendre à ses lecteurs qu'il faut régir en cas de politique totalitaire, arbitraire sous peine de devoir subir par la suite. Il y a de nombreux exemples défendant chacun une cause comme Renaud et sa célèbre chanson «Manhattan Kaboul» sur la guerre, et qui pouvait toucher n'importe quel homme non méritant de leur situation

des études sur les tentatives des adversaires du modernisme pour résoudre les problèmes qui en résultent dans leurs propositions antithétiques. Le mouvement moderniste messianique s'est efforcé de repartir à zéro et de construire la nouvelle ville utopique. Cependant, Rowe et Koetter affirment qu'une "conception retard de la science et ... reconnaissance réticents de la poétique" 1 conduit à l'échec de ces propositions d'aménagement urbain. Dans une réaction post-moderne à cette approche «totale-design»

chapitre 25 au chapitre 58A faire dans votre cahier de lectures pour le : mercredi 20 octobre Les enjeux de cette dernière partie du romanRabelais, et son narrateur Alcofribas Nasier, ne renoncent pas au comique : il est encore très présent, tant dans le récit de la guerre (où le comique gigantal et carnavalesque, lié notamment au personnage très développé de frère Jean, permet, en la rendant énorme, de réréaliser la violence, et l’univers chevaleresque de la « prouesse ») que dans la satire du monde médiéval

Rabelais en montrant comment il a enfoui la « substantificque mouelle » de sa réflexion et de sa pensée dans un récit inventif aux accents burlesques. Après avoir, dans un premier temps, montré en quoi il rend compte dans son œuvre de son siècle, de ses interrogations, de ses débats, nous analyserons dans un deuxième temps comment le Gargantua met ce sens en œuvre par le biais d’un récit imaginatif qui offre au lecteur un ensemble de métaphores, de symboles, d’allégories qu’il faut décrypter. Mais