Fable de Venise

a fait connaître le monde littéraire, notamment Marivaux, Mably, Fontenelle et Diderot, puis la société brillante de la capitale. Un emploi chez le Comte de Montaigu, ambassadeur auprès de la République Sérénissime, lui permet un séjour d'un an à Venise, mais les mesquineries de l'ambassadeur à son égard suscitent en lui une amertume profonde, source des condamnations qu'il portera plus tard contre l'ordre social de son siècle. Revenu à Paris en 1744, il compose un opéra, Les Muses Galantes, qui

Alexandre. ACTE V Scène 1 : Le lendemain matin, dans le palais du duc, le cardinal Cibo et le conseil des Huit s’emploient à assurer la continuité du régime, en remettant le pouvoir à Côme de Médicis qui est attendu le lendemain. Scène 2 : À Venise, plusieurs jours plus tard, dans le cabinet de Philippe Strozzi, Lorenzo lui annonce la mort du duc. Philippe lui témoigne son admiration et sa joie. Mais ils entendent une proclamation des Huit qui met à prix la tête du meurtrier. Scène 3 : À Florence

des figures de quelque héros au caractère bien dessiné. Ce reportage souhaite vous faIre découvrir ou mieux connaître l'origine de cette forme d'art populaire : la commedia dell'arte. Elle a su conquérir les spectateurs bien au-delà de Naples, Venise ou Florence ; dès le XVlle siècle, elle a inspiré des auteurs comme Goldoni ou Molière, elle s'est faite tour à tour raffinée... ou truculente. Sous le masque, les acteurs de la commedia dell'arte expriment aujourd'hui encore les peines, les colères

turques de couleur cramoisie et brochée de fleurs d’or. Dans un enfoncement était une espèce de divan surmonté d’un trophée d’armes arabes à fourreaux de vermeil et à poignées resplendissantes de pierreries ; au plafond, pendait une lampe en verre de Venise, d’une forme et d’une couleur charmantes, et les pieds reposaient sur un tapis de Turquie dans lequel ils enfonçaient jusqu’à la cheville […] ». Elle est entièrement aménagée à l’orientale : les étoffes et le tapis sont de Turquie, le trophée d’armes

des fragments publiés par Morris Jastrow dans The Religion of Babylonia and Assyria, Boston, Ginn, 1898, p. 565-566. 2 Éric Lysøe Tout comme les récits grecs centrés sur la figure de Déméter, la catabase akkadienne est donc d’abord une fable sur le rythme des heures, des jours et des saisons, dimension que confirme l’aventure d’Orphée, assez proche de celle d’Ishtar, par l’exaltation des pouvoirs de la musique. On s’en souvient en effet, les sons que le divin chantre tire de sa lyre

ces faits sont en principe déjà accomplis. Il met nécessairement en œuvre les valeurs du juste et de l'injuste. Dans l'Epistre à Lyon Jamet[xxi], le poète Marot joue sur les mots, clin d'oeil au prénom de son ami et adaptation libre de la vieille fable du lion et du rat. Le genre est cette fois délibératif. En désespoir de cause, Marot emprisonné pour avoir mangé du lard en Carême, se tourne vers Lyon Jamet, pour qu’il transmette le "message". Le roi, dont le goût pour la belle écriture est flatté

qu’avaient fait au siècle précédent les artistes de Florence. ■ Les guerres d’Italie Au début du xvie siècle, l’Italie n’est pas un pays unifi é tel que nous le connaissons aujourd’hui. Une multitude d’États partagent ce territoire : république de Venise, royaume de Naples, duché de Milan, royaume de Sicile, États de l’Église, etc. La prospérité de l’Italie suscite la convoitise des Européens : Français, Espagnols et Allemands mènent des guerres entre 1494 et 1559. Les souverains y découvrent

Candide. Il © Jean-Louis Fernandez s’agit à chaque nouveau tableau de créer un nouvel univers à partir d’accessoires pris sur le vif, écartés de leurs fonctions premières, d’inventer avec ce qui est mis à disposition dans l’urgence de raconter la fable. Cette accélération propre au récit, est suivie dans la forme par toujours plus de folie et de rapidité. Les titres des chapitres scandent cette évolution, cette course débridée qui se met en marche. Reste toujours au centre de ce tourbillon, la figure

LE THÈME DE JEANNE D’ARC, analysé par : CHRITINE DE PISAN (1364 – 1430) WILLIAM SHAKESPEARE (1564 – 1616) VOLTAIRE (1694-1778) FRIEDRIC VON SCHILLER (1759-1805) CHRISTINE DE PISAN. Qui est-elle ? Elle est née en 1364 à Venise en Italie et morte en 1430 en France. Dans la littérature française, c’est la première en date des Dames de lettres. Elle vint en France avec son père Thomas De Pisan. La mort du Roi et de son mari la jetèrent dans une situation précaire. Pour nourrir

l’anabaptiste, Pococurante (homme riche et cultivé, pourtant malheureux et blasé de la vie.). Cadre s-t : château de Thunder-ten-tronckh en Westphalie puis Hollande, Lisbonne, Cadix, Buenos Aires, Paraguay, Pays des Oreillons, Eldorado, Surinam, Paris, Venise, Bordeaux, Constantinople au XVIIIème. Dom Juan : (1665-XVII) Comédie. Molière (Jean Baptiste Poquelin). Perso : Dom Juan, Sganarelle, Done Elvire, Guisman (écuyer DE), Dom Carlos, Dom Alonse, Dom Louis, Charlotte et Mathurine, Pierrot, La Ramée