Explication De Texte Nietzsche Le Besoin Nous Contraint

année Directeurs de l’enseignement : Prs Patrick Hardy & Emmanuel Hirsch Directeur de recherche : Emmanuel Hirsch | | |D’UN BESOIN D’ÉTHIQUE | Mémoire pour l’obtention Du Master Éthique, science, santé & société Présenté parXXX Année universitaire 2008-2009 Travail réalisé

auteur : Michel Bernard Michel Bernard. La chair et le verbe « Nature », culture et éducation Jacques Gleyse Résumé | Index | Plan | Texte | Bibliographie | Citation | Auteur Résumés FrançaisEnglish Michel Bernard est l’un des auteurs phares du champ de l’Éducation physique pour ce qui concerne les approches philosophiques et anthropologiques du corps. Le texte cherche à résumer son œuvre de manière synthétique et à en extraire les axes les plus forts. Il semble que l’une des clefs de cette œuvre

paume avec la promesse de ne pas se séparer avant de se doter d’une Constitution. Toutes libertés sont soumises au respect des droits de l’homme. Les droits de l’homme sont comme le bonheur, on n’en conscience que lorsqu’on l’a perdu. Nous avons besoin du droit pour nous épanouir mais pas n’importe quel droit. L’idée la plus répandue est que le droit limite, restreint, interdit. Mais le droit est un instrument pour assurer la liberté de chacun. « Libre dans l’égalité et égaux dans la liberté »

ou à l'importance qu'accorde la philosophie analytique de nos jours à la rigueur et à la clarté argumentatives. Malgré cette tendance profonde, la philosophie contemporaine a vu se développer une critique radicale de la raison, que ce soit chez Nietzsche, Heidegger, ou encore Adorno : la rationalité même s'est donc trouvée mise en débat par la philosophie.[16] La méthode est un ensemble de prescriptions relatives au déroulement optimal d'une activité. Cette dernière peut être soit une pratique collective

il faut agir sans contrainte, alors c’est impossible car il est juste contradictoire de vouloir contraindre quelqu’un à agir sans contrainte, puisque le fait qu’on le contraigne excluant qu’il ne soit pas contraint, l’individu qu’il puisse agir librement. Mais si agir librement c’est agir en conformément à une règle alors c’est possible puisque le fait qu’on contraigne quelqu’un à suivre une règle implique qu’il la suive et par là qu’il agisse librement. Le problème c’est que l’on peut être contraint à une règle

relevant de la troisième catégorie de la modalité après les jugements assertoriques et les jugements problématiques. | apollinisme | Désigne la mesure, la sérénité, l’harmonie et la belle apparence.* À partir de la référence à la tragédie grecque, Nietzsche pose l’antagonisme de deux forces naturelles que sont l’apollinien et le dionysiaque : « Expériences psychologiques fondamentales : le mot d’apollinisme désigne la contemplation extasiée d’un monde d’imagination et de rêve, du monde de la belle apparence

est à la fois dans la réalisation et dans la connaissance de la liberté. Dans l'Antiquité L'Homme n'est pas libre et les philosophes ne voient pas clairement qu'ils devraient l'être. Le Christianisme comprend cette exigence mais en propose une explication qui n'est pas encore pleinement rationnelle. La philosophie marque donc à son tour une étape en éclairant la production de la liberté, elle participe elle même à cette production. Connaître le sens de l'histoire c'est achever le processus de l'histoire

On considère qu'il est mauvais, périlleux de laisser le juge ordinaire examiner tout ce qui aurait à voir avec le bloc exécutif ou législatif. Ce n'est pas une approche critique, mais épistémologique. Ce que l'on cherche à décrire est que l'on a besoin de tenir compte de ce type de phénomène pour comprendre le droit. Ce phénomène de dérogation produit des effets relativement surprenant pour le profane. Par exemple, si la décision d'un ministre aboutit à la destruction de la maison de famille. Pour

personnalité de l’etre, incertitude et difficulté de renoncer, 1. Comment la loi morale se trouve-t-elle donner ? Réponse banale : la loi morale fournit une norme pour agir, et donc la loi se manifeste sur le plan pratique, de l’action, dans les texte de Kant un commandement à agir, loi comme norme de l’action. Malgré son évidence et son caractère totologique, elle apparaît hautement problématique d’un point de vue phénomologique, ne peut pas être celle qui se manifeste sur le plan de l’action.

« les dispositions naturelles ne devraient être développées complètement que dans l’espèce mais non dans l’individu ». L’homme, doué de raison, doit réaliser ses dispositions par le dépassement de sa vie brève : « il a besoin d’une série peut-être indéfinie de générations »3eme proposition : « La nature a voulu que l’homme tire entièrement de lui même tout ce qui dépasse l’agencement mécanique de son existence animale » → l’homme, grâce à sa raison et non