Fantômas

surréalisme est considéré par ses défenseurs comme étant dynamique et dialectique dans sa pensée. Le surréalisme aurait apparemment été vu dans diverses sources telles que : • Clark Ashton Smith • Montague Summers • Horace Walpole • Fantomas • The Residents • Bugs Bunny • La bande dessinée • Le poète Samuel Greenberg • T-Bone Slim. On peut dire que des volets surréalistes furent trouvés dans des mouvements tels que le Free Jazz (Don Cherry, Sun Ra et Cecil Taylor)

abondant en acteurs et réalisateurs, de personnalités connues. En France c'est les débuts des réalisateurs Abel Gance, Germaine Dulac, Léonce Perret et Marcel L'Herbier avec sans aucun doute le premier succès du cinéma français, un serial intitulé Fantomas, un film en 5 épisodes, réalisé par Louis Feuillade qui enchaînera par « Les vampire ». Les Français marquent, à l’exemple des États-Unis le cinéma, avec des célébrités tel que Charles Prince, la grande Sarah Bernhardt venue du théâtre et Max Linder

du surhomme en tant que héros moderne se retrouve en germe dans les romans-feuilletons du XIXe siècle, comme Rodolphe dans Les Mystères de Paris, Sir Percy Blakeney dans Le Mouron rouge, Edmond Dantès dans Le Comte de Monte-Cristo, ou plus tard, Fantômas (ce dernier étant un antihéros) 3. Umberto Eco voit tout particulièrement dans le Comte de Monte-Cristo un prototype du héros surhumain, en tant que personnage « aux qualités exceptionnelles, [qui] dévoile les injustices du monde et tente de les

premier, fait du cinéma. Le cinema muet A sa naissance, le cinéma est muet. Outre Méliès, l’autre grand nom du cinéma muet est le burlesque Max Linder qui sera plus tard la source d'inspiration de Charles Chaplin, et Louis Feuillade réalisateur des Fantômas et les Vampires. On conserve aujourd'hui peu de films de cette période héroïque qui fut pourtant productive. Le cinéma muet dure alors pendant plus de 40 ans. Voyage dans la Lune Le cinema parlant L'enjeu linguistique était déterminant. Le premier

L'image devient une composante usuelle de la culture, la photographie devient plus familière. La littérature qui se développe est une littérature d'évasion (Delly; G. Leroux et les Rouletabille; M. Leblanc et les Arsène Lupin; Allain & Souvestre, Fantômas) Sous leur apparente frivolité, la culture et surtout la littérature sont choses politiques, la chanson, en particulier, se révèle efficace moyen de propagande (J.-B. Clément, le Temps des Cerises; E. Pottier, L'Internationale(1871)... On retrouve

figures tracées à l'imitation des héros proprement dits. Les romans d'amour, les romans populaires ou d'aventures, les romans policiers sont dominés par des personnages demeurant eux-mêmes – et les mêmes – tout au long de la narration. Lagardère, Fantômas, Sherlock Holmes, Tarzan, les commissaires Maigret et San Antonio expriment chacun un trait majeur d'une société, mais ce trait, idéal et synthétique, est cette fois accusé, fixé une fois pour toutes. II - Les aspects du personnage Ces figures

restent longtemps compréhensifs envers ceux qui tuent par « amour, jalousie ou désarroi ». Il faut attendre les années 80 pour que les violences sexuelles soient observées. La violence migrent aussi dans l’imaginaire avec les « romans noirs » (Fantômas 1911-1963), films d’horreurs, jeux vidéo. A ces risques de recrudescence des crimes s’ajoute la naissance d’une violence légitime des Etats entre eux. XIII le krach écologique La planète encombrée

passe en déménagements constants. En 1912 sa mère se suicide par noyade dans la Sambre. Magritte, ses deux frères et son père habitent l'année suivante à Charleroi. Il fait ses études à l'athénée de la ville et se passionne alors pour les films de Fantômas, lit Stevenson, Edgar Poe. Lors de la foire de Charleroi, il rencontre en 1913 une fille de treize ans, Georgette Berger, dont le père est boucher à Marcinelle. Ils se rencontrent régulièrement sur le chemin de l'école. Les premières œuvres de Magritte

rendent l’âme, les anges trépassent). D’autres anges, issus de la bibliothèque, se concentrent dans cette même phrase et dans le livre, des personnages sans visage, des situations sans histoire, des cadres sans toiles, autant de figures de fiction fantoma- tiques en quête d’avatars. « Elle réimprovisait ce qu’elle avait lu, ou ce qu’elle avait bien voulu en retenir, désornant, désharmonisant, quêtant anxieusement le thème perdu, recherchant l’essence du thème, dans une harmonie minimale » (p. 221)

son journal. L’intérêt est qu’il fidélise un public. Au cinéma, les nouveauté sorte le vendredi, permettant au journaux dans parler, et ainsi le samedi soir, l’ouvrier pouvais aller voir le film. Le feuilleton qui avait beaucoup marché en 1913 est Fantomas. Hearth et Gaumont à partir de ses idées inventent le ciné-roman : une histoire, tout les jours, qui sort en feuilleton dans le journal du matin. Le cinéma va rebondir le vendredi, au cinéma, combinant l’ensemble des morceaux publier lors de la