Fahrenheit 451

l’enterrement. Dans cette dernière page du Père Goriot, Balzac centre donc le regard du lecteur sur cette vision du monde. Dans d’autres romans, l’auteur s’applique plutôt à faire une satire de la société en dénonçant quelques vices à l’exemple de Fahrenheit 451 écrit par Ray Bradbury. Dans ce roman de science fiction, les pompiers n’ont plus le rôle de sauver les maisons du feu mais de brûler les livres, qui sont devenus interdits. Montag qui était au début un de ces pompiers finit par lire des livres

s'émanciper de cette société grâce à son imagination. Malgré qu'il insère un peu de réalité dans Madame Bovary, Flaubert réussi à mettre un peu de son imagination ce qui fait que ce roman n'est pas tellement fidèle à la réalité. Ray Bradbury dans Fahrenheit 451, et à travers son personnage principal qu'est Montag, il ne respecte pas la société dans laquelle il vit. On peut voir que Montag remet en cause son mode de vie et celui de ses collègues, amis, connaissances en ne respectant pas toutes les règles

utopies, description d'un monde idéal servant de repoussoir à la société que l'écrivain critique, ou encore les contre-utopies, un récit qui déroule la vision pessimiste d'un futur sombre, souvent totalitaire, à l'opposé de toute amélioration. Fahrenheit 451 de Ray Bradbury est un roman de science-fiction contre utopique à visée didactique, appartenant au genre de l'apologue. L'oiseau d'Amérique de Walter Tevis est également un roman de science-fiction contre utopique. Le charme de la fiction tient

than fiction », c’est-à-dire que ‘La vérité est plus une étrangère que la fiction’. Parfois il faut que des œuvres inventent des mondes horrifiants pour que nous voyions le danger dans le nôtre, comme le fait Le Meilleur des Mondes de Huxley ou Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. À première vue nous voyons ces sociétés comme complètement étrangères mais les parallèles que l’on retrouve entre ceux-là et la notre sont effrayants. Le romancier peut tirer des avantages de son imitation du réel, néanmoins

Miller. L’Histoire nous a démontré à maintes et maintes reprises que ce n’était pas possible. Elle nous a montré le chaos que cela engendrait. Et beaucoup à notre époque s’emploient à nous le faire comprendre par la fiction. Je pense notamment à Fahrenheit 451 écrit par Bradbury. Nous avons besoin des livres pour être des êtres humains qui s’emploient à utiliser toutes leurs capacités.

conscientisation ?) : cette considération tient là encore la forme d'un certain accent boétien, relayée par une littérature contemporaine qui s'est emparée du « mythe » de la masse conditionnée et soumise (Le meilleur des mondes d'Aldous Huxley, ou encore Fahrenheit 451 de Ray Bradburry, en passant par 1984 de Goerges Orwell constituent des exemples pertinents pour encadrer nos propos). C'est très certainement en privant le colonisé de certains droits, et notamment des droits fondamentaux, que celui-ci disposera

descriptions épiques (dont un enterrement sous-marin, un combat contre des calmars géants, etc.). Fahrenheit 451 est un roman de science-fiction dystopique de Ray Bradbury publié en 1953 aux États-Unis chez l'éditeur Ballantine Books. Il paraît en France en 1955 aux éditions Denoël dans la collection Présence du futur. Le titre fait référence au point d'auto-inflammation, en degrés Fahrenheit, du papier. Cette température équivaut à un peu moins de 233 °C. Dans un futur indéterminé, Montag est

minimum. Si, dans ce cas, il s'agit d'un régime inventé par l'auteur, le roman a été inspiré par des régimes totalitaires qui ont, eux, bel et bien existé (nazisme, stalinisme, maoïsme…). D'autres romans tels que L'Archipel Goulag de Soljenitsyne ou Fahrenheit 451   de Ray Bradbury évoquent également les effets de ce type de  régimes sur la conscience humaine.   Conclusion:   Nous avons vu que si l'Homme semble pouvoir contrôler sa pensée et si sa raison est la principale responsable de ses actes,

qui explique la disparition des utopies depuis un siècle hormis sous leur forme négative essentiellement critique en non plus théorique. Aujourd’hui le cinéma exploite toujours le côté spectaculaire de ces œuvres en adaptant de nombreux textes (Fahrenheit 451 de Bradbury adapté par Truffaut, ou 1984 de Orwell) ou en créant des anticipations contestatrices et critiques comme Brazil de Terry Gillian ou plus récemment encore The Island de Mickael Bay.

nazis ont, par exemple, brûlé de nombreux livres en particulier ceux écrits par les Juifs ; Les Communistes en URSS appliquaient une censure, les opposants ne pouvaient pas s’exprimer. Un livre illustrant parfaitement ce « lavage de cerveau » est Fahrenheit 451 de Bradbury : les pompiers brûlent les livres et emprisonnent les lecteurs, et personne n’a le droit de critiquer le régime en place, de s’y opposer. Cependant, certains livres ont colporté des idées racistes, sexistes, antisémites… Mein Kampf