Explication Titre Les Fleurs Du Mal

1er2-textes pour bac-en cours- avril-élève-avec mouvements.pagesObjet d’étude I : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle, parcours : alchimie poétique : la boue et l'or ! A. L’œuvre : Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire 1. « Au lecteur » (extraits) 2. « Correspondances » 3. « Une Charogne » (extraits) B. Le parcours. Alchimie poétique : La boue et l’or 4. Aragon, « C », Les Yeux d’Elsa (1942) 5. Francis Ponge, « l’huitre », Le Parti pris des choses (1942)
 C. Lectures cursives

jusqu’arriver au réalisme et plus concrètement au réalisme romantique. Finalement, nous expliquerons le troisième romantisme, qui englobera le parnasse, le réalisme objectif, le naturalisme et la décadence du siècle, avec le symbolisme. Grâce aux explications et aux illustrations à travers l’analyse des œuvres, nous aurons une vision plus exacte et configurée du XIX siècle. Terme et caractéristiques du Romantisme Le terme Romantisme apparaît comme néologisme, comme adjectif calqué de l’anglais pour

prose sublimée. C’est de la prose qui se prète le plus au chant , à la poésie chantée. Voir ChateauBriand, Rousseau. Le poème en prose c’est un texte en prose mits en poésie sans utiliser les règles de la poésie (en théorie). Voir « Les fleurs du mal » de Baudelaire. Se libérer du vers Le poème en prose exprime une révolte contre la loi de la métrique (longueur des vers) et la loi de la prosodie (mélodie). Hugo mets en question l’Alexandrin qui ne permet pas la liberté d’expression et

Route barrée : travaux. La route est barrée parce qu'il y a des travaux. -> Le participe présent : Ex : Le trafic étant trop dense, je reportai mon départ. -> La conjonction de coordination "car", qui énonce une affirmation et non pas une explication. Ex : Il est absent car il a de la fièvre. -> Un adverbe : tant - tellement, en effet. Ex : La rivière est sortie de son lit tellement il a plu. -> La conjonction de subordination : comme, puisque, parce que , étant donné que, d'autant plus

l’écart des biographes qui ont donné une importance, certes démesurée aux femmes réelles de la vie de Baudelaire, cette étude se donne pour but d’étudier l’image de la femme dans l’oeuvre du poète. Dans cette oeuvre même, ce sont essentiellement Les Fleurs du Mal et les Petits Poèmes en prose sur lesquels nous nous focaliserons. Il est certain que la femme tient une place importante dans tous les écrits de Baudelaire et tout particulièrement dans Fusées et Mon coeur mis à nu, mais c’est avec le thème

adultes puisqu’en tant que lecteurs actifs, ils participent à la construction du sens. Même un enfant est capable de comprendre que derrière «  La Cigale et la Fourmi », La Fontaine a caché des caractères propres aux personnes. Les majuscules dans le titre de la fable personnifient d’ailleurs ces animaux. La Cigale « ayant chanté tout l'été » va alors représenter les personnes qui, oisives et insouciantes, joyeuses, ne se soucient pas du lendemain. La Fourmi, au contraire, va représenter les personnes

compris par la majorité des lecteurs, et même si possible par les enfants. Le poème ne doit réclamer aucune explication en dehors de lui-même. Exception : dans le cas d'une série de poèmes liés entre eux d'une façon ou d'une autre ou faisant partie d'un recueil ou devant faire partie d'un recueil à venir, on admet que l'ensemble de la série, le thème, le contexte de la série ou l'éventuel titre de celle-ci, puissent compléter ou éclaircir ce que l'un ou certains poèmes de cette série laissent dans l'ombre

devant moi (du latin objectum : « placé devant ») : il peut s’agir soit des objets extérieurs qui se donnent dans l’espace à la perception sensible, soit des objets intérieurs (« états d’âme » ou perceptions corporelles) qui passent et qui à ce titre doivent être distingués du sujet qui, lui, ne passe pas (du latin subjectum : « ce qui est jeté dessous », « se tient en dessous », « subsiste »). Mais cette relation du sujet à un objet est-elle une donnée, un état que l’homme découvre en lui

de cette besogne sur d'autres. Mais j'avais raison dans la majorité des cas, car ceux qui se conduisent de la sorte et laissent ouvertes derrière eux les portes qui séparent la salle d'attente du médecin de son cabinet de consultations sont des gens mal élevés et ne méritent pas un accueil amical. Ne vous prononcez cependant pas avant de connaître le reste. Cette négligence du patient ne se produit que lorsqu'il se trouve seul dans la salle d'attente et qu'en la quittant il ne laisse personne derrière

clandestins, pour qu'ils soient merveilleux, ne méritent presque pas d'être crus : les faits publics, contre lesquels on n'a point réclamé dans le temps ou contre lesquels il n'y a eu de réclamations que de la part de gens peu nombreux et mal intentionnés ou mal instruits, ne peuvent presque pas être contredits. Voilà une partie des principes d'après lesquels on accordera ou l'on réfutera sa croyance, si l'on ne veut pas donner dans des rêveries et si l'on aime sincèrement la vérité. Diderot