Fable Le Héron

internes à l’histoire (alors, ce jour-là, le lendemain, la veille, trois jours plus tard, trois jours plus tôt etc. ; là, ce lieu-là, voilà, etc.). • Les genres littéraires où domine cette forme de discours sont le roman, la nouvelle, le conte, la fable, etc. • Certains écrivains ont parfois recours au présent de narration, dans un énoncé coupé de la situation d’énonciation, pour créer un effet dramatique. C’est le cas, par exemple, dans la lettre citée : « Vatel monte à sa chambre, met son épée contre

Et en 1661, louis XIV décide de régner tout seul. Ce tableau fait le lien entre toutes les oeuvres. Louis XIV, assis au centre, mis en scène ici un portrait du roi que Le Brun nous livre, le roi qui vient se mêler aux allégories et au Dieu de la fable, il est assit sur son trône, il tient le timon, dans sa main droite, et a gauche, sa paume ouverte, il montre la figure placée dans la partie supérieure. A la gauche du roi, derrière le bras tendu, représentation de la déesse Minerve, assise a ses

l'augmenter ; il se donne mille peines pour faire croire à son dévouement pour les Bourbons, il a déjà tenté de venir chez moi. En prenant la loge de madame de Langeais, sa femme a cru qu'elle en aurait les grâces, l'esprit et le succès ! Toujours la fable du geai qui prend les plumes du paon ! — Comment font monsieur et madame de Rastignac, à qui nous ne connaissons pas mille écus de rente, pour soutenir leur fils à Paris ? dit Lucien à madame de Bargeton en s'étonnant de l'élégance et du luxe que révélait

“ La rupture marque une interruption dans la logique du propos. Ex. : « NELL. – Pourquoi cette comédie tous les jours ? Un temps. NAGG. – J’ai perdu ma dent. » (Samuel Beckett, Fin de partie, 1957) (Samuel Beckett, En attendant Godot, 1952) La fable du jeune veau 1 5 10 La Cantatrice chauve se déroule à Londres, chez les Smith, un couple bourgeois. Un pompier arrive et leur raconte des fables. LE POMPIER. – «  Un jeune veau avait mangé trop de verre pilé. En conséquence, il fut obligé d’accoucher

pauvre garçon, comme le héron de la fable avec son limaçon du soir1. – Oui, bien lâche, murmura d’Artagnan ; mais elle, bien belle ! – Qui, elle ? demanda l’hôte. – Milady, balbutia d’Artagnan. Et il s’évanouit une seconde fois. – C’est égal, dit l’hôte, j’en perds deux, mais il me reste celui-là, que je suis sûr de conserver au moins quelques jours. C’est toujours onze écus de gagnés. On sait que onze écus faisaient juste la somme 1 La Fontaine, « Le Héron », Fables, livre VII, 4

chez mon cousin. Il gelait à fendre les pierres. Pendant le dîner, dans la grande salle dont les buffets, les murs, le plafond étaient couverts d’oiseaux empaillés, aux ailes étendues, ou perchés sur des branches accrochées par des clous éperviers, hérons, hiboux, engoulevents buses, tiercelets, vautours, faucons, mon cousin pareil lui-même à un étrange animal des pays froids, vêtu d’une jaquette en peu de phoque, me racontait les dispositions qu’il avait prises pour cette nuit même. 28 Nous devons

alliée, dans nos affaires intérieures. On nous répète assez que nous devons songer à vivre libres dans une France libre ; voilà une occasion d'appliquer ces belles maximes. Un allié qui tyrannise, ce n'est qu'un ennemi de plus. Et faut-il rappeler la fable du cheval qui, pour se venger du cerf, se laisse mettre le mors et la selle ? On doit arriver à un arrangement plus équitable. Pétersbourg doit supporter notre armée de deux ans et nos réserves organisées ; nous supporterons bien les prisons russes

mon cousin. Il gelait à fendre les pierres. Pendant le dîner, dans la grande salle dont les buffets, les murs, le plafond étaient couverts d’oiseaux empaillés, aux ailes étendues, ou perchés sur des branches accrochées par des clous, éperviers, hérons, hiboux, engoulevents, buses, tiercelets, vautours, faucons, mon cousin pareil luimême à un étrange animal des pays froids, vêtu d’une jaquette en peau de phoque, me racontait les dispositions qu’il avait prises pour cette nuit même. Nous devions

mon cousin. Il gelait à fendre les pierres. Pendant le dîner, dans la grande salle dont les buffets, les murs, le plafond étaient couverts d’oiseaux empaillés, aux ailes étendues, ou perchés sur des branches accrochées par des clous, éperviers, hérons, hiboux, engoulevents, buses, tiercelets, vautours, faucons, mon cousin pareil lui-même à un étrange animal des pays froids, vêtu d’une jaquette en peau de phoque, me racontait les dispositions qu’il avait prises pour cette nuit même. Nous devions

chez mon cousin. Il gelait à fendre les pierres. Pendant le dîner, dans la grande salle dont les buffets, les murs, le plafond étaient couverts d’oiseaux empaillés, aux ailes étendues, ou perchés sur des branches accrochées par des clous, éperviers, hérons, hiboux, engoulevents, buses, tiercelets, vautours, faucons, mon cousin pareil lui-même à un étrange animal des pays froids, vêtu d’une jaquette en peau de phoque, me racontait les dispositions qu’il avait prises pour cette nuit même. Nous devions