Faenza

John (dir.), Bestattungsrituale und Totenkult in der römischen Kaiserzeit, Stuttgart, 2010. SANDERS, Gabriel, Lapides Memores. Paı̈ens et chrétiens face à la mort : le témoignage de l’épigraphie funéraire latine, « Epigrafia e antichità, 11 », Faenza, 1991. SCHEID, John, Quand faire, c’est croire. Les rites sacrificiels des Romains, Paris, Aubier, 2005, «Honorer les morts », p. 189-209. SCHEID, John (dir.), Pour une archéologie du rite. Nouvelles perspectives de l’archéologie funéraire, Rome

leurs, madame. Haut. — N’en parlons plus, seigneur Gennaro. GENNARO. Je n’ai fait aucune lâcheté pour obtenir la vie sauve ; mais, puisque votre altesse me la laisse, voici ce que je puis lui dire maintenant. Votre altesse se souvient de l’assaut de Faenza, il y a deux ans. Monseigneur le duc Hercule D’Este, votre père, y courut grand péril de la part de deux cranequiniers du Valentinois qui l’allaient tuer. Un soldat aventurier lui sauva la vie. DON ALPHONSE. Oui, et l’on n’a jamais pu retrouver

résultat précédent, on obtient 9 mètres Torricelli : Le baromètre* Les fontainiers florentins : la nature a horreur du vide Verre retourné B. Evangelista Torricelli (1608-1647) Physicien et mathématicien italien, né à Faenza et mort à Florence, inventeur du baromètre. Les écrits de Galilée inspirèrent à Torricelli un traité de mécanique, De motu (Du mouvement), qui devait à son tour influencer Galilée. Invité à Florence en 1641, Torricelli assure les fonctions de secrétaire

tremp`rent de leur sang suit c e aujourd’hui la fortune du lion vert5 ; mais ceux de Rimini sont encore sous la dent du vieux loup et de son louveteau ; et ce sont eux qui ont d´vor´ le e e malheureux Montagne6 . Le lionceau du champ d’argent fait trembler Faenza et Imola, et change de parti comme de saison7 . Enfin la cit´ qu’arrose le Savio, se e partageant entre le mont et la plaine, respire et g´mit a la fois sous la tyrannie e ` et la libert´8 . Maintenant daignez, a l’exemple des autres, m’apprendre votre

après avoir conquis la Lombardie, il regagna bientôt la réputation que Charles lui avait fait perdre : Gènes se soumit; les Florentins devinrent ses alliés; le marquis de Mantoue, le duc de Ferrare, les Bentivogli, la dame de Forli, les seigneurs de Faenza, de Pesaro, de Rimini, de Camerino, de Piombino, les Lucquois, les Pisans, les Siennois, tous coururent audevant de son amitié. Aussi les Vénitiens durent-ils reconnaître quelle avait -été leur imprudence lorsque, pour acquérir deux villes dans la

après avoir conquis la Lombardie, il regagna bientôt la réputation que Charles lui avait fait perdre : Gènes se soumit; les Florentins devinrent ses alliés; le marquis de Mantoue, le duc de Ferrare, les Bentivogli, la dame de Forli, les seigneurs de Faenza, de Pesaro, de Rimini, de Camerino, de Piombino, les Lucquois, les Pisans, les Siennois, tous coururent au-devant de son amitié. Aussi les Vénitiens durent-ils reconnaître quelle avait -été leur imprudence lorsque, pour acquérir deux villes dans la

vu le jour. On a ainsi : - Les Sommes de l'Ecole de Bologne : La Somme de Paucapalea, écrite entre 1140 et 1148. La Stroma de R. Bandinelli, les Sommes de Rufin, Etienne de Tournai (première grande oeuvre de l'Ecole canonique française) et Jean de Faenza. Citons surtout le chef d'oeuvre d'Huguccio (1188). On en connait une trentaine pour la période 1150-1210. - Les Sommes de l'Ecole française ou anglo-normande : Par exemple : Somme de Cologne (ca. 1170) ; la Somme de Paris, celle de Munich etc. C

du moyen âge. Le nouveau tyran fut d’ordinaire le citoyen le plus riche de la défunte république, et, pour séduire le bas peuple, il ornait la ville d’églises magnifiques et de beaux tableaux. Tels furent les Polentini de Ravenne, les Manfredi de Faenza, les Riario d’Imola, les Cane de Vérone, les Bentivoglio de Bologne, les Visconti de Milan, et enfin, les moins belliqueux et les plus hypocrites de tous, les Médicis de Florence. Parmi les historiens de ces petits États, aucun n’a osé raconter les

l'hypothèse de fait. Des notabilia : remarques sur les textes de loi. Des quaestiones : discussions tendant à résoudre, d'après la dialectique, les questions non résolues par la loi. Quelques noms : Rufin ; Etienne de Tournai, Jean le Teutonique, Jean de Faenza, R. Bandinelli, Paucapalea. Un seul à retenir : Huguccio dont le chef d'oeuvre, un commentaire du Décret, date de 1188. 2 - Les décrétalistes La glose ordinaire de Concordia étant achevée, les canonistes travaillèrent sur les Décrétales et élaborèrent

leur exemple. Les grandes familles s’étaient rendues pratiquement indépendantes : les Colonna, dans la Sabine, les Caetani dans la Campagne romaine, les Orsini et les Farnèse en Tuscie, les Malatesta à Rimini, les Ordelaffi à Forlì, les Manfredi à Faenza et Imola. Soit par l’extension qu’ils avaient donnée à leurs domaines, soit en usurpant la tyrannie dans les villes, soit en arrachant le titre de vicaire de l’Église à la faiblesse des papes, pour se le transmettre ensuite héréditairement, presque