Explication Les Deux Amis La Fontaine

anonyme ait fait paraître un ouvrage intitulé : Les grandes et inestimables cronicques du grant et énorme géant Gargantua, contenant la généalogie, la grandeur et force de son corps, aussi les merveilleux faicts d'armes qu'il fist pour le roi Artus. Deux ans plus tard, il reprit à sa manière l'histoire de Gargantua, sous la forme d'une libre adaptation des Cronicques. Il n'est pas d'ouvrage qui ait donné lieu à plus d'interprétations et de commentaires que celui de Rabelais. On y a vu un livre à

La Princesse de Clèves Le contexte En mars 1678, La Princesse de Clèves paraît sans nom d’auteur à Paris, imprimée par Barbin, l’éditeur de La Fontaine (1668-1694). Racine vient de faire jouer à la Comédie française la plus célèbre de ses tragédies, Phèdre (1677). Louis XIV règne à Versailles et fait triompher la France en Europe, grâce à la paix de Nimègue qui, signée le 10 août 1678 avec les Provinces-Unies, met fin à la guerre de Hollande: l’Espagne, maîtresse jusque la du nord de l’Europe

Le solex Définition : Solex du nom de VéloSolex : cyclomoteur dont la roue est entraînée par un galet. En 1905, création de la société Solex (par Maurice Goudard (1881-1948) et Marcel Montesson (1884-1976), tous les deux centraliens) qui fabrique des radiateurs centrifuge, puis des carburateurs. Cette entreprise était aussi connue pour son cyclomoteur, le Vélo solex. En 1906, premier grands succès pour Solex, qui gagne l'appel d'offre lancé par la Compagnie Générale

chapitre 19). Dressez son portrait physique et psychologique : il s’appelle Bruno ; on ignore son âge (on apprend p. 28 qu’il a neuf ans) ; il n’est pas décrit physiquement (mais on apprend p. 28 qu’il est de petite taille pour son âge) ; il vit avec ses deux parents et sa sœur Gretel, avec laquelle il ne s’entend pas très bien ; il est issu d’un milieu social aisé (bonne, majordome, cuisinière) ; respecte ses parents (Mère, Père) et les domestiques; il a un père militaire (uniforme épatant) ; il a reçu

devenue un ornement artificiel. En se faisant une me grecque, Chnier allait renouveler la doctrine classique de limitation. Bientt Mme Chnier vint habiter Paris avec ses fils, Andr et Marie-Joseph. Leur vocation potique sveilla trs tt, car ils ont tous deux pu sinitier de bonne heure aux questions littraires et esthtiques dans le salon de leur mre qui recevait des potes comme Lebrun-Pindare, des artistes comme David et des savants. Andr Chnier fit de brillantes tudes au collge de Navarre (1773-1781)

s’absente et revient en criant au vol et prévenant ses clients que des questions vont leur être posées jusqu’à ce que quelqu’un avoue le crime. Gil Blas s’enfuit, le muletier viole une des femmes du voyage, lui, se trouve dans la campagne rencontre deux hommes à cheval à qui il raconte ses aventures et qui l’amènent à un souterrain, les yeux bandé. Chapitre 4 : Description du souterrain, et quelles choses y vit Gil Blas Souterrain : écurie, cuisine, chambres (or, soie, toile, armoiries, vaisselle…)

évident que le centre de l'enfer va être un cauchemar pour tous ceux qui vont entrer. Le fragment tiré du "Cid" de Corneille (p. 136-137) et le fragment tiré de "Phèdre" de Racine (p.156) mettent en scène deux personnages qui se trouvent devant un choix. En quoi consiste le tragique de ces deux situations ? Dans l'extrait « Ô Dieu, étrange peine !, » du « Le Cid, » un œuvre par l'écrivain Pierre Corneille, la tragédie vient du choix que le héros Rodrigue doit faire. Il a l'option pour plaire à son

le rôle des perssonages joués sur scène dans le pièce de téâthre. Le récepteur: n´est pas le lecteur lui-même car le mesage peut s´a dresser à un perssonage fictif ou réel particulier. Les moyens d´interprétation sont multiples, On peut distinguer deux tendences principales: 1- On peut situer le texte dans son context historique, social en tenant compte de la vie de l´auteur, de son évolution. 2- Ou bien, On peut considérer l´oeuvre telle qu´elle est en la analyssant ses aspects stylistiques

et le lecteur. Le poète apparaît comme celui qui montre, le lecteur regarde ce qui est montré, et ce qui est montré est une certaine image, que Ton voit bien entendu dans un cer tain miroir. Voilà le schéma de notre image. Nous la chercherons dans deux parties de l'œuvre du poète, très différentes, et assez éloignées dans le temps l'une de l'autre. D'abord nous essayerons de discerner le sens de cette image à trois moments successifs de ce qu'on peut appeler la belle époque ou (si l'on préfère) la

Problématique : la question de l’altérité : Jusqu’à quel point considérer l’autre comme mon semblable ? Lectures analytiques : La Fontaine « Le loup et le chien » Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, le discours du vieux tahitien. Amin Maalouf Les identités meurtrières. Jean-Paul Sartre, Huis Clos, dénouement. Lectures et activités complémentaires Deux textes pour appréhender le genre de l’essai : Montaigne, Essais, « Sur Démocrite et Héraclite », I, L, (1588 -1592). Paul Valéry, Regards