Faiseuse d'anges

quelques années la dépénalisation de l'avortement de 1975 (loi Veil). Droit français[modifier] En France, l'avortement a longtemps été pénalisé, passible des travaux forcés à perpétuité, voire de la peine de mort (Marie-Louise Giraud, dite « la faiseuse d'anges », avorteuse pendant la guerre, a été guillotinée le 30 juillet 1943). La dépénalisation de l'avortement et l'encadrement légal de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) se firent en 1975, à l'époque où Simone Veil était ministre de la

n'était pas stérilisé. Elles étaient aussi souvent victimes de saignements importants ou de déchirures dans les parois de l'utérus. Ces pratiques aboutissaient parfois au décés de la femme. Ces avortements étaient souvent pratiqués par des "faiseuses d'anges", des femmes, généralement non médecin, qui agissaient volontairement, de façon à interrompre la grossesse non voulue d'une autre femme. b) Des nombres inconnus mais une IVG présente Le nombre d'avortements pratiqués avant l'adoption de la

salopes" de 1971, 343 femmes publiques qui ont eu le courage de dire qu'elles s'étaient faites avorter à une époque où cet acte était puni par la loi. Quant aux anges, il s'agit bien sûr de ces futurs bébés qui ne naitront pas, on parlait de "faiseuses d'anges" pour désigner les femmes qui pratiquaient l'avortement dans des conditions parfois inimaginables. J’ai été surprise de découvrir ce que les femmes devaient vivre il n'y a finalement pas si longtemps...

épreuve initiatique qui m'a révélé tout à la fois mes rapports avec ma mère, mon pouvoir de reproduction et le fait que j'étais porteuse de vie et de mort. Il m'a fait descendre là où je n'aurais jamais pensé aller, rencontrer des gens, comme cette faiseuse d'anges, dont je ne soupçonnais pas l'existence. Dès 1974, il a servi de cadre à mon premier livre, mais je ne l'avais jamais traité directement. Il y avait alors l'idée que si on racontait ça on allait donner des armes aux anti-IVG.  On a beaucoup

La petite voleuse Scènes - à l’école, le prof distribues des cadenas -> on a volé - un couple -> vol les cigarettes, un lieusette jupe, maison, detective vien, rouleau s’enerve, léa a un amant - marché, mere busato: faiseuse d’anges: frau, die ill. Abtreib. macht, boite d’allumetes - Elle voit une boite avec l’argent collecté, billiet dans fenêtre, le sacristain la voi, police, le jeune cure la laisse aller , rouleau un coup de pied, “elle veux gagner sa vie” -

l'État et les personnes qui y avaient recours encouraient même la peine de mort. Les avorteuses appelées « les faiseuses d'anges », qui aidaient les femmes à interrompre leur grossesse encouraient la même peine. Leurs techniques moyenâgeuses faisaient courir de gros risques pour la santé des femmes qui faisaient appel à leurs services. Le 30 juillet 1943, Marie Louise Giraud, faiseuse d'ange de la seconde guerre mondiale fut condamnée à la guillotine par le régime de Vichy. En 1955, la législation

femmes se rendaient généralement chez des faiseuses d’anges. Ces dernières utilisaient des objets pointus (comme des aiguilles à tricoter) pour percer la cavité utérine et faire décrocher le fœtus. Les avortements clandestins s’effectuaient dans des conditions déplorables, dangereuses, sans aucune hygiène et parfois les femmes gardaient des séquelles irrémédiables (stérilité, hémorragies internes), de graves maladies, voire le décès. Les faiseuses d’ange profitaient de cette situation pour demander

légalisation de l'IVG les femmes se faisaient avorter clandestinement a leur domicile. Ces avortements pouvait être fait par une amie ou bien un médecin mais cela était très chère car ils prenaient beaucoup de risques. Ces personnes étaient appelaient «faiseuses d'anges». Les risques encourues pour a femme était de 6 mois à 2 ans de prison et une amende de 18 000 à 72 000 francs. L'avorteur en plus de la condamnation pouvait se voir interdire d'exercer leur proffesion temporairement ou définitivement. L'acte

de chacun. Mais peu à peu les lois se durcissent, en 1920 il y a une interdiction totale d'avortement et de contraception, sous peine de comparaitre à la cour d'Assise. En 1939 une brigade policière verra le jour, celle-ci recherchera les faiseuses d'ange c'est à dire les personnes qui pratiquent des avortements sans avoir de diplôme de médecine. Deux ans plus tard, en 1941, les personnes participant aux IVG se rendront au tribunal de l'état, et un an plus tard, ceux-ci sont désormais punis

avorteuses. 1 siècle plus tard.... 1920 = Interdiction de la contraception et de l'avortement. 1923 = Le délit passe dans la juridiction des magistrats de correctionnelle. 1939 = Création de brigade policière chargés de traquer les faiseuses d'anges. 1941 = Les personnes suspectées d'avoir participé à un avortement peuvent être déférés. 1942 = L'avortement est reconnu comme un crime d'état, puni de mort. 1943 = Une avorteuse est exécutée (voir l'article sur Marie-Louise Giraud)