Fahrenheit 451

politique, le social, l’économie, les religieux et la philosophie. Ou pour prévenir d'une menace qui pèse sur notre société. Exemples dans le cas de la contre-utopie : Le Meilleur des mondes annonce les dangers de la programmation génétique, Fahrenheit 451 et 1984 l'étouffement de la pensée par les régimes totalitaires. Pour conclure nous pouvons dire que, les évocations de contrées lointaines fournissent certes un dépaysement à même de procurer au lecteur le plaisir de l'évasion. Mais ce dépaysement

Zamiatine, 1984 d’Orwell, Le Meilleur des mondes de Huxley dénoncent en effet, avec une vigueur et une prescience saisissantes, la parenté foncière existant entre totalitarisme et utopie. La génération d’après-guerre prend le relais (R. Bradbury, Fahrenheit 451 ; H. Harriston, Soleil vert ; I. Levin, Un bonheur insoutenable) et parvient, avec le recul, aux mêmes conclusions : l’utopie où l’on force les hommes à être heureux, par la propagande incessante, et l’eugénisme, est incontestablement totalitaire

1960 : Tirez sur le pianiste 1961 : Tire-au-flanc 62, cosigné avec Claude de GIVRAY 1962 : Jules et Jim 1962 : Antoine et Colette (moyen-métrage du film à sketches L'Amour à 20 ans) 1964 : La Peau douce 1966 : Fahrenheit 451 1968 : La Mariée était en noir 1968 : Baisers volés 1969 : La Sirène du Mississippi 1969 : L'Enfant sauvage 1970 : Domicile conjugal 1971 : Les Deux Anglaises et le Continent 1972 : Une belle fille

réalité. 2 Le roman est il obligatoirement une fiction ? a) Le lecteur sait que l'auteur écrit de la fiction. . Il existe de nombreuses catégories de romans: les romans fantastiques, comme les romans de sciences fictions, par exemple Fahrenheit 451 de Bradbury, ne sont pas réalistes. Le lecteur le sait même si il se laisse toucher par le roman. . Certains romans semblent réalistes, mais ne le sont pas non plus, le lecteur ne se laisse pas prendre au piège, il s'agit de romans imaginaires

une grande visière opaque. Assis entre deux chaises, sur son tabouret à la librairie ou à la taverne, il n’ose bouger au risque de tomber… voire voler. La taverne où viennent biberonner les gens est comme les losanges dispensateurs de sommeil (Fahrenheit 451, Bradbury), ou le soma (Le meilleur des mondes, Huxley). Elle témoigne davantage d’une société de la diversion que du réel divertissement. «En apparence, nulle pression extérieure ne s’exerce donc sur moi.» Chez Trefflé a comme avantage de n’être

l’homme, où la « vraie nourriture » et la végétation n’existent plus comme dans certaines villes des cités obscures. Dans la littérature, on retrouve Le meilleur des Mondes (1932) d’Aldous Huxley, La planète des Singes (1963) de Pierre Boule ou Fahrenheit 451 (1953) de Ray Bradbury.J’ai également lu 2 superbes romans « les enfants rats »de Fancois Jay roman d’une contre utopie dans un monde post apocaliptyque et «le destin de linus hope » de Anne-Laure Bondoux qui est un romans distopyque.

temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Cette image de l'utopie est évoquée dans le roman Fahrenheit 451 où une nation tout entière n'accepte pas de lire des livres, de peur que cela ne lui ouvre les yeux par rapport à la fausse utopie dans laquelle elle vit. Le Meilleur des Mondes n’est pas une utopie mais une contre utopie, visant à prévenir les

par son histoire et sa manière d’écrire déconcertantes avec la présence de nombreux jeux de  mots, illustre bien ce propos.  Enfin, nous pouvons être séduits par la perspective de réflexion qu'il nous apporte,  comme cela est le cas dans les romans de science­fiction tel que ​ Fahrenheit 451 ​ de Ray  Bradbury, où l'on se demande si cela serait possible, dans une société future que de tels  actes, des autodafés, se produisent.    En bref, nous pouvons remarquer que d’autres perspectives peuvent  emmener le  lecteur à apprécier un roman

la réflexion sur la psychologie féminine ou, tout simplement et plus largement, sur la recherche du bonheur…). Mais des œuvres a priori plus divertissantes vont-elles aussi dans le même sens (Ex. de nombreuses œuvres de science-fiction, comme Fahrenheit 451 de Bradbury, suscitant une réflexion sur le rôle de la culture dans l’humanité…). Ainsi il est clair que le lecteur n’a pas toujours à attendre qu’une œuvre littéraire lui donne une leçon. Certes, la visée didactique, explicite ou implicite

développer une critique directe de la société européenne. L'utilisation d'un monde à part permet une dénonciation efficace qui permet parfois l'expression d'une pensée ou d'une leçon. Le monde à part évite la leçon à l'état pur. Par exemple dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, l'évocation d'un monde ravagé par la terreur de posséder un livre, objet interdit, permet l'expression de la leçon : "il faut lire". Ce monde à part sert donc à faire passer une grande leçon de morale au lieu de tenir un discours