Fahrenheit 451 Valeurs

comme la suite romanesque en sept tomes de Maurice Druon les Rois Maudits, traitent de la domination d’une ou plusieurs personnes sur la société et ne la reflètent donc pas. Mais ces personnes sont le reflet de la société et incarnent souvent ses valeurs. Ils sont les chefs et imposent leur autorité au peuple. Enfin, bien souvent les personnages se « normalisent » à la communauté dans laquelle ils vivent et à la personne à laquelle ils sont soumis, comme le personnage de Martin dans Inconnu à cette

critique du monde moderne (voir ci-dessous) ou, de façon moins évidente, l’aridité du désert, lieu de solitude mais personne. aussi d’enrichissement et de retour sur soi, ainsi que le puits, image du trésor enfoui en chaque chose et chaque • • • La valeur du Petit Prince – et l’une des explications possibles de son si large succès – tient en tout cas au fait qu’aucune interprétation ne peut parvenir à épuiser totalement la richesse de l’œuvre, dans laquelle chacun pourra faire de nouvelles découvertes

sujet * La scène de la vie quotidienne dans un milieu simple représenté d’une manière réaliste * Bonne composition (ligne 3 à 5 ) : chacun est à sa place et s’enchaîne. Une bonne composition et sa mise en valeur. Comment avec la description, Diderot arrive à mettre en valeur la bonne composition. Toute la description est faite sur le même schéma : indicateur de lieu + (est) + nom des personnages ou objets évoqués + expansion du nom = position des personnages. (-> donner 2 ou 3 exemples)

la fois l’exquise courtoisie qui règne dans le pays de l’Eldorado, l’équilibre idéal entre les satisfactions Matérielles (la nourriture) et spirituelles (l’esprit) et le bonheur de Candide qui découvre autant de merveilles. Un monde fondé sur les valeurs de la liberté et de l’égalité: une place essentielle est accordée aux femmes. La garde est constituée de femmes. Parallèlement aux « grands officiers »existent les « grandes officières » La liberté : cet idéal de liberté est représenté concrètement

bonheur, et voir en elle un idéal au-dessus duquel il n’y a rien. On veut alors être libres pour être libres, c’est tout, la liberté étant à elle-même sa propre fin. C’est l’un des enjeux du débat Hobbes/Rousseau : pour Hobbes la liberté n’a pas de valeur absolue, c’est pourquoi je peux l’amputer, voire y renoncer, en échange d’autres avantages : la paix, la sécurité (= une certaine idée du bonheur). Pour Rousseau, au contraire, la liberté ne se subordonne à rien d’autre, il n’est pas question d’y

de développement durable3, car en près de 25 ans elle aurait permis de maintenir un tissu de librairies indépendantes, une production éditoriale de qualité (environ 25 000 nouveautés par an), et un prix abordable du livre (avec même une baisse de valeur en 1981). Le diffuseur est chargé de la promotion du livre. Il organise des campagnes promotionnelles, s'assure de la mise en place du livre dans les différents points de vente et du réassort. Le distributeur a un rôle logistique. Il gère le stock

d’acheter pour une somme que le second juge disproportionnée par rapport à sa valeur esthétique. En effet, dès la séquence 2, l’action repose sur l’opposition de deux attitudes : alors que Serge « réjoui », fier d’avoir fait une bonne acquisition, dans l’attente d’une approbation, cherche à mettre en avant la valeur de l’Antrios ; Marc, qui ne voit pas le lien entre la qualité esthétique du tableau et sa valeur marchande, insiste sur l’absurdité de l’acte accusant son ami de se piquer d’art

Ogareff et pour Ferdinand Bardamu, il s'agit d'une sorte de double, appelé Robinson. Déjà, pour l’œuvre de Verne, l'ennemi à un nom et un prénom, ce qui fait qu'on a plus d’information sur cet ennemi, donc qu'il est plus important et qu'il a plus de valeur donc assez fort, alors que chez Céline, nous n'avons qu'un prénom. Michel Strogoff à l'air de dominer son ennemi avec une certitude inébranlable, et prêt à remplir sa mission loin d'être facile, alors que Ferdinand Bardamu, lui, ne se montre pas si

dans le roman policier, par exemple. Dans les thrillers ou les romans d'espionnage, aussi. La description permet de dévoiler l'intimité de l'homme. Décrire, c'est interpréter le réel, c'est le dévoiler...C'est mettre à jour un caractère, mettre en valeur une personnalité pour l'exposer à la vue du lecteur. C'est révéler, porter à la connaissance du lectorat, la nature profonde des sentiments d'une personne. Crébillon, [de son vrai nom Claude Prosper Jolyot de Crébillon, dit Crébillon fils -1707-177]

humains et développe une théorie des «correspondances», le second parle d’une «petite» réalité quotidienne) et par leur registre. Cependant ce sont deux textes poétiques. En effet, tous deux redonnent aux mots et à la réalité qu’ils évoquent une valeur inhabituelle, qui renouvelle la vision que le lecteur en a ordinairement. Ils recourent pour cela à divers procédés: tantôt ce sont des images (comparaisons et métaphores, notamment) qui rapprochent des notions ou des réalités que l’on n’associe