Faire Rire Pour Instruire Et Critiquer

et il met pour cela en scène un « messager », et c’est exactement ce que l’on retrouve dans Memnon ou la sagesse humaine. Mais Voltaire a-t-il voulu uniquement nous délivrer un enseignement dans ce conte ? N’a-t-il pas tout de même cherché à nous faire apprécier son récit ? On verra que dans Memnon, l’instruction est la chose principale à laquelle Voltaire s’est attelé, mais l’esthétique n’est pas pour autant négligé par l’auteur et qu’il reste tout de même un élément fondamental afin d’attirer et

Sujet Dissertation ; La Fontaine écrit dans sa préface aux Fables, « L’apologue est composé de deux parties dont on peut appeler l’une le Corps, l’autre l’Ames. Le Corps est la fable ; l’Ame, la Moralité. » Le critique Sainte-Beuve, quand à lui, écrit : « La Fable, pour la Fontaine, n’a été le plus souvent qu’un prétexte au récit, au conte, à la rêverie ; la moralité s’y ajoute à la fin comme elle peut. » (Lundis, VII). A quoi tient d’avantage le « pouvoir des fables », et plus généralement des

Registre Émotions Procédés COMIQUE Faire sourire, amuser (but critique : caricature) - Répétitions - Effet de contraste, de décalage - Comique de geste - Comique de mots (jeux sur le langage) - L’absurde SATIRIQUE Rire et moquerie Décrire en montrant les travers (défauts) - Formules ironiques - Caricature - Vocabulaire réaliste et familier, péjoratif - Se moquer d’une personne ou d’une institution IRONIQUE Moquerie, critique au second degré qui rend le lecteur complice

Ce type de théâtre évoque souvent l’amour contrarié par les pères, le thème de l’argent et fais la critique de plusieurs éléments. Le dénouement est souvent heureux. Le théâtre classique fait une critique de la société mais en faisant rire. « Placere et docere » Il est fait pour plaire et instruire. Il utilise un registre comique. Auteur célèbre : Molière ; Beaumarchais ; Marivaux -> 18ème siècle. La tragédie classique :

émouvoir et instruire le spectateur. La comédie, en dénonçant les travers humains, n’est pas un simple divertissement : Elle a une visée morale. Elle échappe alors partiellement aux critiques des religieux et des moralistes, l’accusant de détourner les hommes de leurs occupations sérieuses et honnêtes. Elle acquiert ainsi ses lettres de noblesse, surtout grâce à Molière, le plus important et le plus reconnu des auteurs comiques de cette époque. Au XVIIIème siècle, le genre subit les critiques de Diderot

fables : Le Loup et la Cigogne, la Tortue et les deux Canards, Le Lion devenu vieux, La Cigale et la Fourmi, Le Corbeau et le Renard, L’Enfant et le Maître d’école, Le Torrent et la Rivière, Le Rat qui se retire du monde, la Grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le Bœuf, et Le Corbeau voulant imiter l’Aigle. Pour répondre à cette question nous allons, d’une part, voir en quoi les Fables de la Fontaine sont loin d’être des comédies, et d’autre part, nous verrons les éléments qui nous permettent

François Rabelais prête autant à rire qu’il donne à penser ? pb : en quoi l’œuvre de Rabelais mêle-t-elle rire et savoir ? peut-on faire réfléchir tout en amusant ? c’est la problématique de tout apologue (récit bref et plaisant qui contient une morale implicite ou explicite) I.AU PREMIER ABORD, LE ROMAN SEMBLE UNIQUEMENT FAIT POUR NOUS FAIRE RIRE : pour cela le narrateur utilise un certain type de comiques qui semblent mettre à distance le savoir cf site (faire une fiche sur les différents types

|désespoir. | | |Faire sourire ou rire, amuser, souvent dans un but |- les effets de contraste et de décalage. | | |critique (caricature). |- le comique de geste (gifle, chute, etc.), de situation (quiproquo, écart entre attitude| |Comique

le dramaturge un créateur conscient de son art. Il y a différents genres de théâtre, celui sur lequel nous allons nous pencher est le théâtre comique. Plus libre dans sa forme et ancrée dans l’actualité politique du moment, la comédie cherche par le rire à souligner et à dénoncer les travers de ses contemporains. Farce, bouffonnerie, recours à la féerie, satire provocante ou encore personnages grotesques ou vieillards imbus roulés dans la farine par de jeunes gens, il s’agit de montrer aussi aux spectateurs

collectifs, des superlatifs et des adverbes d’intensité + intervention du surnaturel. • Ex : La Chanson de Roland (anonyme) ; La Légende des siècles de HUGO ; certains passages des romans de ZOLA. 5. Le registre fantastique • But : faire participer le lecteur au doute qui anime les personnages qu’il met en scène. Mais, il exprime aussi l’effroi devant l’intrusion de l’irrationnel, de l’inexplicable dans la vie quotidienne. • Indices : champ lexical de la panique, de l’affolement