Exposé Blanchiment De Capitaux Au Maroc

aux employés de s’adapter aux conditions du marché et aux technologies nouvelles. 3. Une amélioration de la formation professionnelle qui, dans le cadre d’une nouvelle culture de l’employabilité, doit devenir permanente ; un investissement dans le capital humain, afin de disposer d’une main d’œuvre qualifiée, bien préparée et adaptable. 4. Un rôle actif des partenaires sociaux, qui privilégie les accords sociaux et aboutisse à des augmentations de salaires raisonnables. 5. Une flexibilité des marchés

La monnaie internationale 39. Les normes IFRS 40. Les principaux organismes internationaux 41. Le capital-investissement en France Demos PAGE 6 LISTE DES FICHES ITB > 2007 > 15 FICHES 1. Le marché financier 2. Le marché des actions 3. Le marché obligataire 4. Quelques produits financiers spécifiques 5. La négociation en bourse 6. Les bourses mondiales 7. EURONEXT 8. Les marchés de capitaux internationaux 9. Les risques de change et de taux d’intérêt 10. Le marché des changes 11. La couverture

Iran (cas d’islamisation forcée du système)……………………………………………..……….93 3. Bahreïn : l’autre pôle naissant de la banque islamique, en compétition âpre avec la Malaisie………………………………………………………………………..……………...……...98 4. Banque islamique : Qu’en est-il du Maroc ?.........................................................................102 Conclusion………………………………………………….…………………………………….……104 Bibliographie……………………………………………………………………….…………….........106 Webographie…………………………………………………….………………………………..……107 Annexes…………………………………………………………………

.................................... 172 173 175 176 176 177 178 178 179 180 181 183 184 184 185 185 187 188 189 189 191 192 193 193 194 194 195 195 196 197 197 199 201 203 © Éditions d’Organisation Chapitre 8. Éthique, corruption et blanchiment Le « cancer universel » de la corruption........................... Corruption, économie mondiale et gouvernance des États ......... Corruption et développement durable .................................... Les différentes formes de corruption.

fiel distillé, des attaques ad hominem ou des secrets inavouables. J’ai trop subi de pareilles bassesses pour m’y livrer à mon tour. En revanche, un système opaque est décrit de l’intérieur avec le franc-parler qu’abhorre la société de cour au Maroc pour qui la souplesse invertébrée et le verbe tarabiscoté tiennent lieu de raffinement et de subtilité. Pour ma part, je préfère être direct : je ne suis pas davantage le « prince rouge » que Mohammed VI n’est le « roi des pauvres

règlements et vigilance particulière à l’égard du blanchiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.4 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4. Le secret professionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5. La lutte contre le blanchiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.1 Les trois phases du blanchiment des revenus d’activités criminelles . . .

règlements et vigilance particulière à l’égard du blanchiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.4 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4. Le secret professionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5. La lutte contre le blanchiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.1 Les trois phases du blanchiment des revenus d’activités criminelles . . .

économique une fois retranché des revenus générés permet d’aboutir au numérateur du ratio RAROC. Utilisée pour définir à un horizon précis, le niveau des pertes maximales qui ne sera dépassé que dans une fraction faible des cas, la Value at Risk (capital économique) permet de définir le dénominateur du ratio. Le RAROC calculé est alors rapproché à une norme déterminée par les dirigeants de la banque afin de décider sur la profitabilité de l’opération. Des actions rétroactives à la prise de cette décision

    Price Waterhouse SARL s’est définitivement rétablie dans son droit d’utiliser le nom  PriceWaterhouseCoopers ainsi que le logo y afférent. L’arrêt de la Cour suprême, datant du  30 avril 2008, a mis fin au contentieux qui opposait PWC international à son ancien  partenaire au Maroc.         La plus haute juridiction du pays confirme ainsi la décision de la Cour d’appel de  Casablanca, d’octobre 2007, qui avait reconnu au cabinet marocain le droit de porter la  marque PriceWaterhouseCoopers et d’arborer le logo du réseau malgré le divorce prononcé 

règlements et vigilance particulière à l’égard du blanchiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.4 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4. Le secret professionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5. La lutte contre le blanchiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.1 Les trois phases du blanchiment des revenus d’activités criminelles . . .