La moralité selon kant
I. Les paradoxes de la moralité
Selon Kant la moral est une intuition évidente qui s’impose à chacun, aujourd’hui une évidence donné a la conscience et sur le fait de la moral, nous essayons de construire des éthiques, rapidement la distinction entre moral et éthique est très dure . Ethique d’éthos = les mœurs. Moral = morales = les mœurs aussi. L’étymologie ne peut rien apporter. Sur les pratiques philosophiques peut être une différence, des titres d’ouvrage philosophique comme l’éthique a nicomaque ou l’éthique de spinoza, fondement des mœurs chez Kant, des lors que qqchose s’impose a la conscience, qqchose qui vient poser des limite, qui est en elle, on parle d’éthique toutes les fois ou l’on prend en compte la recherche de la vie bonne, d’une vie articulé a des valeurs d’humanité, conduite qui recherche le bien, et qui ne sont pas pensées comme contraignante, une quête plutôt de la vertu, de ce qui est vertueux, plutôt que de la moralité. Notion d’éthique = une recherche de règles et de valeurs pour conduire l’action vers une forme d’excellence. Difficulté a defenir ce qu’est l’ex cellence humaine et normer les pratiques d’humanité, une expérience éthique dans la quotidienneté, inquiétude , comité d’éthique = preuve de l’absence d’éthique et la volonté de normer et de ne pas détruire une humanité dont on apelle a se représenter ce qu’elle doit être.
L’éthique n’a plus la notion qu’elle avait avant, plus présupposé. Une époque d’agnoticisme éthique, l’existence d’une évidence de la loi morale n’est plus la notre mais inquieter des conduites qui risque de compromettre la dignité la personnalité de l’etre, incertitude et difficulté de renoncer,
1. Comment la loi morale se trouve-t-elle donner ?
Réponse banale : la loi morale fournit une norme pour agir, et donc la loi se manifeste sur le plan pratique, de l’action, dans les texte de Kant un commandement à agir, loi comme norme de l’action. Malgré son évidence et son caractère