Fables Contes Et Enfants

exemple, dans un essai, consiste à démontrer une idée de façon très claire et irréfutable, alors que dans la deuxième, l’idée est plus dissimulée mais le récit qui est généralement plus plaisant. Le plus souvent, on peut en trouver dans les contes, les fables, les utopies et le théâtre ou dans d’autres genres narratifs appropriés à l’apologue. L'apologue est un discours narratif à visée argumentative et didactique, très souvent allégorique, rédigé en vers ou en prose, qui renferme des enseignements

 Les Fables de Jean de la Fontaine Biographie de l'auteur : Jean de la Fontaine est né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry , fils de Charles de la Fontaine et de Françoise Pidoux, famille bourgeoise. Son frère Claude nait deux ans plus tard et leur mère meurt entre 1631 et 1636. Il se dirigea au début vers la théologie comme son frère puis quitta l'institution un an après y être rentré. De 1645 à 1647, il étudie le droit et obtient le titre

FICHE DE LECTURE : LIVRE X DES FABLES DE LA FONTAINE 1/ PRESENTATION DE LA FONTAINE Situation de l’œuvre : * Dans la production et la vie de l’auteur La Fontaine (Jean de) (château- Thierry, 1621- Paris, 1695), est un poète français. Avocat au Parlement, il ne plaide guère. Il se marie (1647) et reprend (1652) la charge paternelle de maitre des Eaux et Forêts, se montrant fonctionnaire négligent, époux et père indifférent. Protégé par Fouquet (1658-1661), la duchesse douairière d’Orléans

Le bestiaire des Fables Les Fables nous confrontent à un véritable bestiaire. Si certains sujets, en effet, peuvent mettre en scène des hommes, il est plus délicat et plus recommandé d’évoquer certaines réalités humaines par le biais d’animaux : c’est une règle de bienséance, c’est-à-dire conforme aux normes morales d’une société. Un souci de vraisemblance doublé d’une fonction symbolique anime donc La Fontaine dans la peinture des animaux. Certains animaux incarnent un état, un rang social

Jean de La Fontaine, poète français, (1621-1695).Après des études de droit, Jean de La Fontaine revient à Château-Thierry comme maître des eaux et forêts. Ses Fables sont des chefs-d’œuvre. La plupart d'entres elles mettent en scène des animaux de la vie quotidienne et sont inspirées d'Ésope, Horace et surtout Phèdre. En dehors des fables, La Fontaine est un conteur. En 1683, il devint alors membre de l'Académie française. Quelques années plus tard, en 1695, il meurt à Paris. Il est aujourd'hui enterré

siècle, les fables de La Fontaine déjà reconnues, ont toujours une place dans notre société actuelle. Les pédagogues font découvrir les fables aux enfants qui, dès leur plus jeune âge, sont incités à les apprendre à l’école, comme «  Le Corbeau et le Renard » qui est certainement la plus connue de toutes. Mais les critiques viennent remettre en question la visée pédagogique de ces fables. En effet, un critique contemporain déclare dans son introduction aux Fables de La Fontaine : « Les fables paraissent

En 1695, Charles Perrault défendit dans sa préface des Contes en Vers les valeurs de l'apologue, plus précisément des fables et des contes. Il affirma notamment que «Ces bagatelles n'étaient pas de pures bagatelles, qu'elle renfermaient une morale utile et que le récit enjoué[…]instruisît et divertît tout ensemble ». Comment les auteurs d'apologues font-ils pour mêler enseignement et plaisir à la lecteur dans leurs récits ? Nous verrons dans un premier en temps la manière d'enjouer le récit qu'utilisent

papiers et des comptes de Monsieur de Joyeuse. Sa belle voix et sa façon plaisante de déclamer des vers en firent aussi l'ami de Madame de Joyeuse à qui il lisait des vers de sa composition. Il devint le confident de Madame lorsque son mari se prit à conter fleurette à une belle nommée Toussini qu'il avait installée à domicile. Monsieur de Joyeuse demande alors à Maucroix de "s'occuper" de sa fille Henriette.François tombe rapidement amoureux, mais on la fiance au marquis de Lénoncourt. Celui-ci est

réaliser une argumentation indirecte par le biais d'allégories et d'une place importante donnée à l'implicite. Sans pour autant perdre de sa ferveur polémique, elle se fait plus didactique à travers des genres aussi divers que l'apologue avec les contes et fables, ou l'utopie ; tous distingués par des subtilités qui leur confèrent un rôle différent. Suivant un schéma narratif simple et une vision extrêmement manichéiste du monde, le conte, dont l'implication argumentative peut sembler moindre à cause

des contes, qui comme les fables visent à instuire les jeunes enfants de la Bourgeoisie, mais aussi de faire réfléchir le lecteur pour qu'il prenne conscience des problèmes de son époque, éduquer avec une morale ou éduquer en divertissant. Ce qui peut différencier: la fable est écrite en « vieux » français et le conte en français « moderne ». Seul Charles Perrault s'intéresse au sort des enfants, qui grâce à lui sont reconnu à la fin du XVIIIe Siècle Les dessins animés plaisent aux enfants car ils