Fahrenheit 451

culture générale en première année ECE ECS ECT Ouvrages à commander et lire obligatoirement avant la Rentrée Qu’est-ce que la culture ? - Amélie Nothomb Stupeur et tremblements édition Lgf collection Livredepoche, numéro 15071 - Ray Bradbury Fahrenheit 451 édition Gallimard, collection folio Science-Fiction, numéro 3 4,50 euros 5 euros - Hannah Arendt Condition de l’homme moderne édition Pocket collection Agora n°24 8 euros Thème 1 L'héritage de la pensée grecque et latine - Sophocle

: c’est le théâtre du monde, les acteurs nous représentent et ils jouent notre propre vie qui est considéré comme la pièce théâtrale elle informe le spectateur et lui dénonce ses tords . Une très belle image à la fin d'un film de F. Truffaut : Fahrenheit 451 - nous montrait un homme seul, se parlant à lui-même et avançant tel un sourd, dans une brume, inconscient de ce qui l'entoure, le monde c'est un peu ça ce qui nous amène donc à un notion de Mimesis, ce concept est discuté par Platon dans la République

qui éclaire notre société). Certains personnages de romans remplissent les deux fonctions : La Princesse de Clèves (évasion dans le temps et image des tourments de l’amour) ; Quatrevingt-treize (dépaysement historique et réalité historique) ; Fahrenheit 451 (science-fiction, mais aussi, indirectement, peinture de notre monde). Le personnage peut être une sorte de double du romancier, intermédiaire entre le lecteur et lui-même dans le roman engagé : il sert d’arme et a une fonction polémique et de

sont donc de la fiction, où parfois sont mêlés des créatures surnaturelles comme les Mutants dans la trilogie Enclave qui décrit un monde ravagé suite à la destruction de la nature. Cela ne concerne pas uniquement les problématiques écologiques : Fahrenheit 451 de Bradbury par exemple décrit un monde où l’on empêche la population de penser en l’abrutissant avec des écrans et en brûlant les livres, alors qu’ils sont la mémoire des Hommes. Tout roman a donc quelque chose à apprendre à ses lecteurs. Seulement

Culturelle est un témoignage de la barbarie du système de Mao Zédong. Par ailleurs, ce n´est pas si loin de celui de nazis ou du christianisme qui brûlaient les livres pour contrôler leurs populations. Ce le sprit qu´on trouve aussi dans le livre Fahrenheit 451. Mais, le contexte est interessant sourtout pour les européens non seulement parce que la litterature interdite est de Balzac, Dickens, Romain Rolland, Flaubert, Dumas, etc, mais aussi par le charme d´une culture tellement différente. En effet

pouvoir de dire non. Toutefois en ce qui concerne les opposants à la liberté, ceux-ci diront qu’elle n’est qu’illusion car en étant conscients de leurs actions et en ignorant les causes qui déterminent ces actions, les hommes se sentent libres. (fahrenheit 451, Ray Bradbury) II- L’Etat, l’ennemi de la liberté ? 1. L’Etat, par les lois qu’il impose, réduit le champ de la liberté : « la liberté d’un individu s’arrête là où commence celle des autres ». L’individu doit se gouverner lui-même. L’Etat

popularisée par des romans devenus des classiques du genre : Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine, Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne (1940) de Karin Boye, 1984 (1949) de George Orwell, Limbo (1952) de Bernard Wolfe, Fahrenheit 451 (1953) de Ray Bradbury, La Grève (1957) de Ayn Rand, La Planète des singes (1963) de Pierre Boulle ou encore Globalia (2004) de Jean-Christophe Rufin. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie

l'agneau dans lesquels la justice et la politique française sont ridiculisées. 3) Attirer grâce à l'imaginaire Le merveilleux utilisé dans certains contes fait appel à l'imaginaire du lecteur ; un monde où les pompiers brûlent tous les livres (Fahrenheit 451) ou bien encore un archipel où les valets deviennent les maîtres et inversement (L'île des esclaves). Ces œuvres sont généralement des utopies qui permettent au lecteur de concevoir une réalité idéale et sans défaut. II) Intéresser le lecteur

de cerf se cache des caractères et des défauts humains. C’est grâce à cette mise en abîme de l’histoire, que l’auteur capte l’attention du lecteur et peut dénoncer implicitement les injustices de la société. II/ Une intention didactique Dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury il est expliqué qu’un livre lu par obligation n’aura aucun effet sur le lecteur car celui-ci ne comprendra pas et ne retiendra pas l’enseignement moral, philosophique ou politique de ce dernier. Or, c’est très important. L’intérêt

- Joyce : Ulysse (1922) - Faulkner : Le Bruit et la Fureur (1929) - Virginia Woolf : Mrs Dalloway (1925), Orlando -George Orwell, 1984 (1948) -J.D. Salinger, L’Attrape-cœurs (1945, traduit en 1986) -Ray Bradbury, Fahrenheit 451 (1953) - Mouloud Feraoun : Le Fils du Pauvre (1950) - Rachid Boudgedra : La Répudiation (1969) - Driss Chraïbi : La Civilisation, ma mère ! (1972) - Tahar Ben Jelloun : La Nuit sacrée (1987) - Heinrich Böll : L’Honneur perdu