Fantine

l’ecclésiastique, mais est bien vite arrêté par des gendarmes. L’évêque décide de plaider en sa faveur malgré le vol, et ce faisant, le sauve d’un emprisonnement. Cet acte de bonté décille enfin les yeux de Valjean, qui décide de devenir un homme de bien. Fantine est une jeune mère misérable. Elle doit élever seule sa fille Cosette. Une dispute lui vaut d’être arrêtée et interrogée très désagréablement par le commissaire Javert. Elle est cependant relâchée sous l’ordre de Monsieur Madeleine, maire de la ville

Dans ce tome s'entremêlent les deux destinées de Fantine et de Jean Valjean. Le livre s'ouvre sur le portrait long et détaillé de monseigneur Myriel, l'évêque du diocèse de Digne, où il vit très modestement en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Montrant un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette

l’avons dit, n’avait pas eu peur. » L1. Jean Valjean vient de retrouver la fille de Fantine, il va pouvoir tenir sa promesse. Il cherche alors à le vérifier par plusieurs moyens. Chaque fois, ses réactions sont éloquentes. Il y a des énumérations de verbes d'actions tel que « s’arrêta ; posa ; pencha; mit » . L’auteur décrit avec précision les gestes de son personnage pour essayer de trouver une ressemblance avec Fantine ,la mère de Cosette, il essaie de discerner les trais du visage de Cosette . Le

document 2 est un extrait du roman Les Misérables, de type narratif, écrit par Victor Hugo en 1881. Ce texte décrit la scène dans laquelle Fantine, fille-mère de 22 ans, va laisser sa petite fille Cosette à la garde de la famille Thénardier, n’ayant pas pour le moment les moyens de l’élever seule. Idées principales à retenir : Fantine, en raison de son statut de fille-mère, a été mise au ban de la société. Privée de travail, elle négocie le

il se jette à la mer et parvient à s'échapper en nageant sous le bateau. Personne ne retrouvant son corps, on le croira mort. Jean Valjean recueille Cosette Ayant retrouvé la liberté, Jean Valjean souhaite honorer la promesse qu'il avait faite à Fantine : libérer Cosette. Il arrive à Montfermeil la veille de Noël. Cosette est toujours en haillons. Alors que la petite servante se fait réprimander par La Thénardier, Jean Valjean prend sa défense. Puis la terrible mégère envoie Cosette, à la nuit tombée

ans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très chichement dans son diocèse de Digne en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Son

(page) - l’intérêt documentaire (page 71) - l’intérêt psychologique (page 87) - l’intérêt philosophique (page 109) - la destinée de l’œuvre (page 118) - des commentaires de passages (pages 125-) Bonne lecture ! RÉSUMÉ Première partie : ‘’Fantine’’ Livre premier : ‘’Un juste’’ Évêque de Digne depuis 1806, M. Myriel, qui avait eu une jeunesse agitée avant de devenir Monseigneur Bienvenu, et qui, jusque dans son âge viril, montra un caractère passionné, violent, reflète un grand esprit de

un coin : « Histoire d’un saint. Histoire d’un homme. Histoire d’une femme. Histoire d’une poupée. » C’est tout. Pas une ligne pendant douze ans. Pris dans la tourmente de la révolution de 1848, Hugo suspend l’écriture des aventures de Cosette, Fantine et Valjean. Puis vient l’exil. Il faudra attendre 1860 pour que le patriarche de Guernesey note : « Tiré Les Misérables de la malle aux manuscrits. » Et sur le manuscrit, conservé à la Bibliothèque nationale, on peut lire, au milieu du chapitre «

jambes de la petite Cosette tremblaient sans cesse comme une feuille. Ses mains elles étaient abimées d’engelures. Tous les soirs dans son petit lit elle pleurait de peur que les Thenardier la tue, d’angoisse de ne plus jamais revoir sa mère Fantine et de crainte de mourir de faim. Le son de sa voix, son regard de tristesse, ses moindres gestes, son visage sombre, ses pleures, exprimaient en une seule idée: la crainte. Mandy 403 Il n'y a ABSOLUMENT aucun frais d'adhésion pour un compte

il parle de la misère et de la famine très présente à cette époque, dans ses romans. Il expose ces fléaux dans les Misérables notamment, l’un de ses ouvrages le plus connu, ou il raconte le temps d’un roman, l’histoire de Jean Valjean, Cosette Fantine et Marius. Au théâtre il met en scène des pièces principalement de drame romantique, et l’une de ses œuvres théâtrale la plus célèbre est celle de Ruy Blas. Il entreprend aussi de nombreux engagement dans la politique est s’exprime souvent à