Fables Contes Et Enfants

« Le Loup et le Chien », Fables, 1668-1696. Texte B : Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, 1668-1696. Texte C : Jean de La Fontaine, « Le Lion et le Moucheron », Fables, 1668-1696. Texte D : Jean Anouilh, « Le Loup, la louve et les louveteaux », Fables, 1946. Texte E : Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’éducation, 1762. Questions (4 points) 1) Indiquez clairement la leçon que l’on peut tirer des fables dont la morale est implicite

réfléchir le lecteur Dans L'Émile, Rousseau démontre que les Fables de La Fontaine ne sont pas destinées aux enfants, qu'elles ne sont pas appropriées à leur esprit encore trop jeune. En effet, contes et fables ne sont pas gratuits, ils sont utilisés par l'auteur comme vecteur de son message. => Au fil du texte, de nombreux éléments signalent au lecteur que le récit n'est pas si anodin. • dans les Fables de La Fontaine, bien que l'on soit dans le monde animal, le système décrit

chapitre 60) « Le parler que j’aime, c’est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu’à la bouche ; un parler succulent et nerveux, court et serré… » (Essais, I, chapitre 26) 4.2 L’argumentation indirecte ou implicite Les fables, les contes (surtout les contes philosophiques), les exempla, présentent tous un mode de fonctionnement allégorique qui autorise une argumentation indirecte. Ils visent en effet à convaincre et persuader le lecteur indirectement, par un récit fictionnel arrangé

implicite (elle n’expose pas directement une morale claire), c’est le cas des conte philosophique, des fables et des récits qui exposent une morale de façon détournée. On se demandera en quoi l’argumentation indirecte est particulièrement efficace. Nous étudierons dans un premier temps le coté distrayant de ce genre d’argumentation puis nous verrons son coté instructif. Nous nous appuierons sur quelques fables de Jean de Lafontaine, sur Jeannot et Collin de Voltaire et sur Candide de Voltaire. Nous allons

2e série des Fables (celle de la « maturité »), où les sujets sont souvent plus sombres et politiques que dans la 1re. La fable s’ouvre sur une adresse de 33 vers à un ambassadeur, M. de Barrillon, représentant de la France en Angleterre, auquel il souhaite de la réussite dans son entreprise de pacification des relations avec ce pays, tout en lui délivrant un subtil conseil sur l’art oratoire. (Lecture) Problématique d’étude : Comment La Fontaine met-il en scène la force des fables ? Questions

 La Fontaine a puisé l'inspiration de ses textes chez Esope qu'il entendait au départ traduire : c'est l'esthétique classique qui prône l'imitation des anciens. Mais dans Le pouvoir des fables, on voit bien qu'il ne s'agit pas seulement d'imitation mais aussi d'émulation. En effet La Fontaine reprend une fable d'Esope mais il approfondit l'objectif initial en le rendant plus fin. Ainsi, au lieu de seulement condamner l'enfance de l'homme, il propose ici un art poétique et fait en même temps

plaisir de conter. Je connais vos différents envers le roi mais soyez serein, notre pudique correspondance ne sera pas divulguée. Vous évoquez mon bon goût littéraire, ma culture et mon bel esprit, c’est pourquoi je me permets par ces quelques lignes de vous donner mes sentiments concernant vos écrits. En lisant vos récits, j’ai compris que vous décriviez les hommes en les remplaçant fréquemment par des animaux pour pouvoir échapper à la censure étant donné qu’un grand nombre de vos fables sont une

 Question de corpus : Dans le texte A, une préface écrite par Jean de La Fontaine pour un recueil intitulé « Les Fables », on apprend que, par les fables, de prime abord créées pour les enfants, permettent a ceux-ci d’apprendre de grandes leçons, de grands raisonnements. C’est par ces leçons que l’enfant «  se rend capable de grandes choses » (l. 26) La Fontaine justifie cette affirmation par deux arguments : tout d’abord, il exprime une certaine légitimité, donnée par Platon, philosophe grecque

Un Moucheron pour renverser la monarchie C'est un fait bien connu que les contes de fées ont les morales pour les enfants. Ils utilisent des caractères imaginatifs pour représenter le bien et le mal. Ces fables sont importantes pour enseigner aux enfants quand ils sont jeunes. C'est intéressant de remarquer que certaines fables ne s’adressent pas seulement aux enfants. Par exemple la fable Le Lion et le moucheron par La Fontaine a une forte connexion avec le contexte historique de cette époque.

d'avocat au parlement de Paris. Entre temps, en 1647, son p�re le maria � Marie H�ricart, alors �g�e de 14 ans (1647). Mais ce mariage de complaisance ne fut pas un mariage heureux, c'est le moins que l'on puisse dire. Et malgr� la naissance d'une enfant, Charles, en 1653, La Fontaine ne fut jamais ni un bon mari, ni un bon p�re. En 1652, La Fontaine fut re�u en qualit� de Ma�tre des Eaux et For�ts. Il essaya du mieux qu'il p�t d'exercer cette lourde t�che. On retrouve sa signature jusqu'en 1671