Explications Danse Macabre Baudelaire

historique : quand ils représentent un ancien lieu-dit, ou social : dans la mesure où ils visent à commémorer tel personnage, tel événement (rue Victor-Hugo, rue du Quatre-Septembre...), nous n'avons indiqué que celles de ces listes qui fournissent des explications sur les circonstances des dénominations. Quant aux formes anciennes des noms de lieux, on les trouve, bien entendu, dans les dictionnaires topographiques et ceux-ci ont été systématiquement relevés ; mais d'autres ouvrages en fournissent, notamment

: l’actionnaire ne cherche pas à connaître les causes de la situation mais d’entrée de jeu, n’est intéressé que par les solutions à trouver. C’est paradoxalement une aide et une solution qu’il attend des auteurs mêmes de la crise, plus que des explications. Le management et l’histoire Pour concilier les deux approches causale et solutive de la résolution de problème, posez régulièrement comme Foch la question : « De quoi s’agit-il ? » 10 LES MÉNINGES POUR INNOVER ÊTRE CRÉATIF ET SE REMUER

: l’actionnaire ne cherche pas à connaître les causes de la situation mais d’entrée de jeu, n’est intéressé que par les solutions à trouver. C’est paradoxalement une aide et une solution qu’il attend des auteurs mêmes de la crise, plus que des explications. Le management et l’histoire Pour concilier les deux approches causale et solutive de la résolution de problème, posez régulièrement comme Foch la question : « De quoi s’agit-il ? » APPRENDRE À APPRENDRE RIVAROL 37 10 ÊTRE CRÉATIF ET SE REMUER

: l’actionnaire ne cherche pas à connaître les causes de la situation mais d’entrée de jeu, n’est intéressé que par les solutions à trouver. C’est paradoxalement une aide et une solution qu’il attend des auteurs mêmes de la crise, plus que des explications. Le management et l’histoire Pour concilier les deux approches causale et solutive de la résolution de problème, posez régulièrement comme Foch la question : « De quoi s’agit-il ? » 10 LES MÉNINGES POUR INNOVER ÊTRE CRÉATIF ET SE REMUER

ces trois axes modaux (prospective, constative et factitive) ne vont pas de soi, cependant. L’appartenance de je dois à côté de je veux, en tant qu’impulsion, ou la présence de je crois et je promets parmi les constatifs appelleraient quelques explications pour être acceptables. Elle est également à la base des modes : –––––––––––––––––> | –––––––––––––––––> – subjonctif indicatif + et des « liens modaux » : –––––––––––––––––> | –––––––––––––––––> – si : hypothèse que : thèse + Je ne me souvenais

modifient la vision de la mort, associée désormais à la putréfaction et à la dégradation physique du corps. ■ L’art exprime ces nouvelles conceptions. Ainsi, la fresque du cimetière des Innocents à Paris, achevée en 1425, lance la vogue des danses macabres. Dans ces peintures, la mort, représentée par un cadavre décharné ou un squelette, invite dans une folle farandole les hommes 58 © Groupe Eyrolles Art de la Mort XVe : les Français et leur temps Chapitre 2 et les femmes de tous âges

étonnamment peu, laissant seulement une petite piscine de sang noirci. Le doigt gauche de l'index de Saunière était également sanglant, après avoir été apparemment plongé dans la blessure pour créer l'aspect le plus déstabilisant de son propre lit de mort macabre ; en utilisant son propre sang comme encre et utilisant son propre abdomen nu comme toile, Saunière avait dessiné un symbole simple sur sa chair — cinq lignes droites qui ont intersecté pour former une étoile cinq-aiguë. Le pentacle. L'étoile sanglante

siècle Histoire Sous la direction de Pascal ZACHARY Lycée Henri-Poincaré, Nancy (54) 1 res L/ES/S Géraldine ANCEL-GÉRY Lycée Charles-Baudelaire, Cran-Gevrier (74) Yannick COURSEAUX Lycée Frédéric-Chopin, Nancy (54) Emmanuelle IARDELLA-BLANC Lycée Christophe-Colomb, Sucy-en-Brie (94) Pascale JOUSSELIN-MISERY Lycée Charles-Baudelaire, Cran-Gevrier (74) Sahondra LIMANE Lycée Albert-Schweitzer, Le Raincy (93) Emmanuel MOUREY Lycée Jacques-Callot, Vandœuvre-lès-Nancy (54) Vesna NINKOVIC

bienfaiteur? Ces morts que s’approprient l’auteur prouvent qu’il existe entre eux une relation « d’intimité »; le terme « morts » est repris plus loin, mais l’association avec « têtes » produit une expression (« des têtes de morts ») qui dénote du registre macabre. Il est intéressant de remarquer que le romancier semble également évoquer le rapport qu’il entretient avec la langue; en effet, quand il écrit : « Pour des mots. Qui soient des têtes de morts. » N’insinue-t-il pas qu’il se fait le porte-parole de

l'apparition. Toute « l'exposition du monde » de la partie première jouait en préparation, ou plutôt en doublage, de « l'exposition d'une âme », à la recherche d'une légitimité délicate à établir. « Si le mot âme, écrit Hugo, prononcé ici avant toute explication et tout raisonnement, semble peu rigoureux et au moins prématuré aux amis des déductions correctes, mettez que nous n'avons rien dit 29. » C'est avouer, mais ne pas avoir les moyens de justifier, une nécessité intime porteuse de l'intervention