Fable Inventer

LA  FONTAINE  :  LIVRE  I  :  FABLE  3  :  LA  GRENOUILLE  QUI  VEUT  SE  FAIRE   AUSSI  GROSSE  QUE  LE  BOEUF   Introduction : Dans cette fable, comme Voltaire, La Fontaine dénonce la vanité, mais choisit de passer par le monde animalier. C'est un récit plus amusant, plus burlesque, qui permet d'éviter la censure plus facilement, qui rend les ennemis plus chétifs, inoffensifs et insignifiants. On est dans un monde familier et rassurant qui est normalement un genre destiné aux enfants, qui permet

l’auteur avec beaucoup d’ironie de dénoncer l’esclavage .Le conte invite le lecteur à réfléchir , à formuler la morale. Candide ne propose de morale claire .L’œuvre se termine sur ces paroles du héros : »Il faut cultiver notre jardin « .Le lecteur doit inventer sa morale en se laissant guider par le récit et non par une argumentation directe de l’auteur .Cela évite qu’il se braque , qu’il se révolte contre une idée qu’on cherche à lui imposer . Enfin , l’apologue permet à l’écrivain de diffuser

grâce à son intelligence, s'attire les regards de Calypso et la colère de Dieux mais préfère à toutes les tentations possibles honorer sa patrie et retrouver sa famille. On retrouve également cette adaptation de l'enseignement homérique dans la fable " Les compagnons d'Ulysse " de Jean de LaFontaine, dédié, comme le texte de Fénélon, au duc de Bourgogne. Cette dédicace montre, comme pour " Les Aventures de Télémaque " que les textes classiques peuvent suivrent leur principe d'instruire et de plaire

Aujourd'hui, le roman est le genre littéraire qui se vend le plus : le lecteur cherche à se distraire ainsi qu'a faire passer le temps. La fonction de la littérature serait donc essentiellement de distraire ou d'argumenter ? Nous allons tenter de répondre à cette question en présentant ces fonctions ainsi qu'en évoquant leurs complémentarité. En premier lieu, l'argumentation permet de soutenir une thèse, un point de vue, une opinion, pour convaincre un adversaire, soit pour modifier

slogan (doc.14) | | | | | |7 |L’argumentation dans le récit |- l’analyse d’une fable : la portée argumentative | | | | | | |

LE LOUP ET L’AGNEAU – COMMENTAIRE Le Loup et L’Agneau est une fable de La Fontaine écrite au XVIIIème siècle sous le règne de Louis XIV. Cette fable présente un loup qui essaye de justifier son envie de manger l’agneau, la morale est donnée dès le début, on sait donc que l’agneau est contraint à mourir quoi qu’il dise. La Fontaine veut mettre en évidences les inégalités de sa société, il utilise une morale oppressive pour faire prendre conscience au lecteur de l’injustice de ce raisonnement.

anonyme et collectif qui remplit une fonction socio-religieuse. Le mythe met en scène des personnages le plus souvent surhumains qui ont des pouvoirs surnaturels mais aussi des comportements et des sentiments humains. Le mythe est une parole, une fable qui se réfère à des événements anciens chargés de sens : dans les sociétés primitives, il sert d’explication du monde, comment les choses ont commencé et pourquoi les hommes en sont là aujourd’hui.  Les mythes restent cependant l’expression d’une culture

en 1693 dans Fables, elle est, ainsi que toutes ses fables, une réflexion sur la nature humaine en utilisant ses défauts. Mais comment Jean de la Fontaine met-il en scène les travers des humains ? Nous tenterons d’abord d’identifier l’art de la fable selon la Fontaine, puis, nous verrons comment il applique son art dans La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le Bœuf afin de dénoncer la vanité. Jean de la Fontaine puise ses fables essentiellement dans l’œuvre d’Esope et de Phèdre. Malgré

LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE I. Une fable inspirée de l’actualité. 1. La Peste. À l’époque, la Peste représente l’horreur absolue : v½ « Un mal qui répand la terreur / Mal que le ciel en sa fureur » : idée d’intervention divine. La maladie est présentée par LF comme un guerrier impitoyable «  capable d’enrichir en un jour l’Achéron », fleuve des Enfers dans la mythologie grecque. La Peste est personnifiée ( majuscule + volonté propre). Les premiers vers sont forts en images chaotiques

font sa renommée. Le premier recueil qui correspond aux livres I à VI des éditions actuelles est publié en 1668, le deuxième (livres VII à XI) en 1678, et le dernier (livre XII actuel) est daté de 1694 Le Héron est la première partie de la quatrième fable du livre VII de Jean de La Fontaine situé dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678. Cette fables signifie une histoire de différents conseillers qui se sont présenter au roi. Problématique : En quoi