Exposé Délinquance Juvénile

organisation du début à la fin. 2 – Les disciplines juridiques « modernes » : Pourquoi moderne : le droit pénal c'est le reflet de l'état d'une société donné, il y a aussi l'aspect de l'histoire du pays. Objectif droit pénal : lutter contre la délinquance. L'essentiel des règles de droit pénal actuel résulte de l'héritage historique de ce qu'on appelle des codes Napoléoniens. Il y en a 2 : le Code Pénal (1810), et le code d'instruction criminelle (1808) (ancêtre du code de procédure pénal).

sens de l'hospitalité et de l'entraide. En revanche, si le couple est mis à mal cela ne peut qu'être néfaste à l'Ordre familial et ce, à un double niveau : D'abord au niveau des enfants qui, dans la majorité de cas seront une proie facile à la délinquance, faute d'un environnement serein capable de leur prodiguer une attention suffisante et une éducation conforme aux valeurs et à l'éthique sociales marocaines. Ensuite, au niveau de l'institution familiale prise dans sa globalité, puisque le couple

James APPLEFIELD et Rodney SMITH, invoquent d’ailleurs, en 1971, pour la première fois, la relation de causalité entre image à caractère violent et un comportement agressif de l’enfant. L’expérience étant, que durant onze jours, ces chercheurs avaient exposé un groupe expérimental d’enfants à des dessins animés à contenu violent. Alors qu’un second groupe, le groupe de contrôle, étaient amenés à visionner des programmes sans contenu violent explicité. A la fin des onze jours, les enfants sont encouragés

va engendrer une nouvelle façon de vivre est la première conséquence est l'exode rural (Urbanisation rapide du pays) et qui va donc créer des problèmes nouveaux comme des conditions de travail, des problèmes d'hygiène, problème d'ordre public (Délinquance, Prostitution, Comportement addictifs comme alcoolisme). Ces bouleversements provoque des questionnements nouveaux et l sociologie va tenter de trouver des réponses à ces problèmes. La sociologie va se donner comme objectif de comprendre les règles

internationales restant rares. Cependant, les données provenant d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Australie/Nouvelle-Zélande s'accordent sur trois points importants lorsqu'on considère les comportements violents les plus extrêmes : 1) La criminalité juvénile (tous actes confondus) a fortement augmenté à partir des années 80. En France, la part des mineurs dans les mises en cause pour crimes et délits est passée de moins de 10 % en 1972 à près de 22 % en 1998, pour retomber juste en dessous de 20 %

droits de l'homme dans le procès pénal y ont été abordés. Le congrès avait adopté des traités modèles bilatéraux concernant tant l'extradition que l'entraide judiciaire en matière pénale, les principes des Nations unies pour la prévention de la délinquance juvénile, les règles des Nations unies pour la protection des mineurs privés de liberté, les principes fondamentaux pour l'usage de la force et des armes à feu par les fonctionnaires membres des administrations chargées de l'application de la loi ou

des formes différentes dans le temps,mais atteint son apogée pour chaque médias, lorsque ce dernier devient socialement omniprésent : la radio dans l'entre deux guerre accusé de decerveler les femmes, les médias pour jeunes entraineraient la délinquance juvénile etc... La critique en bloc des pouvoirs supposés des médias prend toujours naissance dans une relative inquiétude à une perte de pouvoir, lorsqu'une menace plane sur un ordre établi. Elle passe par l'identification de groupes victimes, irresponsables

réformes de la police, qui en a beaucoup subies. À partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale, les politiques publiques de sécurité, jusqu’ici d’essence quasiment policière, se sont vues complétées par de nouveaux dispositifs visant à prévenir la délinquance à travers l’amélioration des conditions de vie des habitants : la politique de la ville était née. Depuis trente-cinq ans, celle-ci a fait l’objet de multiples évolutions, sans que de véritables processus d’évaluation aient été mis en œuvre, parallèlement

nature du lien existant entre la personne victime et l'agresseur sexuel. On parle d'agression sexuelle lorsqu'on utilise les termes légaux suivants : abus sexuel, infractions sexuelles, contacts sexuels, inceste, prostitution juvénile, pornographie juvénile, exhibitionnisme, voyeurisme et frotteurisme. Une agression sexuelle est un acte de pouvoir de nature criminelle. Quelques statistiques Près de 90 % des agressions sexuelles ne sont pas déclarées à la police. Selon

qu’il n’y paraît et dépassent de fort loin le cadre d’une consultation électorale, si importante soit elle. C’est la conception de l’individu et le sens d’une société qui se jouent là. Il faudra bien quelques voix pour le dire: la lutte contre la délinquance exige d’abord une analyse rigoureuse, scientifique et patient. Aussi bien dans l’approche globale de la criminalité que dans son approche individuelle, au cas par cas, à niveau d’homme. Cette lutte permanente passe par l’utilisation de méthodes