Explication Texte Bergson Vérité

qui ils sont. Dès lors, la recherche identitaire devient le point d’ancrage de l’œuvre. L’homme serait un imposteur sans même le savoir. Cependant, savoir s’il s’agit ou non de Donald et d’Elisabeth ne modifie en rien la suite des évènements. La vérité n’a ici, pas d’importance ou seulement celle que le lecteur veut bien lui accorder. L’erreur imprègne l’œuvre tout comme elle imprègne le monde. Dans La cantatrice chauve, les personnages n’ont qu’un nom de famille, ils sont privés d’un prénom mis

Figures de l'irrationnel Portraits du dégénéré en fou, en primitif, en enfant et finalement en artiste. Stéphane Legrand Résumé | Plan | Texte | Notes | Citation | Auteur Résumés Français English Cet article traite du concept de « dégénérescence », importé dans la psychiatrie française par Benedict-Auguste Morel dans les années 1850, et largement diffusé par la suite, dans ce champ ainsi que dans celui de la criminologie. On tente d’analyser la reconfiguration qu’impose ce concept au savoir

important-essentiel, interrogations-valeurs, l’absolu et la vérité, la liberté et la sagesse. La philosophie confrontée à la place de l’homme dans le monde Philosopher, c’est se poser des questions : questionner et se questionner = démarche indispensable au départ d’une recherche. Chacun doit trouver ses propres réponses, ces réponses ne sont pas démontrables (comme en sciences), mais elles sont plutôt de l’ordre de l’absolu et de la valeur ; là où la vérité se cherche et se montre (plutôt qu’elle ne se

il est possible de dire que ces deux auteurs ont entretenu une controverse ontologique (I), c'est-à-dire sur la manière de concevoir le droit et la réalité juridique, et épistémologique (II), c'est-à-dire sur les méthodes juridiques et la notion de vérité. I – UNE CONTROVERSE ONTOLOGIQUE A- L’OBJET DE LA CONTROVERSE Avant le XIXème siècle, la question des sources du droit ne s’était guère posée. En effet, le droit étant, au moins depuis Rome, l’art ou la science du juste et de l’injuste, il ne faisait

grands. Comparer c’est relativiser. En philosophie, l’absolu désigne le terme final de la quête de la connaissance. La connaissance de Dieu – à supposer qu’elle soit possible ici-bas – nous permettrait d’atteindre une vérité absolue, une vérité qui n’est pas relative à chacun, une vérité qui donne la raison d’être – et non une possible raison d’être – de toutes choses. La partie de la philosophie qui s’efforce d’atteindre ainsi Dieu, et la raison d’être de toutes choses, est la « métaphysique ». Le

offrent des modèles utilisables dans le domaine artistique. Elles sont exemplaires par la démarche même de ces deux scientifiques qui n'hésitent pas à renverser des barrières séculaires entre science et philosophie, à faire dialoguer Boltzmann et Bergson, Schrodinger et Zenon pour poser la question de l'irréversibilité du temps (1979, 1988). On pense aussi aux travaux de Jacques Monod, de René Thom. Ce n'est précisément que dans cette pluralité des approches qu'il est encore possible de penser la

entre philosophes et scientifiques. Qu’est-ce qui diffère actuellement entre le philosophe et le scientifique ? Philosophe Scientifique * réflexion sur l’homme * totalité du réel * analyse réflexive * interprétation phénomène * sens * explication des phénomènes naturels * partie du réel * démarche expérimentale * constatations, hypothèses et vérification * causes Ainsi (Leibniz) le philosophe étudie pourquoi et la science comment. Les différences entre philosophe et science s’étudient

dans la représentation de lui-même  ? Si la connaissance a pour ambition d’accéder à une objectivité, le problème de la conscience de soi est que le sujet et l’objet se confondent. La représentation pourra alors être suspectée  : puis-je dire la vérité sur moi-même ou bien ne suis-je pas tenté de me représenter dans une perspective qui me satisfasse  ? Si la connaissance requiert une position d’extériorité et d’impartialité, ce seront plutôt les autres qui seront les plus à même de me connaître

Commentaire d'un texte tiré des Dialogues de Gilles Deleuze et Claire Parnet :  De « Individus ou groupes, nous sommes faits de lignes, et ces lignes sont de nature très diverse » (page 151) à « Ce que nous appelons de noms divers - schizo-analyse, micro-politique, pragmatique, diagrammatisme, rhizomatique, cartographie - n’a pas d’autre objet que l’étude de ces lignes, dans des groupes ou des individus. » (page 153) (début du chapitre IV, première partie)                                    

creuse entre une forme et un sens, ouvert à un autre sens qu'il appelle sans le nommer. Mais la littérature tout entière - lettres, lignes, pages, volumes - ne dessine-t-elle pas comme une immense figure, toujours parfaite, jamais achevée, dont le texte immédiat parlerait, interrogativement, pour une signification plus distante - plus que distante - et n'offrant à déchiffrer, comme une trace sur le sol, que l'évidence de son retrait? AUX ÉDITIONS 9782020019330 DU SEUIL ISBN2-02-001933-7/ImpriméenFranceS