Falbala

j’étais suivi, qu’on marchait sur mes talons, tout près à me toucher. Guy de Maupassant, « Le Horla » Extrait 9 : ............................... Madame Lefèvre était une dame de campagne, une veuve, une de ces demi-paysannes à rubans et à chapeaux falbalas, de ces personnes qui parlent avec des cuirs, prennent en public des airs grandioses, et cachent une âme de brute prétentieuse sous des dehors comiques et chamarrés, comme elles dissimulent leurs grosses mains rouges sous des gants de soie écrue

rire est une faveur accordée au public. Il explique alors que l'audace de Julie qui dansait seule le dérangeait en utilisant la comparaison « me brûlait comme un acide » suivie d'une accumulation « dépouillée jusqu'à l'os, vêtements et chairs, falbalas et jupons, plastrons et manchettes » montrant ainsi l'intensité de la confusion qu'apportait la danse de Julie. Les questions rhétoriques « Qui n'a pas ses désespoirs ? » « que serions nous devenus » servent au narrateur de justifier sa participation

"Tâtez-y". Parfois, une échelle de rubans ferme entièrement le triangle du corsage. La jupe et le manteau de robe: robes de dessous et de dessus, sont garnies de plissés ou d'applications appelés: les "Prétintailles", ou bien, de volants: les "Falbalas". Les ornements sont très lourds. La cape est une sorte de fichu de taffetas, noué sur la poitrine. La coiffure: aux cheveux coupés courts, succède une coiffure en hauteur: la "Fontange": un chignon en arrière: le Rond, des Accroche-cœurs

toutes subjectivités, il reste objectif et ne laisse transparaitre aucune émotions. Les autres descriptions nous permettent de exactement savoir dans quel environnement se déroule la scène : « Des guirlandes vertes pendaient sur l'autel, orné d'un falbala en point d'Angleterre […] ne laissait voir que son front bleu, pareil à une plaque de lapis. » Nous nous rendons compte que les événements qui se déroule tout au long du livre et de cet extrait n’ont rien d’exceptionnel à part quelques passages comme

ours en peluche, après avoir découvert des corsets, dans une malle de sa grand-mère, qui deviendront les symboles de sa future marque. À 15 ans, il dessine les esquisses d'une collection de vêtements pour enfants[.] C'est après avoir vu le film Falbalas, de Jacques Becker, qu'il se décide à faire de la couture sa profession. Il envoie ses croquis à Pierre Cardin. Le jour même de ses dix-huit ans, il intègre la prestigieuse maison de couture, où il restera un peu moins d'un an avant de rejoindre

quelque chose, pareillement à l’art en lui-même. ANNEXES (7) 4. Qui est jean-paul Gaultier? Jean-Paul Gaultier ( voir annexe 8 ) est un couturier français de renom né le 24 avril 1952 à Bagneux. C’est durant son enfance en visionnant le film Falbalas de Jacques Becker qu’il décida de faire de la Haute Couture sa vocation. Les années 80 sont les années marquant le début de son succès, d’où son surnom qui est à présent « l’Enfant terrible de la mode ». En 2003, il crée en partenariat avec la maison

des expériences sur son ours en peluche alors qu'il avait six ans. C'est notamment dans une malle de sa grand-mère que le petit Jean-Paul découvre les corsets, objets qui deviendront les symboles de sa future marque. C'est après avoir vu le film Falbalas, de Jacques Becker, qu'il se décide à faire de la couture sa profession. Il envoie ses croquis à Pierre Cardin. Le jour même de ses dix-huit ans, il intègre la prestigieuse maison de couture, où il restera un peu moins d'un an avant de rejoindre

publique est, de la part de Marie-Antoinette, une audace anti-étiquette, qui choquera de nombreuses personnes puritaines attachées aux fastes de la monarchie. III. Les falbalas et accessoires : Dans les années 1770, les robes se couvrent de volants et de fanfreluches en tous genres, que l’on nome les « falbalas ». Les coquettes de l’époque s’en donnent à cœur joie. Rubans de soie, guirlandes de fleurs ou de perles, paillettes, bouillons de gazes, et étoffes en tous genres, sont

contemporain, et dispose Julie, antagoniste, dans une salle de balle d’un casino. Le jeu d’apparences est mentionné une fois encore, et l’auteur peint un portrait détaille et sordide du personnage. Il l’a décrit ainsi »visage déchire » (l.10), « falbalas et jupons » (l.12). Julie est donc victime de conditions sociales très médiocres et l’atrocité de sa figure. L’humour évoqué n’est pas comique mais joue le rôle d’une « bénédiction » (l.9). La jeune fille danse avec lassitude et est une source pudeur

Cours 1. « Pierrot » Séquence 3 Contes et nouvelles F. WURTH. Guy de Maupassant. 1/3 Classe : 4e Cours 1. « Pierrot ». Le statut du narrateur 1. Le narrateur n’est pas un personnage de l’histoire. Le récit est raconté à la troisième personne. 2. a. Dès les lignes