Fable Miroir

véritable identité du comte est révélée au lecteur. Mais attention, nous, lecteurs (modernes et contemporains), savons ce qu’est un vampire. Les personnages, eux, n’en savent rien. Le nœud de l’intrigue est là : un homme, qui n’a pas de reflet dans un miroir et qui enferme un visiteur dans son château hanté, devient le centre d’attention d’un groupe de 6 personnes qui va se former progressivement. Mina Harker est amie avec Lucy qui va devenir progressivement un vampire. Sa transformation fait l’objet

La fin de la scène annonce la suite de la pièce : Azor deviendra le miroir d’Églé. On remarque aussi le pessimisme de la pièce : les hommes sont aimés car ils sont les miroirs de la coquetterie féminine. Enfin, le narcissisme naît avec la conscience, narcissime qui est à l’origine de l’inconstance. Marivaux propose la dispute à la comédie française pour la première partie car c’est en un acte - Pensée expérimentale du 18ème siècle appliquée au ménage, observation qui porte du la nature humaine

spectateurs à aller au théatre?". Les personnes qui assistent à une pièce de théatre sont incutés à aller au théatre par des souhaits ou espérences. Qu'attendent les spectateurs pour prendre du plaisir lorsqu'ils vont au théatre? Le théatre étant un miroir déformé de la société ne fait il pas les spectateurs qui vont voir une pièce de théatre rire d'eux mêmes? Les attentes et les motivations des spectateurs qui les poussent à aller au théatre amènent-elles toujours la satisfaction et le plaisir au rendez-vous

Le miroir chez Pistoletto Le miroir, cet objet qui questionne l’homme hanté par son reflet depuis qu’il est homme, est utilisé par Pistoletto dans tous ses moyens expressifs. Le miroir chez Pistoletto reste un outil, un moyen pour répondre à un questionnement intrinsèque de l’oeuvre, plutôt que comme fin en soi. Le miroir est une conséquence: en effet Pistoletto commence son oeuvre par peindre l’homme, par se peindre lui-même, et ce questionnement de la condition humaine continue sera présent pendant

La toilette ou la femme au miroir, peinte en 1912 par le peintre Allemand Kirchner, artiste s'inspirant de l'art primitif, est une huile sur toile (100x75cm) faisant partie du mouvement « Die Bruck » se caractérise par un langage figuré intensément émotif et violent et du fauvisme dont il reprend les couleurs élémentaires vives, les découpes de solides et les formes simplifiées dans ce tableau. Description : La toilette ou la femme au miroir de Kirchner représente une femme dans une scène d'intimité

...........................................................105 2 I- Récits pour court métrage 3 1.1- Vincent et Isaline Un samedi matin du mois de mai , Vincent était dans sa salle de bain face à son miroir et tentait vainement de se donner une mine réveillée. Le miroir lui renvoyait l'image d'un homme d'une trentaine d'années, de petite corpulence, aux cheveux châtains clairs coupés très courts, le visage reflétant une certaine maîtrise de soi. Plusieurs minutes passèrent avant qu'il

vanité -un des vices dit secondaires en opposition aux sept péchés capitaux (colère, orgueil, luxure, paresse, gourmandise, avarice et envie). La tradition allégorique la représente sous les traits d'une femme nue à sa toilette qui se regarde dans un miroir. Des accessoires comme un peigne, des bijoux soulignent sa coquetterie. Le terme de Vanité désigne aussi un genre spécifique en peinture, celui des natures mortes, fréquentes au XVII ème siècle surtout, qui visent à dénoncer le caractère futile et

lumière sur un miroir qui est en angle de 10°,20° puis 30° par rapport au rayon lumineux. Hypothèse: L’angle du rayon réfléchi mesuré à partir de la normale sera équivalent à l’angle du rayon incident mesuré à partir de la normale. 3- Déterminer la relation entre le nombre d’images formées par deux miroirs et l’angle entre ces deux miroirs. Hypothèse: Plus l’angle formé entre les deux miroirs est petit, plus le nombre d’images augmente. Lorsqu’on divise l’angle entre les miroirs par deux,

BLOODY MARY «Dans une pièce sombre, devant un miroir éclairé à la chandelle, prononcer « Bloody Mary » treize fois de suite fait apparaître un visage de femme ensanglanté dans le miroir. À ce qu'on dit, elle est vraiment effrayante: son visage est recouvert de sang et elle vous regarde fixement. Si on ajoute « I killed your baby » (« J’ai tué ton bébé ») lors de la treizième répétition, l'entité attaque sauvagement celui qui a osé la provoquer. Une femme a qui l’on venait de raconter cette légende

d’un miroir. Ce tableau est réalisé comme un film avec un arrêt sur image, car Jacques MONORY est un passionné de cinéma. Chaque panneau du tableau est une séquence, une scène de l’action qui se déroule. Elle montre à gauche du tableau un personnage représenté en entier, des pieds à la tête, qui semble d’enfuir. Il est peut-être dans un appartement ou une maison, vidé de ses meubles. Le parquet en donne l’impression. Au milieu du tableau, on aperçoit des impacts de balles dans un miroir, réellement