Expressions Pour Léloge

ensuite langlois. EXPLICATION DE TEXTE paragraphe = deuxième description de l’Hêtre, la première description ouvrant le roman texte = double regard sur l’arbre : symbole de vie et symbole de mort. LE SYMBOLE DE LA VIE a) Au travers de léloge de la vie hêtre = beauté absolue. o Utilisation de mots décrivant à la beauté, la puissance, la force + métaphore de la cathédrale ( Hetre = construction vertigineuse dont les branches font penser à des voûtes + ouvrage d'art éblouissant de

d'élévation. L'apparition de la littérature  encomiastique  est liée aux réjouissances privées ou publiques aussi bien qu'à la mort d'un personnage illustre. […] L'emploi des superlatifs, des expressions hyperboliques, l'embellissement de la réalité appartiennent aux procédés caractéristiques du genre. […] Si l'invention du genre de l'ode triomphale est attribuée à Simonide de Céos, au temps de Pindare sa thématique est déjà fixée :

toute raison à rechercher l’éloge d’autrui mais lorsque lon est dans une petite scté pas de difference entre un éloge mérité et un éloge qui ne l’est pas. Qd scté plus grande, on ne sait pas si les éloge sont mérité. certain vont juste rechercher léloge, d’autre la dignité de mériter cet éloge. On va juste voir l’apparence de la vertu et ne plus savoir faire la dference entre les gens qui les ont mérité et ceux qui les ont recu sans mérité On va uniquement s’attacher à des élément qui ne seront plus

caractère faux et complexe . Hypocrise depart la pluralité des destinataires qui ne devait etre que tourvel renforce le caractère faux et complexe de Valmont. .se présente comme victime de la T 3-.Démonstration magistrale de libertinage par léloge de l’hédonisme . Son language, témoin de son hypocrisie avec comparaison de l’amour à un déliree qui fait perdre tout contrôle sur soi .= désir a travers le champ l de l’émotion vive et intense (T)Enfin, nous allons voir comment l’analyse

l. 3) ; – questionnement : « Quel jeu se joue ici exactement ? » (l. 3) ; – amorce des trois paragraphes suivants par « J’observe » avec un regard ciblé successivement sur les groupes et leur déplacement (l. 4-10), sur les visages et leur expression (l. 11-18), sur soimême par opposition (l. 19-20) ; – clôture par le retrait dans le café, qui s’avère un échec. Ce regard distancié est aussi celui d’un moraliste qui s’attache à déchiffrer les comportements et les apparences. L’écriture romanesque

l. 3) ; – questionnement : « Quel jeu se joue ici exactement ? » (l. 3) ; – amorce des trois paragraphes suivants par « J’observe » avec un regard ciblé successivement sur les groupes et leur déplacement (l. 4-10), sur les visages et leur expression (l. 11-18), sur soimême par opposition (l. 19-20) ; – clôture par le retrait dans le café, qui s’avère un échec. Ce regard distancié est aussi celui d’un moraliste qui s’attache à déchiffrer les comportements et les apparences. L’écriture romanesque