Facteur intrinsèque

modèle taylorien d’organisation Frédéric Taylor définit des principes d’organisation. • La modélisation taylorienne repose sur un ensemble d’hypothèses : – Stabilité de l’environnement économique, de la technologie, de la concurrence et des facteurs de compétitivité dans le long terme. – Information parfaite des dirigeants sur l’environnement et les déterminants de la performance – Simplicité du fonctionnement de l’organisation = mécanique simple. De là, il a définit des principes. • Principes

unité légale, personne physique ou personnes morales qui jouissent d’une autonomie de décision, produit des biens et des services marchands. Rôle économique de l’entreprise : a pour but la maximisation de la richesse obtenue par une combinaison de facteurs de production garantie par la pression du marché et de la concurrence. Selon les gestionnaires, la rationalité supposée de l’homo-oeconomicus est démentie et l’entreprise est considérée comme une convention d’efforts. LACAN : « je suis (être)

le contenu en travail dans la valeur des choses. La troisième dimension importante est que le travail n’est pas un acte isolé : il se définit dans le cadre d’une combinaison de production. Dans l’analyse économique on considère le travail comme un facteur de production : une ressource productive, autant que le capital. Le travail a aussi été dans la pensée économique définie comme une variable échangeable sur le marché car il est infiniment divisible. Il est également substituable, complémentaire

critère des choix n’est plus la préférence individuelle pour des biens ; les produits étant destinés aux consommateurs, et les facteurs de production étant achetés pour fabriquer les produits, les décisions du producteur sont supposées motivées par une préférence pour un autre objet : le profit, c’est-à-dire la différence entre la valeur du produit et celle des facteurs de production. Ainsi conçue, la théorie des choix du producteur est exposée en deux étapes, couvertes dans ce chapitre et le suivant

industrielles en question Première partie : Les révolutions industrielles en question 1. Histoire d’un problème Lors de ce chapitre, nous allons évaluer deux révolutions industrielles en analysant les changements techniques, la transformation des facteurs de production ainsi que leurs effets secondaires. Ensuite, nous les interpréterons : rupture ou continuité ? Offre ou demande ? A. Evaluation : * Changement de techniques : Nouvelles machines, nouveaux procédés,…dans un laps de temps très

avaient une vision de la croissance économique et du devenir général du système économique. Les néoclassiques eux, ont une approche plus restreinte, ils font l'hypothèse d'une offre donnée de facteur de production, et ils vont étudier comment les agents économiques peuvent procéder à la meilleur allocation des facteurs de production disponibles. L'objet essentiel des néoclassiques c'est l'étude de l'affectation optimale à des usages alternatifs concurrents d'une ressource déterminée. Les néoclassiques

capitalisme Rapport Stern de 2006. Ecole hétérodoxe : On ne peut pas donner de valeurs à certains biens naturels, il faut donc s’abstenir d’exploiter ce capital naturel, et préserver un minimum vital. Elle rejette la théorie de la substituabilité des facteurs au profit de leur complémentarité. Cette école prône généralement la Décroissance. Les politiques économiques sont rarement ambitieuses sur le plan national ou international. Répartition des revenus La question des inégalités est le fondement

est disposée et est capable de vendre à un prix donné Offre du marché = ensemble de toutes les offres individuelles L’offre va dépendre : - Du prix du marché = généralement l’offre varie dans le même sens du prix - des coûts des facteur de production = ex : hausse du prix des matières premières => hausse du coût de la production => baisse de la production => baisse de l’offre - des avancées technologiques (progrès technique) = gains de productivité - nombre de producteurs

la croissance des capacités productives, les gains liés à la spécialisation et au commerce, etc. Une énigme persistait cependant: le paradoxe diamand-eau. Le paradigme classique qui dépendait largement sur une théorie de la valeur fondée sur les facteurs de production était incapable d’expliquer pourquoi l’eau, qui est essentielle à la vie, est généralement disponible à un coût modeste, tandis que le diamand, un bien clairement superflu, est cher. Avec l’avènement de l’analyse marginaliste dans les

savoirs et des savoir-faire. Ce constat a amené les entreprises à se pencher sur les compétences des employés, de leur capacité d’adaptation, d’apprentissage et d’initiative. 3 L’origine de l’émergence du professionnalisme est du à plusieurs facteurs socio-économique, ce n’est pas le fait du hasard ou d’une mode. Il y a une « nécessité de bâtir l’entreprise de demain avec des hommes d’aujourd’hui » 1) L’investissement dans l’intelligence. Pour être compétitif, il faut investir dans l’intelligence