Exposé Délinquance Juvénile

choisir un sujet de mémoire sans risque d`échec n`a pas été chose facile, car, faire le choix par intérêt, par opportunité ou par solidarité n`a pas été mon cas. C`est pourquoi au départ, je voulais réaliser un mémoire sur la problématique de la délinquance juvénile en Haïti. Convaincu que ce phénomène est étroitement lié à la mauvaise gouvernance de la chose publique du pays, cela m`a stimulé á reconsidérer mon choix. Ainsi, après maints constats de terrain, j`arrive enfin à choisir : LES ENJEUX DE L`AUTONOMIE

cas où l'ordinateur est l'instrument même de la perpétration du délit. Dans ces affaires, les organismes d'application de la loi seraient confrontés à des délits qui existaient préalablement à l’avènement de l'informatique, comme la pornographie juvénile, la fraude ou le harcèlement. La deuxième catégorie, se compose des délits informatiques « purs », qui englobent les infractions où l'ordinateur constitue l'objet du crime. Il s'agit alors d'une criminalité nouvelle, liée surtout aux réseaux informatiques

(LOWENSTEIN et al., 1995). L’usage de ces produits, leur prix, leurs modalités d’acquisition exposent les toxicomanes, selon la sévérité des sanctions encourues et la dangerosité potentielle des prises, à l’exclusion, la marginalisation et à la délinquance. L’héroïne C’est le principal produit utilisé par les toxicomanes en France. C’est une poudre soluble dont le principe actif est la diacétyl-morphine ou héroïne, opiacé puissant obtenu à partir de la morphine. Elle peut être inhalée 9 directement

l'infraction comme un phénomène social. Elle s'interroge sur les causes de l'infraction, sur la personne du criminel. En France elle est restée arrimée aux facultés de droit. 0n peut la distinguer d'autres criminologies plus spéciales (ex : criminologie juvénile). B. Distinction du droit pénal des autres branches du droit Le droit pénal peut d'abord apparaître comme une matière de droit public puisque c'est la réglementation entre l'Etat et les citoyens. L'Etat indiquant certains comportements considérés

Par ailleurs, la cybercriminalité en tant que nouveau concept en pleine croissance s’identifie comme une activité rentable, facile, organisée et à faible risque. Mais, tout de même, Celle-ci est l’une des nouvelles formes de criminalité ou de délinquance sur le réseau Internet, dont les conséquences se révèlent être particulièrement graves pour la sécurité humaine. Au Maroc, la cybercriminalité, qui était jusqu’à une date récente un phénomène marginal, attire de plus en plus l’attention des pouvoirs

de convergence sur la prévention qui se « définit par sa clientèle, son but curatif, son action collective dans un milieu et un lieu donnés. La clientèle est constituée par une jeunesse en danger moral, en voie d’inadaptation, voire en pleine délinquance, inorganisée, inorganisable. » L’Etat, quant à lui, crée par l’Arrêté du 14 mai 1963, le Comité National des Clubs et Equipes de Prévention contre l’Inadaptation Sociale de la Jeunesse, chargé de coordonner l’activité des groupements privés

spécifique des violences physiques : les rixes à la sortie des bals, des boîtes de nuit, entre bandes de villages voisins, sont une sorte de rituel pour certains. Enfin, les accidents de la route sont monnaie courante. En ville, les trafics, la petite délinquance (incivilités, deal, …) renvoient à la survie par l’économie « parallèle », mais aussi à un ressenti d’exclusion sociale et de stigmatisation. Le fait d’être en apprentissage ou d’avoir un emploi n’est pas toujours une garantie en matière de santé

déclarant : « mon intérêt pour les scènes de meurtre, les photos terrifiantes et la sexualité est normal, sain et partagé par la majorité des adultes de mon entourage. » Cette accumulation de violence, de dégradation et de cruauté dans les médias expose les jeunes à un continuum de violence, qui va de l'arrogance d'émissions comme South Park à des manifestations extrêmes de misogynie et de sadisme. De plus, les jeunes maîtrisent généralement mieux l'exploration des nouveaux médias que leurs parents :

fait a. Une inflation des lois pénales 1867 : 60 textes pénaux / 1968 : 386 t.p. / 1992 : plus de 800 t.p. b. Une inflation de la criminalité Particulièrement vrai pour petite criminalité et délinquance dite urbaine. c. L’échec de la répression Importance du chiffre noir, faible taux d’élucidation, classements sans suite Affaire importantes foirées d. L’échec des sanctions Prison

ravitaillement des citadins en produits vivriers ; * La pollution atmosphérique ; * Les problèmes d’emploi, causant la prolifération des petits métiers ; * Les problèmes d’adduction d’eau, d’électrification et de voirie ; * La délinquance juvénile, la prostitution, le grand banditisme … V. Les solutions Pour résoudre certains problèmes rencontrés dans les villes, des mesures efficaces s’imposent : * Faire construire des autoroutes. * Mettre en place un système de transport