Exposé Bâle Iii

Résumé : Dans le cadre de la nouvelle réforme de Bâle II, la Banque Marocaine de Commerce Extérieur a lancé de grands projets pour s’adapter aux nouveaux enjeux de la gestion de risque imposés par cette nouvelle réglementation ainsi que les défis caractérisant le marché financier international. L’objectif du présent projet de fin d’étude est la diversification du portefeuille de la BMCE et ceci via la quantification et la mise en place des limites de concentration de risque de crédit par

bancaires C- Baisse du taux de dollarisation des dépôts D- Poids des banques supérieur à celui de l'économie nationale E- Taux de croissance satisfaisant F- Expansion du secteur de l'immobilier G- Dynamisme du secteur touristique III- Les contraintes et les répercussions probables de la crise A- La dette publique B- La dépendance aux économies du Golf C- L'instabilité politique et sécuritaire du pays D- L'entrave au processus de la privatisation des services publics

trésorerie ESG – MBA Stratégie et Consulting - Mars 2010 Alain Lescombes - 38 - Partie III - : Avantages et limites de la titrisation III-1. Pour le(s) cédant(s). III-2. Les institutions financières et bancaires III-3. Les entreprises III-4. Pour les investisseurs III-5. Limites du marché de la titrisation ESG – MBA Stratégie et Consulting - Mars 2010 Alain Lescombes - 39 - III-1. Intérêt du cédant 1/2 Le cédant peut être : Un établissement de crédit ; Une compagnie d’assurance

abréviations………………………………………………………………… Introduction générale I/ Première partie : Mesure et maîtrise du risque opérationnel Chapitre1 : Maîtrise des concepts et du contexte réglementaire Section 1 : La réforme Mc DONOUGH/BALE II………………………………...11 Section 2 : Rappel du calendrier de Bâle………………………………………..26 Section 3 : Les différentes catégories du risque opérationnel………………..27 Section 4 : Les pratiques de saine gestion des risques opérationnels……....30 Section 5 : Les différentes approches du calcul des

Vendredi 16 Octobre Sommaire Introduction…………………………………………………………p3 I/ Contexte historique….............................................................p4 et p5 II/ Contexte socio-économique………………………………p6 et p7 III/ Contexte littéraire…………………………………………p8 à p16 IV/ Contexte culturel………………………………………p17 à p20 Conclusion……………………………………………………….…p21 Sources…………………………………………………………….p22 Introduction : Le XVIe siècle est un siècle de transitions dont l’histoire mouvementée

de la concurrence 9 Section 2: 12 2. la réglementation prudentielle internationale : bale I & bale II 12 2.1. Les normes prudentielles – Le Comité de Bâle 1 : de 1974 à 1998 Les premiers aboutissements: Le Ratio de Cooke 12 2.1.1. Le contexte de la création du Comité de Bâle en 1974 12 2.1.2. Les objectifs dédiés du Comité de Bâle 13 2.1.3. Les premiers aboutissements du Comité de Bâle : Le Ratio de Cooke 13 A- Le contexte de la création du Ratio de Cooke 14 B- Définition

Laval François Dufaux (Président du jury) Chargé d’enseignement à l’École d’architecture de l’Université Laval Denise Piché Professeur à l’École d’architecture de l’Université Laval Charles-Bernard Gagnon Architecte André Roy Architecte Page iii Essai (projet) Décembre 2008 Catherine Brulotte Avant propos Je tiens personnellement à remercier Denise Piché et Geneviève Vachon pour leurs supports et leurs précieux conseils tout au long de cet essai (projet). Je remercie également François

‘’Cooke’’ au ratio ‘’Mac Donough’’………………...17 1.Présentation du ratio ‘’Cooke’……………….…………………………...18 2. Apports et Insuffisances du ratio ‘’Cooke’….…………………………..21 3.Objectifs du ratio ‘’Mac Donough’’……………………………………….23 Chapitre III : Les composantes du nouveau dispositif ‘’Bâle 2’’………………………25 1. Pilier 1 : Exigences minimales de fonds propres……………………...27 1.1. Risque de crédit……………………………………………………..27 1.2. Risque de marché………………………………………………….. 34 1.3- Risque opérationnel…………………………………………………36 2. Pilier

LOME-TOGO EXPOSE DU GROUPE N°9 1- ZANKOU Victoire ( 2-WOUDJI Fidel ( 3-MISSOUDE ( 4-ASSAGANDO ( 5-FOLLY ( 6-SOSSOU ( EXPOSE DU théâtre : PLAN DE L’EXPOSE

juridique). On ne peut pas payer en ECU n’importe quel bien, ce n’était pas rationnel de payer en ECU. Pour financer les transactions courantes par une monnaie définit par un panier de monnaie il faut toujours recomposer, décomposer, recomposer. On est exposé à des coûts de transaction beaucoup plus chers. L’ECU est toujours resté une monnaie partielle car elle n’a jamais remplie la deuxième fonction de la monnaie, la fonction transactionnelle. Changement non pas seulement de nom mais aussi de nature,