Fantastique La Peste

aurore ». De par sa nature gothique, enfin, elle symbolise la transition entre le Moyen-âge et la Renaissance, puisqu’elle-même est entre deux mouvements, roman et gothique. Elle devient alors une véritable « bible de pierre », dotée d’une aura fantastique à la « végétation capricieuse »… Personnages PRESENTATION DES PROTAGONISTES       – Quasimodo       – Esméralda       – Claude Frollo       – Phoebus de Châteaupers       – Pierre Gringoire       – Fleur-de-Lys Esméralda : très belle

____________________________________________________________ _____________________ "La femme du monde" (1836) Poème en prose Au cours de vingt-sept versets, la Mort, « fille de Satan », se réjouit des cris des « peuples dévorés par la peste », de l’œuvre sournoise d’une « fièvre » maligne, du travail de putréfaction, d’un « hideux choléra » envoyé sur terre. Elle se moque des médecins, de leurs thérapies et des mesures préventives qu’ils peuvent conseiller : « Il est vrai que les sangsues

Gamma, en grec, et de sa forme : Svastica = sens anti-horaire Swastika = sens horaire ( Le site d’Hacilar : représentation de la Nature par la poterie. Motifs des poteries : - symboles d’animaux - éléments humains - « style fantastique » était-ce une mode ? sous l’emprise d’une drogue (pavot, haschich) Les motifs des murs de Çatal Hüyük : sous les banquettes, on inhume les morts, on en a déduit l’idée de faire vivre les morts et les vivants ensembles. 3 – Originalité

s'intéresse beaucoup à la littérature et au théâtre. Ses lectures la conduisent vers Egard Allan Poe et Shakespeare. Elle s'investit dans la compagnie théâtrale de son établissement. C'est vers 12 ans qu'elle écrit ses premières pièces et poèmes dont la peste. Son adolescence se poursuit dans un contexte particulier: la guerre et l'après guerre. ybarraud Page 2 21/04/2010 En 1944, à l'occasion des vacances, Niki de saint Phalle, alors âgée de 13 ans, rencontre Harry Mathew Tout comme elle,

lie le mythe, l'imagination, la culture, qui porte sur les grands problèmes qui l'intéressent: l'amour, le bonheur, la fraternité; il cherche à établir un équilibre entre le bonheur individuel et le devoir vis-à-vis des autres; plusieurs aspects fantastiques; il n'y a pas d'autre conflit que verbal; l'intérêt dans ce théâtre est au niveau des idées, et surtout de cette nouvelle interprétation des histoires connues. Tous les personnages sont des assoiffés d'absolu, et de cette façon il est arrivé à

actif « rapacité » ou « avidité » et ἅρπαξ (hárpax) « rapace » ou « pillard ». • « Tous les hommes sont semblables par les paroles; et ce n'est que les actions qui les découvrent différents. » (Elise, acte I, scène première) • « Que la peste soit de l'avarice et des avaricieux ! » (La Flèche, acte I, scène III) • « Qui se sent morveux, qu'il se mouche. » (La Flèche, acte I, scène III) • « Sans dot ! Le moyen de résister à une raison comme celle-là ? » (Valère, acte I, scène V)

de masque était très répandu au Moyen Âge. C’est un masque de peste. Sienna le regarda, soudain inquiète. — Un masque de peste ? Langdon lui expliqua qu’en symbologie, la simple esquisse d’un masque à bec d’oiseau était synonyme de peste noire ; cette terrible peste bubonique qui ravagea l’Europe dans les années 1300, tuant jusqu’à un tiers de la population dans certaines régions. — Beaucoup, précisa-t-il, pensent qu’on l’appelle la peste noire – ou la « mort noire » chez les Anglo-Saxons – à cause

talents littéraires. Aucun passage ne sonne faux, aucun dérapage, aucune faute de goût. Parfois même, il s'autorise quelques envolées stylistiques, entre fable et poésie. L'homme ne craint plus, ni pour lui ni pour ses fils, le tigre ni le loup, la peste ni le croup. Pour ce qui est du vocabulaire, un premier domaine se distingue nettement d'un point de vue quantitatif. Il est encore omniprésent dans tout l'ouvrage. Il s'agit sans surprise, puisque l'essai est justement une quête des réponses aux

Pour eux peindre le vrai, c’est peindre la nature humaine, peindre l’homme. La peinture des passions humaines, leur analyse confère un caractère psychologique à la littérature classique. Le classicisme répugne à introduire le laid, le bizarre, le fantastique et réduit par là son domaine d’observation. Le beau seul devait être imitable. Le courant classique La vraisemblance et la bienséance sont à la base de l’imitation de la nature. La vraisemblance n’est ni le réel, ni le possible. C’est ce qu’un

l'instant même, j 'aperçus, tout justement à côté de moi, l'entrée d'un bâtiment carré, d 'aspect bourgeois. Il s'était dressé dans la brume comme une apparition de pierre, et, malgré la rigidité de son architecture, malgré la buée morne et fantastique dont il était enveloppé, je lui reconnus, tout de suite, un certain air d'hospitalité cordiale qui me rasséréna l'esprit. 1. Abrités protégés VILLIERS DE L’ISLE-ADAM. « A s’y méprendre », Contes cruels, 1883. 1. Identifier le type