Fable De La Grenouille

Fontaine, vous avez écrit une quantité de fables que vous avez destinées à tord, aux enfants. F: mes écrits sont destinés à qui voudra bien les lire. Je ne choisis pas mes lecteurs. R: dans la préface de votre recueil fable, vous parlez pourtant d'un enfant, à qui est exposé une fable et un événement historique contenant la même morale, et vous soutenez que l'enfant ne comprendra que votre travail.  F: je soutient qu'un apologue et plus compréhensible pour des enfants que des faits historiques. 

Introduction : ( chapeau ) Nous avons tous en tête des fables de La Fontaine apprises à l’école primaire : « La Cigale et la Fourmi », « Le Corbeau et le Renard », « La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf »…Mais, après quelques années d’oubli, en classe de première, les programmes les rappellent à notre souvenir : en effet, quel meilleur exemple de l’apologue que les Fables de La Fontaine ? Et pourtant, si Rousseau revivait de nos jours, il interdirait formellement à son Emile

« Amour tu perdis Troie » (3) +hyperboles « ou du sang des Dieux on vit le Xanthe teint » (5) * L’hétéromère =>utilisation des alexandrins, vers nobles et solennel par excellence 2) L’humour du fabuliste= un anthropomorphisme plaisant Fable rendue savoureuse par l’anthropomorphisme [attitudes humaine a des animaux] des animaux qui se conduit comme des hommes = mise en scène d’une rivalité amoureuse * Utilisation du vocabulaire galant [XVII SIECLE, galanterie très en vogue dans

Dissertation : La fable était déjà pratiquée en Mésopotamie, près de deux mille ans avant notre ère. La fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique (qui comporte un enseignement, qui cherche donc à instruire). Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au

il prenait exemple et s'inspirait comme Ésope, considéré comme l'un des pères fondateurs de la fable. La Fontaine exprimait des positions critiques contre le pouvoir du roi et faisait souvent référence à l'actualité de l'époque comme avec la guerre sur laquelle il s'exprimait dans « Le Chat, la Belette et le petit Lapin » La Fontaine apportait un grand soin à ses récits. Le décor ou se passe la fable est simplement « posé » et le dialogue entre les personnages passe avant leur description et celle

l'aider, mais celle-ci refuse. x Implicite (dial) Le Corbeau et le Renard Le renard flatte le corbeau, qui tient un fromage dans son bec, si bien que celui-ci est obligé de lâcher son bien. x Implicite (dial) La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf Une grenouille veut gonfler pour ressembler au boeuf et finit par exploser. x Explicite4 Les deux Mulets Deux mulets se promènent : c'est celui qui est chargé d'argent qui est attaqué. x Implicite (dial) Le Loup et le Chien Un chien

du comportement liés à son âge Art utilise le procédé de la fable, c'est à dire la représentation des personnages sous une forme animale, comme une race, par exemples : -Les juifs sont représentés comme des souris -Les nazis et Allemands comme des chats (chat prédateur de la souris => nazis prédateurs des juifs) -Les Polonais comme des cochons -Les Français comme des grenouilles (cliché habituel sur les Français mangeurs de grenouilles) -Les Américains comme des chiens Prix : Récompensée par le

enseignement ou une morale. Respectant la doctrine classique du docere et placere, l'apologue cherche donc à « instruire » et à « divertir » son lecteur. Il existe différents types d’apologue comme les contes (philosophique, merveilleux, fantastique…), la fable, l’utopie ou la parabole. L'apologue a donc une visée argumentative et didactique. L’apologue se doit de respecter sa doctrine classique c’est pourquoi on va essayer de répondre à la question suivante : comment l’apologue permet-il à la fois au lecteur

première fable que j'ai choisie s'intitule : « Le Laboureur et ses Enfants » (livre V / fable 9), c'est d'ailleurs l'une des œuvres dont je vais vous parler par la suite. La seconde fable s'appelle « Le Cheval et l’Âne » (livre IV/fable16), c'est aussi une des fables dont je vais vous parler ! Ensuite, la troisième se nomme « Le Lion devenu vieux » (livre III / fable 14), elle sera aussi une œuvre commentée ! Puis, la quatrième a pour titre «  Le Milan et le Rossignol » (livre IX / fable 18 )

Contrairement à la vogue qu'avait connue le genre au Moyen Âge, les poètes de la Pléiade ne se sont pas intéressés à la fable. On peut citer cependant Jean-Antoine de Baïf qui en a écrit une vingtaine, dont certaines sont d'une sécheresse remarquable35, tandis que Mathurin Régnier insère dans une de ses satires La Lionne, le Loup et le Mulet36. On trouve aussi des fables en prose intégrées à des contes, des nouvelles ou des satires. Dans Les Nouvelles récréations et joyeux devis, publié en 1558