Falaise de Bandiagara

végétalisés, énergie solaire, production de biogaz, etc.). Ce quartier résidentiel accueille aussi un petit port de plaisance et un espace destiné aux loisirs des citadins. > Le pays dogon au Mali correspond à un site célèbre, celui des falaises de grès de Bandiagara, connu des ethnologues et aussi des touristes. Dans des conditions très difficiles (fortes pentes, peu de terre cultivable et peu d’eau), une paysannerie s’échine à cultiver du mil et des légumes ; l’emploi de l’énergie solaire pour puiser

hydrographie :Le Mali est constitué à 90% de vastes plaines et de bas plateaux, dont l'altitude n'excède pas 300 m. Quelques massifs montagneux se dressent au milieu de ces étendues plates, tels que les Monts Mandingues, l'Adrar des Iforas et la falaise de Bandiagara. La répartition de la population au sein du territoire malien est profondément marquée par les conditions bioclimatiques. Le réseau hydrographique s'articule autour des bassins versants de deux fleuves, tous deux situés dans la partie méridionale

l’inverse un abandon des techniques agricoles intensives dès qu’elles ne sont plus rendues nécessaires par la pression démographique sur le milieu. On peut citer l’exemple du peuple Dogon au Mali, qui s’était réfugié au VIè siècle sur le plateau de Bandiagara. Il s’agissait d’un milieu difficile : des sols gréseux ou latéritiques, un climat sec et une eau rare. Par ailleurs, l’espace était limité. Par conséquent, seule une agriculture intensive a permis d’atteindre des densités élevées : 80 hab/km².

l’inverse un abandon des techniques agricoles intensives dès qu’elles ne sont plus rendues nécessaires par la pression démographique sur le milieu. On peut citer l’exemple du peuple Dogon au Mali, qui s’était réfugié au VIè siècle sur le plateau de Bandiagara. Il s’agissait d’un milieu difficile : des sols gréseux ou latéritiques, un climat sec et une eau rare. Par ailleurs, l’espace était limité. Par conséquent, seule une agriculture intensive a permis d’atteindre des densités élevées : 80 hab/km²

végétalisés, énergie solaire, production de biogaz, etc.). Ce quartier résidentiel accueille aussi un petit port de plaisance et un espace destiné aux loisirs des citadins. > Le pays dogon au Mali correspond à un site célèbre, celui des falaises de grès de Bandiagara, connu des ethnologues et aussi des touristes. Dans des conditions très difficiles (fortes pentes, peu de terre cultivable et peu d’eau), une paysannerie s’échine à cultiver du mil et des légumes ; l’emploi de l’énergie solaire pour

végétalisés, énergie solaire, production de biogaz, etc.). Ce quartier résidentiel accueille aussi un petit port de plaisance et un espace destiné aux loisirs des citadins. > Le pays dogon au Mali correspond à un site célèbre, celui des falaises de grès de Bandiagara, connu des ethnologues et aussi des touristes. Dans des conditions très difficiles (fortes pentes, peu de terre cultivable et peu d’eau), une paysannerie s’échine à cultiver du mil et des légumes ; l’emploi de l’énergie solaire pour

 on voit se dessiner un système religieux comparable à  ceux que l’on trouve dans les populations plus riches en littérature orale ».  D’ailleurs qu’arrive‐t‐il lorsque l’ethnologue a enfin trouvé « celui qui sait » ?  Dans les entretiens de M. GRIAULE avec Ogotemmêli le vieux sage des falaises  de Bandiagara (en pays dogon), on a surtout été frappé par l’ampleur des  conceptions dogon liant l’ordre du monde à celui de la société ; du coup on a  presque oublié le contraste saisissant entre les propos décousus du vieux sage et  la ténacité raisonneuse de l’ethnologue qui