Fahrenheit 451 Ray Bradbury

nouveau commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d’éviter les utopies et de retourner à une société non utopique, moins parfaite et plus libre». Ce monde qui se veut parfait évoque déjà celui du Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ou d’Un bonheur insoutenable d'Ira Levin. Toutefois, Le Meilleur des mondes est plus souvent rattaché à la littérature générale qu'à la science-fiction, comme d'ailleurs 1984 de George Orwell auquel il est souvent comparé, les deux ouvrages

« Il n’y a pas besoin de brûler des livres pour détruire une culture. Juste de faire en sorte que les gens arrêtent de les lire » Ray Broadway En 1953, l’écrivain américain Ray Bradbury publie « Fahrenheit 451 », un livre de science-fiction. Dans ce roman, il critique la société de masse dans laquelle vivent ses personnages, et peut-être où nous vivons nous-même. Dans son histoire, la détention de livres ou la lecture de ceux-ci sont interdites ce qui entraine la population dans un total

de Troie n’aura pas lieu ; Electre Jean Anouilh : Antigone Jean Genet : Les bonnes Jean Cocteau Bernard-Marie Koltès Ecrivains étrangers : Kafka : La métamorphose Aldous Huxley : Le meilleur des mondes George Orwell : 1984 Bradbury, Ray : Fahrenheit 451. Gabriel García : Marquez : Cent ans de solitude Cinéma : Jean Renoir, C. Lelouch, A.Techine, C. Chabrol, C. Berri, etc.

Dans cette dernière page du Père Goriot, Balzac centre donc le regard du lecteur sur cette vision du monde. Dans d’autres romans, l’auteur s’applique plutôt à faire une satire de la société en dénonçant quelques vices à l’exemple de Fahrenheit 451 écrit par Ray Bradbury. Dans ce roman de science fiction, les pompiers n’ont plus le rôle de sauver les maisons du feu mais de brûler les livres, qui sont devenus interdits. Montag qui était au début un de ces pompiers finit par lire des livres et est obligé

suicide de  Marilyn Monroe  ou, en 1994, de Kurt Cobain sont deux exemples bien connus à l'origine d'un effet Werther. la littérature rend anti social : c'est vrai que la littérature peut rendre anti social , prenons l'exemple du livre Fahrenheit 451 de ray Bradbury . Dans cette ouvrage la possession de livres est considéré comme criminel . Pourtant la littérature est source de questionnement et de réflexion . Donc les gens n'ayant plus droit à la lecture , s'isolent d'une société , qui à tout

personnage de roman remet en question la société à laquelle il est attaché, que d’autres fois il se met en retrait de sa communauté et que quelques fois il s’oppose à la société. Effectivement, certains personnages comme Montag dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury remet en cause son mode de vie et celui de ses semblables et pour cela enfreint certaines règles en lisant des livres pour savoir si les interdictions de lire sont fondées. Nous pouvons donc dire que contrairement à ses compatriotes Montag

mères de Elisabeth Vonarburg. * Chroniques Martiennes de Ray Bradbury. * Cleer une fantasie corporate de L.L. Kloetzer. * Comme des Fantômes : histoires sauvées du feu de Fabrice Colin. * Conan de Robert E. Howard. * Connexion avec LáMØrt de Michaël SAILLIOT. * Coraline de Neil Gaiman. * Cristal qui songe de Theodore Sturgeon. * Dangereuse Callisto de Isaac Asimov. * De la poussière à la chair de Ray Bradbury. * Démences de Graham Masterton. * Dernières nouvelles

livre ? –quelle heure est-il ? » Mais il y a un autre point qui fait que les livres sont un outil de liberté pour le lecteur. En effet cesi lui permète de se forger un avis personnels et de ne pas se faire manipuler. Comme dans le livre Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ou le personnage principal Montag réussit à grace au livre à comprendre que la société qu'il défendait l'asservissait et a réussi à comprendre la vérité sur le système dans lequel il vit. En plus d'être un outil de liberté pour le lecteur

entre dystopie et utopie tient moins au contenu qu'à la forme littéraire et à l'intention de son auteur. Cette forme littéraire a été rendue célèbre par Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, 1984 (1948) de George Orwell, Fahrenheit 451 (1954) de Ray Bradbury. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont laissé à penser qu'une dystopie était la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. La dystopie peut-être une critique d'un système politique ou d’une

a donc plus de concurrence et en somme, plus de progression. Il y a d’autre utopie qui, sans le vouloir, trône la stagnation et des fois même la régression, en coupant toute liberté de libre arbitre de ces citadins. Dans le livre de Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, montre une soit disant utopie qui avait supprimé tous les livres de la société et donc empêché les gens d’avoir leur propre libre arbitre. Tel que le film Equilibrium réalisé par Kurt Wimmer, montre que pour avoir une cité utopie, il