Extraire La Beauté Du Mal

Séance 8 : La Beauté du Mal. Lecture analytique 8 : « Une charogne » de Baudelaire Voici de quoi vous rendre incollables sur ce magnifique poème de notre bon Charles. Bonne lecture et bon courage ! Une lecture analytique du net à méditer car assez bien faite (notez la démarche du surlignage : pas bête !) (source : intellego.fr) : Introduction Baudelaire, auteur de Les Fleurs du Mal, condamné en 1857 pour « outrage à la morale publique » avait en effet un objectif novateur

Commentaire : Introduction : « les fleurs du mal » un titre paradoxal qui correspond aux poèmes de « charles baudlaire » et qui font allusion au beau et au laid,à extraire la beauté du mal ,des symboles nouveaux,qui rompent avec la thématique traditionnelleet qui font de lui le dernier des romantiques et le premier des modernes, dans cette pièce qui est « la musique (piece 60 des fleurs du mal) et qui se trouve dans la partie du recueil intitulée spleen et idéal, nous allons devoiler la présence

de la fin du XIXème siècle, est connu pour son recueil de poèmes les Fleurs du Mal. Ce dernier, privé des six pièces condamnées pour immoralité, paraît en 1861 et le titre  programmatique révèle  déjà les projets poétiques  de Baudelaire : fondé  sur un oxymore, Baudelaire y  associe les Fleurs, métaphore de la beauté, au mal, autrement dit ,Baudelaire lie l’idéal poétique au mal-être  et pense qu’il faut extraire le mal de la poésie pour en cultiver quelque chose de bien. Ainsi Baudelaire est –il

clamavi », tous inspirés par Jeanne Duval. Composé de douze quatrains alternant alexandrins et octosyllabes en rimes croisées, ce poème a pour thème un cadavre en décomposition qui étrangement permet au lecteur d'assister à la naissance d'une « Fleur du Mal » et de comprendre les étapes de l'activité poétique, leur sens et leur importance. Baudelaire fait le choix, avec « Une Charogne

Etude de texte Les fleurs du mal - les petites vieilles de Baudelaire Baudelaire publie en 1857 en pleine période romantique un recueil en vers : Les Fleurs du mal. Mais l’auteur condamné pour immoralité est sommé d’en supprimer six poèmes ce qui le conduit en 1861 à publier une seconde édition enrichie de 35 nouveaux poèmes. Dans ce livre atroce, déclarait Baudelaire « j’ai mis toute ma pensée, tout mon coeur, toute ma religion, toute ma haine ». Composé de 6 sections ( dont « Spleen

En passant le l’épique au romanesque et du tragique au dramatique, l’art tend à réduire la part de l’exception au profit d’une création plus contrastée, voire franchement réaliste. La beauté du mal Baudelaire, dans Les Fleurs du mal, choisit délibérément de prendre le « Mal » comme sujet et d’en extraire de la beauté. Il situe le sujet de la poésie du côté de l’exceptionnel, même si la vie et les tableaux parisiens alimentent son inspiration Le travail du poète se voudrait alors pareil à celui d’un

la poésie Baudelairienne ?  Pour Baudelaire, les œuvres vivantes du passé vibrent encore du tempérament et de l'imagination savante qui ont fait leur originalité. Il ne s'agit pas de les imiter, mais de rivaliser avec elle pour extraire du présent ce qui fait sa beauté radicalement nouvelle et singulière. Intimité, spiritualité, couleur et aspiration vers l'infini définissent l'art moderne, c'est-à-dire un romantisme qui se renouvelle.  Le beau, selon Baudelaire, est toujours bizarre. Ou bien il

prive de son héritage paternel * Il va traduire Edgar Allan Poe * Fréquente le gratin de l’époque * Nouvelle copine : Mme Sabatier * Modernité : * 1857 Les Fleurs du Mal : il extrait la beauté du mal * Les fleurs génèrent le mal mais il est possible d’en extraire la beauté * Le recueil est condamné pour immoralité (comme « Mme de Bovary ») * Maladie, syphilis dettes, … * Mets tous ses espoirs dans des conférences en Belgique * 1866 : Attaque

encore. mini conclusion + transition PARTIE II  un texte qui s’attèle à réduire ces oppositions trop visibles et trop appuyées On voit en effet que certains éléments du texte contredisent ces oppositions si visibles entre richesse et pauvreté ; beauté/laideur * premier argument : on lit sous la plume de Baudelaire que cette opposition entre les enfants n’est pas réelle  On peut s’appuyer sur le paragraphe 2 qui contredit ce que l’on est amené à penser : « on les croirait faits d’une autre pâte »

doux »(v-2), « plein » (v-8), « au centuple » et « la grande Nature » (v-11), « superbe » (v-13), « si forte » (v-15). Le poète va jusqu’à comparer la charogne à une fleur : « comme une fleur s’épanouir » (v-14). Il démontre ainsi qu’on peut extraire la beauté du mal. La charogne est personnifiée par B à