Fables Courtes Pour Enfants

La Fontaine, Fables, « Le Pouvoir des Fables » En quoi la fable de La Fontaine propose-t-elle une argumentation efficace ? Comment met-elle en œuvre une esthétique propre au XVIIème siècle ? [Introduction] Les chemins détournés sont parfois les meilleurs ; et quand ils ne le seraient pas, ils n’en présenteraient pas moins d’avantages. C’est ce que La Fontaine, renouvelant au XVIIème siècle le genre antique de la fable en mettant en vers celles héritées d’Esope et de Phèdre, avait bien

les injustices et les abus de la société, mais aussi, plus généralement et de manière satirique, les défauts humains. La fable a une finalité didactique et morale : elle permet d'éduquer facilement le lecteur car la fable est un texte généralement court et souvent distrayant. L'avantage de la transposition : grâce au symbolisme animalier, le lecteur saisit mieux ce qui est dit et ne se sent pas de prime abord concerné par la moralité. Chez la Fontaine particulièrement, la fable est faite pour plaire :

permis. Les parcs d'attraction, lieux d’insouciance, de satisfaction et de rêves sont des temples du monde onirique de l'enfant. Les parcs d'attractions sont pour la plupart inspirés de dessins animés, eux-mêmes tirés de contes pour enfants. On y retrouve alors les mêmes lieux et les mêmes personnages, mais surtout l'ambiance des contes de fée ; ce monde qui semble écarté des contraintes de la vie quotidienne, un lieu qui entretient l'ignorance qu'a l'enfant du monde réel. Ces parcs

FABLES, Jean de La Fontaine LIVRE VII (1678) Avertissement Voici un second recueil de fables que je présente au public. J'ai jugé à propos de donner à la plupart de celles-ci un air et un tour un peu différent de celui que j'ai donné aux premières, tant à cause de la différence des sujets, que pour remplir de plus de variété mon ouvrage. Les traits familiers que j'ai semés avec assez d'abondance dans les deux autres Parties convenaient bien mieux aux inventions d'Ésope, qu'à ces dernières

spécifique. On aboutit à l’idée de la citation p325 parvenuil y a donc une maturité propre de l’enfance qui ne représente pas du tout l’adulte mais c’est un enfant arrivé à tout ce que l’enfance peut être (perfection propre enfance ), le sommet de l’enfant n’est pas l’âge adulte/ Idée forte (question de la renaissance après ce sommetUn enfant qui meurt avant l’âge adulte ne voit pas sa vie être interrompu s’il a atteint la maturité de l’enfance.P325-326 citation 9: troublant , il faut penser que l’homme

Jean de La Fontaine, Fables,  Livre VII, fable 9 Source : L'origine de la fable semble être la nouvelle XIV de Bonaventure des Périers (secrétaire de l’auteur de l’Heptaméron, Marguerite de Navarre, sœur de François 1er ) : « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait une potée de lait au marché ». La comparaison avec les alchimistes n'a pas été reprise par La Fontaine. Fable double avec « Le curé et le mort » qui suit dans le recueil. LA LAITIÈRE ET LE POT AU LAIT Perrette,

que pour les faire entrer plus agréablement dans l'esprit et d'une manière qui instruisît et divertît tout ensemble » a déclaré Charles Perrault. Or, le conte, récit court se distinguant du roman et de la nouvelle notamment par sa volonté à sortir de la réalité par le merveilleux, peut parfois être une sorte d'apologue, soit un court récit à valeur morale ou didactique, permettant souvent d’effectuer une critique de la société. Cet exercice d' écriture très apprécié des auteurs tels que Charles Perrault

ont pour but de plaire, d'intéresser le lecteur de le faire réfléchir. Ce qui le séduit aussi c'est souvent la brièveté du récit. Certains apologue comme la nouvelle sont lassant sont plus difficile à comprendre à suivre surtout pour un enfant alors que les fables par exemple sont tout le contraire, surtout qu'un apologue est adressé à tout le monde. Intéressons nous toujours à la fable Les deux pigeons de Jean de la Fontaine, un récit brève ce qui permet au lecteur de saisir le message plus rapidement

quelquefois, et jamais de repos. Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d'un malheureux la peinture achevée. Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu'il faut faire C'est, dit-il, afin de m'aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère. Le trépas vient tout guérir ; Mais ne bougeons d'où nous sommes. Plutôt souffrir que mourir, C'est la devise des hommes. Jean De La Fontaine, Fables, 1668 Analyse : Jean de La Fontaine est

juillet 1621 Château-Thierry (France) Décès 13 avril 1695 (à 73 ans) Paris (France) Langue d'écriture français Genres fable, conte Œuvres principales Les Fables (1668 - 1695) modifier Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses conteslicencieux. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son