Exposé Hippies

mémoires des gens non seulement à cause de la notoriété du groupe qui en est l'auteur et à cause du décalage qu'elle représente par rapport à l'inspiration d'origine des Doors, mais aussi car elle sortit quelque mois avant l'explosion du mouvement hippie qui représenta le paroxysme du mouvement intellectuel qui se répandit dans le monde en 1968. Critiquant directement les médias, la politique américaine traditionnelle et ses discours obsolètes qui dressait un voile entre la population et la réalité

Cette musique montre que les jeunes ne veulent plus se soumettent à aucune autorité. Il symbolise la rupture générationnelle, de même que le mouvement Hippie qui apparait en 1965. Il symbolise la contestation de l’American Dream. Il s’agit d’un mouvement pour la paix, caractérisé par le « floper power » qui fait référence aux habits à fleurs des hippies. Ce mouvement prône la liberté sexuelle, l’amour de tous, la paix et la non-violence. B) Aux révoltes politiques Nous sommes en 1968 en plein

ventes partout dans le monde. Selon Reuters (8 octobre 2003), Paulo Coelho est l’un des trois auteurs ayant le plus grand succès international. Paulo Coelho a mené une vie intense. "Rébellion" fut le mot d’ordre de sa jeunesse. Il adhéra au mouvement hippie et écrivit des paroles de chansons pour quelques-unes des plus grandes stars de la musique pop au Brésil, parmi lesquelles Elis Regina et Raul Seixas. Peu après, il commença à travailler comme journaliste. En 1986 Paulo Coelho prit la route de Saint

rock né officiellement en 1954 est un véritable symbole des années folles. Il va provoquer un réveil chez les jeunes, une envie de se soulever contre l’autorité parentale ou même gouvernementale. Cette rébellion est aussi alimentée par le mouvement hippie, la minijupe. Elle est également nécessaire car elle permet alors l'affirmation de la jeunesse en tant que catégorie socio-culturelle et politique à part entière. En particulier, la jeunesse a maintenant sa propre culture, avec une presse qui lui

anciens se souviennent certainement des informations diffusées par la télévision, le cinéma, la presse, sur le mouvement hippie ! (Encore faut-il y déceler un mouvement) Parmi ces anciens, beaucoup n'avaient que 18 ans, rebelles, cheveux longs, chemises à fleurs et pavés à la main ! Les soixante-huitards ! Il y avait pourtant une différence énorme entre ces rebelles et les hippies de l'époque : si les uns bravaient les interdits avec 2 gr d'alcool dans le sang, comparés à ceux qui prêchaient la paix

68 qui regroupe des individus nés à une même époque, constituant le « baby boom » et partageant les mêmes idées. Le dernier document, la photographie « Hippies à Paris, place de la Contrescarpe » dans laquelle on peut voir une génération qui s’affirme en créant une contre-culture et en se démarquant des générations précédentes. Ce mouvement « hippie » a été accepté par la plupart des membres de cette génération et a été une véritable rupture avec le style qui existait avant. La notion de génération

event. We can say that there was no violence because the public was mainly composed of hippies We were in 1969 and during 4 years, the USA fought the war against Vietnam. A lot of citizens were against this war, which was the starting point and the emergence of the hippie movement. The hippies had some values against the consumer society, and claimed drugs, peace, love and sexual revolution. A lot of hippies went to Woodstock because of the music and the location of the show (in the nature).

génération Hippies . Les origines : • Le mouvement hippie se développe approximativement de 1965 à 1969. • Un mouvement en révolte contre le système et la société de consommation américaine des années 1950. • Ils cherchent à fuir cette société en mettant en avant les valeurs écologistes et égalitaires issues des philosophies orientales et primitives. • La jeunesse s’identifie alors à la vie de bohème et prend la route. • Souvent issus des classes moyennes et aisées, les hippies rejettent

Flower power fut le slogan principal utilisé par les hippies durant les années 1960 et 1970. La fleur était un des nombreux symboles de leur pensée non violente. Cette expression est née du Summer Love de 1967, lors d'un rassemblement à San Francisco .La loi de ce rassemblement pour les hippies était de porter des fleurs dans les cheveux et de les distribuer autour d'eux. Le « Flower Child » (« enfant de la fleur ») devient le surnom de ces hippies pour les médias. Le pouvoir de la fleur se manifestait

L'auto-expérimentation prend de l'ampleur et sort du cadre scientifique. La consommation de LSD augmente et, avec elle, les récits de bad trip commencent à se multiplier17. Le LSD est alors fortement lié à la contre-culture américaine – beat generation d'abord, puis hippie – des années 1960 et 1970. L'introspection qu'il favoriserait permettrait de dépasser des valeurs jugées rétrogrades. Des personnalités en vue de l'époque (Allen Ginsberg, Timothy Leary, Ken Kesey, etc.) en consomment et prônent son usage. Leary s'installe