Exploration polaire

(a ; b) et de coordonnées polaires r et 1. Donner les relations liant a, b, r et  . 2. est le vecteur directement orthogonal à . a. Donner la définition de . b. En déduire ses coordonnées polaires en fonction de r et . c. En déduire ses coordonnées cartésiennes en fonction de a et b. ------------------------------------------------- EXERCICE bonus. Lieu de points. Dans un repère orthonormé positif : Déterminer l’ensemble des points de coordonnées polaires (; ) pour [0 ; /2]

coordonnées : a. (3, – 2) b. ( –3 ; 2) c. (– 3 ; –2) 6. Dans un repère orthonormal (O ;[pic]), le point M a pour coordonnées cartésiennes le couple (– 1 ; –[pic]), ses coordonnées polaires dans [pic]sont : a. [pic] b. [pic] c. [pic] Exercice n°2 ( points) Soit

distances sur les méridiens. 3. Différents types de projections A. Projection cylindriques. Deux exemples : a) La projection cylindrique équidistante. C'est la plus simple. La projection consiste simplement à considérer les coordonnées polaires de latitude et longitude comme des coordonnées cartésiennes. Les méridiens, comme les parallèles sont des droites parallèles entre elles espacées de manière égale, et les parallèles sont aussi projetés sur des lignes horizontales équidistantes

trigonométrique Soit θ ∈ R \ (π + 2πZ) et t = tan θ2 . Alors cos θ = 1 − t2 1 + t2 sin θ = 2t 1 + t2 Remarque. On parle de paramétrage rationnel puisque les coordonnées de tout point du cercle trigonométrique (excepté le point d’angle polaire π) s’expriment comme une fraction rationnelle (i.e. un quotient de polynômes) de la variable t. http://laurentb.garcin.free.fr 5 © Laurent Garcin 4 MPSI Lycée Jean-Baptiste Corot Equations et inéquations trigonométriques Equations

1-  INTRODUCTION La connaissance des caractéristiques mécaniques déduites de l’essai de traction peut être insuffisante, puisque des ruptures peuvent être obtenues en dessous de la limite élastique. Un des moyens pour caractériser la fragilisation d’un métal sous l’action d’un choc est l’essai de résilience. 2-DÉFINITION Les paramètres de ténacité (Si l'énergie à fournir pour produire une fracture dans une éprouvette est importante, on dira que le matériau est « tenace ».) déterminés par

:2014-2015 du domaine . Et donc Page 5 Remarque :  Si , on obtient  Cela permet d’utiliser les symétries : si par exemple alors . Changement de variable en coordonnées polaires : Soit telle que . Alors est de classe sur , et son jacobien vaut : Et donc Exemple : 1)Calculer en passant en coordonnées polaires où D représente le quart de la partie comprise entre les deux cercles centrés à l’origine et de rayons 1 et 2(anneau). D’où 2)Calculer le volume d’une sphère : et puisque la

est-elle réfractée lorsqu’elle passe de l’air à un milieu réfringent comme le verre. Matériel : -Boîte à rayons (une seule fente) -Morceau de verre semi-circulaire avec de l’alcool -Papier à coordonnées polaires Protocole : 1. Place le morceau de verre sur le papier à coordonnées polaires, comme il est illustré. La ligne 0ºC-180ºC tient lieu de normale et passe par le centre de la surface plane. 2. Braque un seul rayon lumineux sur la surface plane du verre, le long de la normale. Assure-toi

océanique dégradé ou continental tempéré T° été 16/18°C amplitude thermique moyenne hiver +/- 0°C P 800/1000mm/an ex : Zurich F-climat polaire T° hiver – plus faibles précipitation été court Antarctique plus froid et aride Arctique plus humide ex : Russie (Sibérie) R/ Banquise : sur l'eau Inlandsis : sur terre G- climat de montagne proche climat polaire MAIS Précipitation ++ versant exposé vent De l'autre coté effet de fœhn ex. Quito Vocabulaire Diamètre terre:12 742 km Rayon terre

...................... 15 III – LES AURORES POLAIRES, MANIFESTATION VISIBLE DES SOUS-ORAGES MAGNETOSPHERIQUES ...................................................................................................... 17 III, 1 – Evénement électromagnétique se situant du côté exposé au Soleil ......................... 17 III, 2 – Evénement électromagnétique se situant du côté opposé au Soleil ......................... 18 III, 3 – Les aurores polaires, phénomènes lumineux de l’ionosphère ........

 un repère cartésien lié à un référentiel que l’on note R. 1 - Définir les coordonnées cartésiennes (x, y, z) et les coordonnées cylindriques (ρ, φ, z) d’un point M. Quel est l’intérêt des coordonnées cylindriques ? Définir les coordonnées polaires. Donner les relations entre coordonnées cartésiennes et cylindriques. 2 - Définir une base locale. Exemple : définir la base locale cylindrique O ,e  ;e  ;e z  . Calculer les composantes cartésiennes des vecteurs de la base locale