Faire Rire Pour Instruire

ouvrage devant faire partie de la collection destinée à l’éducation du Dauphin, le fils aîné de Louis XIV, alors âgé de sept ans. Ce sont les Fables, que la Fontaine arrache à leur statut d’exercices scolaires pour les faire accéder au rang de compositions poétiques à part entière. Si l’auteur s’inspire des apologues du grec Esope et de l’auteur latin Phèdre, il transforme et renouvelle le genre en façonnant ses textes selon l’esthétique classique, dont l’un des préceptes est ‘’instruire et plaire’’

Au XVIIème siècle, les écrivains s'appuient sur des modèles antiques assignantune fonction morale à l'art. Le classicisme a comme principaux principes plaire et instruire. Le théâtre permet De plus, les dénouements qui châtient les méchants représentent des leçons morales. Dans le classicisme, la raison commande à l'art avant la beauté. Il veut présenter une image du réel mettant en avant ses caractéristiques essentielles et permanentes Les règles du théâtre classique sont début créer por

l'être qui se dissimule derrière une apparence. Ainsi, Molière nous montre que la société est un théâtre où tout le monde porte des masques. Dom Juan est un aristocrate qui vit dans l'instant présent et a recourt à toute une série de masques pour faire face aux différentes situations. Pour lui, le masque représente la liberté d'être qui il veut, quand il veut. Dom Juan revêt dans la pièce tour à tour les masques de séducteur: "peut-on rien voir de plus agréable?" (Scène 2 , Acte II), puis le masque

langage de son « maître » -Tirade : « on va te faire esclave », «  quand tu auras souffert » Arlequin confie à Iphicrate le destin qu’il lui fera subir : il est devenu impitoyable envers son ex- maître. -Arlequin se reconnaît lui même comme un maître et identifie Iphicrate à un esclave « je vais retrouver mes camarades, et tes maîtres », souhaite rendre Iphicrate esclave et lui même maitre. II/Une évolution dans la relation qui cherche à promouvoir le rire. 1) l’esclave se moque de son maître, le

principal tentera de se « rebeller » face à cet état de lieu et vivra une histoire d’amour clandestine avec une de ses collègue Julia. La société imaginée par Orwell et son terrible engrenage (haine d‘autrui, crainte, délation) avait pourtant tout pour faire disparaître l’amour de la surface de ce monde fictif, l’auteur ne s’y résout cependant pas, et laisse subsister dans le cœur de son héros la passion. Enfin, n’oublions pas que l’amour revêt d’innombrables formes, la passion amoureuse bien sur, mais

la période de l’humanisme, elle fut beaucoup critiqué pour le manque de vraisemblance de son univers. En écrivant ce livre, Rabelais voulait faire rire et instruire le lecteur, ce qu’il annonce dès le prologue en comparant son livre à un silène, une boite à l’extérieur amusante mais remplie de précieux médicaments. Il nous préviens donc qu’il faut faire attention au fonds des idées du livre et non seulement a son apparence. En effet, une des grandes particularités de ce livre est son coté irréaliste

grossière, bouffonne, et absurde, ce qui, au Moyen Age, fait rire. Connue depuis l’antiquité gréco-romaine, sa cote de popularité est montée en flèche au XII. Exemples : Le Garçon et l’Aveugle (XIIIe siècle), La Farce de Maître Pathelin. La moralité Jusqu’en 1550, ce genre littéraire et théâtral expliquait une morale de manière à faire rire les gens. Malgré son apparence de théâtre comique, la moralité servait surtout à instruire. Principe de moralité : Être ou ne pas Être Le monologue

le dramaturge un créateur conscient de son art. Il y a différents genres de théâtre, celui sur lequel nous allons nous pencher est le théâtre comique. Plus libre dans sa forme et ancrée dans l’actualité politique du moment, la comédie cherche par le rire à souligner et à dénoncer les travers de ses contemporains. Farce, bouffonnerie, recours à la féerie, satire provocante ou encore personnages grotesques ou vieillards imbus roulés dans la farine par de jeunes gens, il s’agit de montrer aussi aux spectateurs

auteurs français comme Molière. La comédie classique Sous l’impulsion de Richelieu, le théâtre classique naît en France à partir de 1635. Les théoriciens, comme l’abbé d’Aubignac, définissent les règles qui se rendent efficace, pour émouvoir et instruire le spectateur. La comédie, en dénonçant les travers humains, n’est pas un simple divertissement : Elle a une visée morale. Elle échappe alors partiellement aux critiques des religieux et des moralistes, l’accusant de détourner les hommes de leurs

il s’inspire de l’Absolutisme (référence à l’Ancien Régime) pour prendre parti pour ses rigueurs et ses lois s’opposant ainsi au romantisme. Il prend exemple sur les grands auteurs antiques comme Socrate, Homer et Aristote et ordonne aux auteurs de faire de même comme Molière qui à du recommencer plusieurs fois ses pièces à la convenance du roi. Les autres auteurs incontournables sont Nicolas Boileau dont on a déjà cité l'œuvre, Jean Racine et Pierre Corneille qui sont des dramaturges (écrivent des