Exportation Concertée

d’euros) et 2009. Donc, les échanges de services de la France sont plus rentable pour elle comparé aux échanges de biens. On peut aussi voir que l’Union Européenne est un grand exportateur mais aussi un grand importateur par les pourcentages où les exportations (61,2%) sont quasiment identiques que les importation (58 %).

distorsion entre modernisation socio-économique et immobilisme politique • Vis-à-vis de l’extérieur : la montée en puissance du pays inquiète ses voisins et fait naître des tensions avec le Japon, comme en avril 2005, l’Occident (cf. sur les exportations textiles) ; en Asie, l’ambition chinoise est contrecarrée par la forte présence du Japon et des États-Unis.

4 postes : - les opérations sur les biens (balance commerciale) - les opérations sur les services - les revenus des facteurs de production (salaires, dividendes, intérêts) - les transferts courants (dons) Au crédit sont enregistrés les exportations de biens et de service, ainsi que les entrées de revenus et les transferts reçus de l'étranger. Au débit sont enregistrés les importations de biens et de services, ainsi que les sorties de revenu et les transferts courants versés à l'étranger

1) Le solde commercial se calcule par la différence des exportations et des importations (exportations - importations) au cours d'une période déterminée, qui est le plus souvent un mois, un trimestre ou une année. Lorsque le solde est supérieur à 0, on parle d'excédent commercial, alors que s'il lui est inférieur, on parle de déficit commercial. Pour la France se solde commercial est souvent déficitaire sauf la période entre 2000 et 2002 suite à l’augmentation du prix du pétrole ou celle ci à moins

riches. II. L’appréciation du degré d’ouverture des principales économies émergentes Le degré d’ouverture est le taux de participation d’un pays au commerce international de biens et de services mesuré par le rapport entre la moyenne de ses exportations et de ses importations par rapport à son PIB. Dans l’annexe 4, est exposé le taux d’ouverture de quelques économies en pourcentage du PIB. Le taux d’ouverture de la Chine est passé de moins de 5% à 35 % en seulement 37 ans, c’est une augmentation

modification du « prix » de la monnaie nationale par rapport aux devises étrangères : une modification du taux de change.  Si BTC + BK > 0, cela signifie qu’il existe, au taux de change en vigueur, un excès de demande de monnaie nationale (les exportations de B/S + les importations de capital excède les importations de B/S + les sorties de capital)  Le taux de change de la monnaie nationale va s’apprécier et un retour à l’équilibre de BP.  Respectivement, BTC+BK

ECONOMIES L’ouverture des économies s’est accompagnée d’une interconnexion croissante des économies. La spécialisation des économies nationales accentue encore ces dépendances croisées. Nos spécialisations doivent renforcer les atouts de nos exportations afin de financer les importations des productions « délaissées ». Cette imbrication des économies lie le sort économique des économies nationales. Elle participe à la propagation de la croissance mondiale et à l’inverse explique la diffusion

effet si une devise est plus faible les biens exportés bénéficient de l'avantage de la faiblesse de cette monnaie et les biens exportés seront relativement bon marché.Le taux de change permet une augmentation des exportations or le mécanisme revient à l'équilibre quand les exportations provoquent une rentrée de devises conséquente qui induit l'augmentation de la monnaie. Ce système correspond à un système de flottement dit pur. La réalité actuelle repose sur ce principe pour trois monnaies ,le Yen

developpement atteignent un niveau de productivité et qu'ils réunissent des moyens nécessaires pour être concurrentiels sur le marché mondial. -Garantir que les bénéfices issus des exportation sont partagés entre tous et qu'ils contribuent à réduire les inégalités. -Faire en sorte qu'il y est une croissance des exportations des pays du sud , ce qui permettrait de retirer d'avantage de bénéfices du système de commerce international. -Promouvoir un commerce équitable -Améliorer les infrastructures,

main-d’oeuvre. • Le commerce extérieur chinois a progressé de près de 15% en moyenne annuelle entre 1980 et 2002, contre 5,8% pour le commerce international. Les échanges extérieurs prennent une place croissante dans l’économie chinoise. Avec des exportations et des importations qui atteignent plus de 22% du PIB en 2001, la Chine est un des grands pays en développement les plus ouverts au commerce international. En 2003, la Chine s’est hissée au 4ème rang des exportateurs mondiaux avec un volume