Explication De Texte Philosophie Lucrèce

@ Ernst Viktor ZENKER HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE CHINOISE Un document produit en version numérique par Pierre Palpant, collaborateur bénévole Courriel : ppalpant@uqac.ca Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l’Université du Québec

de redonner un peu de chair à ces maigres squelettes décharnés : c’est de retourner au plus vite aux textes. 2 PREMIÈRE PARTIE COMMENTAIRES COMPOSÉS (durée de l’épreuve : 4 heures) Rappel de quelques principes généraux : L’explication de texte demeure le passage obligé vers le commentaire, et ce dernier ne diffère de l’explication que par la façon de rassembler et de présenter les résultats : la même démarche empirique s’impose, la même attention au détail, le même souci de s’appuyer sur

tu ne m'aimes pas. Quand on aime, on veut le bonheur, pas la douleur. - Quand on aime, on ne veut qu'une seule chose : l'amour, même au prix de la douleir. - Alors, tu me fais souffrir tout exprés ? - Oui pour m'assurer de ton amour. " La philosophie du Baron se refusait à la suivre dans cette voie : " La douleur est un sentiment négatif. - L'amour est tout. - La douleur doit être combattue. - L'amour ne se refuse à rien. - Il est des choses que jamais je n'admettrai. - Mais si, tu les

des bois, les trois séries de La Légende des siècles, Notre-Dame de Paris, Les Misérables, Les Travailleurs de la mer, Ruy Blas, Hernani, Lucrèce Borgia, Marie Tudor, Lettres à la fiancée, Correspondances[2]. La fréquence des mots fait l'objet de comparaisons à partir d'un calcul dit par "écart réduit". Cet écart est calculé en faisant l'hypothèse que le texte où la fréquence du mot est étudiée se comporte comme l'ensemble du corpus de référence. Les chiffres donnés par Etienne Brunet établissent

Qu’est-ce que la littérature ? En premier lieu, pour pouvoir répondre pertinemment à la première question, il nous faut faire un détour du côté de la définition du terme. Nous allons tenter également de faire la distinction entre un texte littéraire et un texte non littéraire ou plutôt entre le langage littéraire et le langage scientifique. Etymologiquement parlant, le mot littérature (attesté en français vers 1121) vient du latin littera, qui a donné « lettre », puis litteratura, « écriture »

; les Anciens étant les classiques, en l’occurrence Boileau et tous les dogmatistes du XVIIe siècle. Dans cette querelle, l’argument essentiel des Modernes est que, depuis l’Antiquité, l’humanité a progressé. Les Mathématiques, la Physique, la philosophie même du siècle de Louis XIV sont supérieures à celles des Anciens ; car chaque génération profite des découvertes faites avant elle et les complète. Tout ce qui dépend de la Raison, doit nécessairement se perfectionner avec le temps. Or pour Perrault

de produire des idées. C’est ainsi que c’est sur cette idée d’homme que les révolutionnaires établissent les droits de l’Homme. Cette liste serait celle des invariants : la religion, par exemple, définit les hommes comme créatures de Dieu et un texte comme la Genèse assigne une certaine orientation anthropologique dans la mesure où le mythe renvoie à une situation originelle, aux fondements de ce qu’est l’homme dans son existence. En conséquence, cela décrit l’avènement d’une nature originelle

|Roman personnel | |Pacte de sincérité établit avec le lecteur |Couvert d’un personnage extérieur, l’auteur se masque | |Texte qui paraît souvent de façon posthume |Publié du vivant de l’auteur | |Récit chronologique d’une vie |Peut prendre la forme du psychorécit

rythmes de changement de décors ou à modifier son texte au gré des répétitions, selon les possibilités des acteurs, ce qui était d'ailleurs une pratique courante. Ce déferlement de procédés de mise en scène provoque la réaction du discours critique, qui tantôt déplore la mise au second plan du verbe derrière le visuel, tantôt se fait plus intellectualiste, et voit dans la mise en scène une distraction qui éloigne de l'essentiel: la poésie du texte, les plaisirs de l'imagination. Tout semble conduire

le bouffon méchant. Ce sont des personnages à psychologie sommaire auxquels il manque la complexité qui les aurait rendu vraisemblables. L’essentiel pour Victor Hugo c’est d’illustrer telle ou telle thèse morale comme il le dit dans la Préface de Lucrèce Borgia. Ses personnages sont des symboles: Ruy Blas c’est le peuple, Maria de Neubourg c’est la femme. Fortement influencé par le mélodrame, il y emprunte des sujets extraordinnaires et invraisemblables, l’intrigue compliquée dominée par la fatalité