Fantine Les Misérables

philosophie optimiste qui l'empêche de se rendre vraiment compte du mal  LES MISERABLES Auteur : Victor Hugo Date de parution :1861 Genre : roman Résumé : Jean Valjean libéré après 20 ans de bagne est arrêté pour avoir volé un chandelier chez évêque. Mais ce dernier déclare lui avoir donné => J.V. décide de ne faire plus que le bien. J.V. devient maire de Montreuil sous le nom de : M. Madeleine. Aide Fantine, puis sera arrêté par Javert qui découvre sa véritable identité. Envoyé au bagne

de français face aux privilèges des autres. Ce même constat a été effectué au XIXème siècle par Victor Hugo. Il va utiliser l’argumentation indirecte pour dénoncer les inégalités sociales dans son roman Les Misérables . A travers le personnage de Fantine, amenée à vendre ses dents et ses cheveux, puis à se prostituer pour pouvoir soigner sa fille, Victor Hugo montre la misère qui accable une partie de la population française de l’époque et montre les conséquences de celle-ci

à sa disposition pour être certain de ne pas manquer sa cible. On peut envisager ce poème comme un hymne aux « misérables », au peuple qui souffre, subissant une violence qui lui est incompréhensible. Dès 1851, Hugo fait du peuple un des personnages principaux de son univers littéraire. Dans cette perspective, la vieille grand'mère et son petit-fils annoncent Fantine dans les Misérables, victimes d'un pouvoir qui les écrase et contre lequel ils ne peuvent lutter.

II] Une œuvre engagée, au 18eme tout comme Aujourd’hui 1)Des revendications pour l’égalité Se bat pour : l’égalité hommes/femmes + lutte contre l’eclavageTxt qui résume la condition des femmes : opprimés , dominés, inéduquées, évincées de droits, misérables (ex : vendre leur corps pour survivre), aucun droit politique, dépendance des hommes Propose de nombreuses soltions : … égalité de traitement devant la loi Elle affirme ainsi dans l’article IX que « Toute femme étant déclarée coupable, toute rigueur

BAC BLANC ÉCRIT Objet d'étude : le roman et ses personnages. Texte A : Stendhal, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830. Texte B : Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, chapitre 52, 1844. Texte C : Victor Hugo, Les Misérables, 2ème partie, livre troisième, 1862. Texte A : [Julien, homme du peuple, est précepteur [1] chez M. et Mme de Rênal . Un soir il a l'audace de prendre la main de Mme de Rênal , qui finalement se laisse faire. Quelques jours plus tard, lors

donc à décrire le monde et les humains tels qu’ils sont, de manière objective et sans les idéaliser. C’est le cas de Victor Hugo, grand nom de la littérature française, qui est reconnu pour ses grandes oeuvres réalistes tel que Les Misérables paru en 1862. Dans ce roman, l’auteur décrit la vie de pauvres gens habitant Paris et la France provinciale du début du XIXe siècle. On remarque dans cette oeuvre un nombre de détails et de précisions sur les conditions de vie des personnages

pour dénoncer/argumenter • Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables, à travers plusieurs personnages touchants et vivants. Ce ne sont pas des types ; ont leurs défauts et leurs qualités => ressemblent au lecteur. Cf. Cosette, Fantine, Valjean… • Lorsque le narrateur est « je », l’identification est plus forte : Hugo utilise donc cette technique pour dénoncer la peine de mort dans Le Dernier jour

comme le petit garçon dont Hugo évoque la mémoire dans « Souvenir de la nuit du 4 », ou dans un accident comme la fille du poète des Contemplations ? Qui ne redoute de perdre sa mère comme Cosette dont le destin bascule après le décès de Fantine dans les Misérables ? Qui n’a jamais craint de voir disparaître celle qu’il aime, comme Eluard dans Le temps déborde ? b. Parce qu’elle est omniprésente Impossible, pour un poète, de vouloir « imiter » la réalité sans parler de la mort. Elle est sans cesse

texte de Cyrano de Bergerac, sous la forme d’un plaidoyer en faveur de l’humanité. Objet d'étude : Convaincre, persuader et délibérer. Corpus : Texte A - Pierre-Augustin de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, 1784. Texte B - Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Texte C - Pierre Perret, Lily, 1977.   Texte A -  Pierre-Augustin de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, acte III, scène 16, 1784. [Dans cette comédie, Figaro, le valet du comte Almaviva, est amoureux de Suzanne, une femme de chambre

physique.Mais en introduisant dans la Constitution cet élément sans doute jugé bien secondaire et ce, au-delà du XVIIIème siècle, elle fait de cette question des mœurs un problème qui touche tant les hommes que les femmes.Le personnage de Fantine dans Les Misérables, indique que les femmes seront encore longtemps considérées comme les seules responsables et garantes de la morale et des « bonnes mœurs ».On peut souligner ici l’approche très moderne, le sens très aigu de la justice dont l’écrivaine fait