Facteurs Manifestations Rythmes De La Revolution Industrielle

d'extraction ou de stockage aux points de livraisons puis d’utilisation par le client, - des flux de semi-oeuvrés provenant d’usines ou d’entrepôts de fournisseurs ou d’origine interne à l’entreprise, - des flux d’outillage et de machines entre sites industriels, - des flux de produits finis entre des usines, des entrepôts internes, des entrepôts clients ou des entrepôts de prestataire logistique, - des flux de consommables et de pièces de rechange des entrepôts vers les véhicules des techniciens réparateurs

introductif : les grandes tendances économiques avant la première guerre mondiale I - L’essor économique s’accélère Remarques : Avant le XXe siècle, il y avait la grande phase d’accroissement qui caractérisait le XIXe : siècle de l’industrialisation, révolution des technologies, début du libéralisme, siècle du capitalisme, de sécurité monétaire, siècle stable (peu de guerres et stabilité de la monnaie), siècle de l'hégémonie européenne, début de la colonisation. Tout cet essor économique s’accélère

mondialisation ; sur le temps plus court ces deux phénomènes sont marqués l’un par des crises et l’autre par des « économies monde » successives : TEMPS LONG (Structure) TEMPS COURT (Conjoncture) Croissance économique Croissance Fluctuations du rythme de la croissance : alternance de périodes de crise Intégration mondiale Phénomène de mondialisation « économies-monde » successives La CROISSANCE ECONOMIQUE et ses différentes phases depuis 1850. La croissance est définie comme l’accroissement durable

discutent avec les employeurs - Congés payés - Sécurité sociale (représentant salarié + représentant employeur) - CE Depuis la fin du 19ème siècle, on peut comprendre les prérogatives des organisations syndicales : - Rôle revendicatif : grève, manifestation, réseau d’influence, lobbying… - Participation aux négociations collectives avec les employeurs à 3 niveaux : Entreprise : 1997 : loi sur les 35heures, il faut négocier dans les entreprises avec des représentants salariés et de la direction Branche

croissante à l’intégration de l’innovation par les firmes. Au XXe siècle, prédominance de la tendance à l’internalisation de l’innovation même si les pratiques antérieures se sont maintenues dans certains cas. C’est au sein même de l’entreprise industrielle que la recherche appliquée, que l’activité inventive a tendu à se développer. Le rôle initiateur de la chimie allemande dès la seconde moitié du XIXe siècle. L’adoption différée de cette stratégie dans les autres pays, à commencer par les

stables ne se sent à l’abri du chômage. Le travail est donc un facteur d’intégration de moins en moins efficace. Pour autant, il existe d’autres facteurs d’intégration : la famille, l’école, l’Etat ; l’intégration est donc multidimensionnelle. Finalement les français à travers ce sondage, révèlent qu’ils font du travail la condition essentielle de l’intégration. Cette perception des choses est renforcée par une remise en cause des autres facteurs d’intégration que sont la famille, l’école ou l’Etat. Peut-on

un changement de l'ordre social. Deux moments important après la révolution française, c'est la révolution industrielle. C'est la sacralisation de la raison, la croyance qui explique le monde et c'est aussi l'émergence de la technique étant définie comme l'ensemble des moyens pour l’efficacité, la rapidité. A. La révolution française. La révolution française remet en cause l'organisation basée sur les privilèges. La révolution est un changement de valeur, on n’acquiert pas par la propriété

Renaissance, c’est l’émergence d’économies-monde capitalistes (cf. Braudel), avec les Grandes découvertes et la constitution de réseaux de villes marchandes ;   2ème mondialisation : Les révolutions industrielles du XIXe siècle, où les États, par des politiques volontaristes, jouent un grand rôle, créent une société industrielle. Les échanges s’intensifient. La désindustrialisation des économies développées indique que l’on est passé à un autre stade ;   3ème mondialisation : Elle commence dans les années

et au Pérou échouent finalement du fait de l’efficacité de la répression, de la passivité paysanne et du légalisme de la plupart des communistes latino-américains. Au Nicaragua, le dictateur pro-américain Somoza est renversé en mars 1979 par la révolution sandiniste, d’inspiration marxiste. Le leader sandiniste du Nicaragua, Daniel Ortega, se rapproche de l’URSS et de Cuba, instaure une réforme agraire d’inspiration soviétique et soutient les maquis du Salvador et du Guatemala dont les gouvernements

S’il est incontestable qu’un lien demeure entre ces deux phénomènes, n’existe-t-il pas, aujourd’hui, des solutions propres à endiguer le développement des ces inégalités ? Après avoir observé le constat de ces inégalités au travers de ses manifestations et ses données (I), il serait opportun d’analyser les conséquences et perspectives de cet état de fait (II). I. La mondialisation, catalyseur d’inégalités. Si elle permet de multiplier les échanges, les flux et les richesses, la mondialisation