Fables Tragique De La Fontaine Livre 7

Français Boîte à outils Fiches de révision Secondes et premières générales Premières technologiques Rédaction Mireille GROUILLER Cécile GUÉPIN Christine RICHARD Coordination Kathy GESTIN-KAY 7-FR40-ANPA01-09 Référence : 7-FR40-ANPA01-09 Ce cours a été rédigé et publié dans le cadre de l’activité du Centre National d’Enseignement à Distance, Institut de Rennes. Toute autre utilisation, notamment à but lucratif, est interdite. Les cours du Cned sont strictement réservés à l’usage privé

brefs et plaisants et, à la fois, le goût pour une morale spirituelle et incisive (œuvres déjà citées de Montaigne, La Rochefoucauld, La Bruyère, mais on pourrait aussi évoquer des auteurs non répertoriés comme « moralistes », tels que La Fontaine avec les Fables ou Perrault dans ses Contes) [2]. Il existe de fait ce que l’on pourrait appeler une rhétorique de la brièveté, produite par des effets mnémotechniques, la répétition de la même idée, des images violentes, un style « heurté » et, d’une

clerc, c'est-à-dire qu’il écrit pour vivre, il reçoit des revenus de l’abbaye donc doit rester discret sur sa vie perso. Fonction référentielle de la poésie : poésie de circonstance Ronsard est un poète de cour : les Hymnes et dans le Second Livre des Hymnes :poésie d’éloge mêlée à la poésie épique ou scientifique dédiée à ses protecteurs : Hymne du roi Henri II (1555) : définition du poète, de son travail de sa fonction (questions essentielles de la Pléiade) ; si le poète reçoit des Muses

style 3.3.1 − Les figures d'analogie 3.3.2 − Les figures d'opposition 3.3.3 − Les figures de substitution 3.3.4 − Les figures d'insistance 3.4 − Les sonorités 3.5 − Les registres de langue 3.6 − Le ton d'un texte 3.6.1 − Le ton comique 3.6.2 − Le ton tragique 3.6.3 − Le ton pathétique 3.6.4 − Le ton lyrique 3.6.5 − Le ton épique 4.− LES TYPES DE TEXTE 4.1 − Le texte narratif 4.2 − Le texte descriptif 4.3 − Le texte explicatif 4.4 − Le texte argumentatif 5.− LE ROMAN 5.1 − Introduction 5.2 − Les origines

coïncidences invraisemblables. Et lorsqu'on parle de philosophie, on pense à la raison, la réflexion et aux questions susciter par l'œuvre. Dans les contes philosophiques, il ya une histoire, un récit très fantaisiste mais qui, à l'image de La Fontaine, délivre un enseignement. C'est à ce titre que le conte en lui-même, peut être considérer comme un apologue (petite fable visant à illustrer une leçon morale), c'est-à-dire une histoire qui débouche sur un enseignement moral. Néanmoins, de tous

vraysemblable que ces premiers pasteurs s’aviserent, dans la tranquillité et l’oisiveté dont ils joüissoient, de chanter leurs plaisirs et leurs amours, et il estoit naturel qu’il fissent souvent entrer dans leurs chansons, leurs troupeaux, les bois, les fontaines, et tous les objets qui leur estoient les plus familiers. Ils vivoient à leur maniere dans une grande opulence, ils n’avoient personne au dessus de leur teste, ils estoient, pour ainsi dire, les rois de leurs troupeaux, et je ne doute pas qu’une

distinguaient le “fond”, invariable, de la “forme”, changeante. Mais ce fond n’est jamais défini : on le “sent” par intuition. Dans son livre Morphologie du conte (Seuil, 1970), Vladimir Propp (1895-1970) définit le conte merveilleux de deux façons selon qu’on l’envisage du point de vue des fonctions ou du point de vue des personnages et c’est alors “un récit à 7 personnages”. Propp est un folkloriste russe qui a inauguré l'analyse structurale du conte. Estimant que toute étude génétique et sémantique

l’ornementation, du langage à effets, des thèmes de l’illusion, des métamorphoses du monde et de la mort. Les genres littéraires dominants sont la poésie et le théâtre. Écrivains représentatifs : Sponde Stances sur la mort (poésie lyrique), D’Aubigné Les Tragiques (poésie épique et engagée, texte qui parle des massacres de la St Barthélémy, des guerres civiles, en dénonçant les responsables de ces actes, en autre Catherine de Médicis et le cardinal de Lorraine…), Corneille au début de sa carrière L’Illusion

temps de vision d’ensemble »2. 1. Citation p. 82, Français, classes de seconde et de première, collection Lycée, Accompagnement des programmes, Ministère de l’Éducation Nationale, CNDP. 2. Citation p. 83, ibid. CNED SECONDE – FRANÇAIS 7 CONSEILS généraux La lecture cursive – Ce sont des œuvres (romans, contes, nouvelles, pièces de théâtre) lues intégralement en complément d’un groupement de textes ou d’une œuvre intégrale. – Elles sont autonomes, libres et personnelles…

Daguerre 4 - Note d’intention d'Alexis Moati et Pierre Laneyrie, Cie Le Vol plané IV - DEUX CRITIQUES DE LA MISE EN SCENE DE MARTINELLI 1 - Geoffrey Nabavian, 11 mars 2015, site TLC (Toute La Culture) 2 - Critique de Thomas Ngohong, site Hier au théâtre, 7 mars 2015 3 - Présentation du spectacle pour le théâtre de La Rochelle (La coursive) V - GROUPEMENT DE TEXTES : le thème de l'avare en littérature VI - ICONOGRAPHIE A - Couvertures et affiches représentant la pièce de Molière B - Quelques célèbres interprètes