Farce

et la pastorale sont préférées aux tragédies à l’antique qui ne sont guère jouées que par les élèves des collèges jésuites, les farces et les spectacles de la commedia dell’arte manifestent le théâtre comique vivant du début du XVIIe siècle. La farce est un spectacle comique populaire proposé sur des tréteaux de foire où l’on voit un meneur de jeu (Tabarin est le plus célèbre) brocarder de manière burlesque des maîtres pédants et trop sûrs d’eux. La commedia dell’arte, théâtre comique populaire

acte. Molière en est le grand représentant. Pour lui, « l’emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes » (Préface du Tartuffe, 1664). Si la farce est uniquement comique, les « grandes comédies » de Molière mêlent aussi comique et tragique. Ainsi Dom Juan, pièce complexe au carrefour du baroque et du classicisme, comporte des scènes de farce, de comédie, mais aussi de tragédie. La comédie est visuelle : le comique de gestes, les déguisements, les quiproquos en sont la marque. Les changements

se procurer un parapluie et un grand caban » (ligne 38) ) nous entraînent plutôt dans un monde de dérision et de farce. De plus, dans ses désirs, on peut constater que Père Ubu ainsi que Mère Ubu ridiculisent les attributs royaux en comparant le traditionnel sceptre à un parapluie et le manteau d’hermine à un vulgaire manteau de marin. Nous pouvons aussi observer un comique de farce dans cette scène. Les époux sont sur le point de se frapper tout en conspirant contre le roi de Pologne (« Que ne

de Lucette et augmente encore la confusion générale, dérègle définitivement les rituels codifiés de la bourgeoisie, en plongeant tout le monde dans le chaos et réduisant cette signature de contrat, très officielle, très sérieuse à un pur moment de farce et ce jusqu’à l’absurde pour le plus grand plaisir du spectateur, car la vérité n’est pas encore connue de la baronne et de sa fille qui continue à penser que le malaise de Lucette est produit par le mot « fiancé », qu’elle ne peut entendre prononcer

d'enthousiasme. 3ème axe) 1ère partie : anecdote de Perette, cas particulier emprunté à une farce médiéval. 2ème partie, LA FONTAINE généralise à travers 2 questions réthoriques. Vers 32 : particulier, vers 33, 34, 35 : généralise car englobe toute le monde, autant les sages que les fous. Puis LA FONTAINE termine au particulier en évoquant son propre cas. Conclusion Cette fable montre comment, s'inspirant d'une farce, LA FONTAINE parvient à railler un trait profond de la nature humaine: la propension

Molière est un auteur français de théâtre du XVIIe siècle. Il est très célèbre pour ses comédies, considérées comme des chefs-d’œuvre de la littérature française. Les formes de théâtre chez Molière 1. La farce et la comédie La farce est une forme qui exagère et simplifie la nature des personnages et l’action, pour provoquer un rire immédiat. Molière connaissait les farces de bateleurs qu’il voyait à Paris, celles des comédiens italiens et celles des auteurs de l’antiquité. C’est ainsi qu’il a

société de son temps et en proposant un discours sur l’Homme en général. Les genres comiques au théâtre existent depuis l’Antiquité et de nombreuses pièces sont adaptées à partir de ces chefs-d’œuvre anciens. Mais la comédie se nourrit aussi de la farce, venue tout droit du MoyenÂge. C’est un genre varié, qui s’inspire aussi du théâtre italien et de la commedia dell’arte. On peut donc partir de l’idée selon laquelle la comédie est un creuset où se trouvent des influences anciennes et des préoccupations

Dissertation Sujet : Les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-t-ils qu’a faire rire ? Intro : Dans les œuvres théâtrales, plusieurs genres emploi le registre comique, comme la comédie, le Vaudeville, le drame bourgeois ou encore la farce. Certains écrivains ont écrits un bon nombre de comédie comme par exemple Molière, Jean Giraudoux ou encore Yasmina Résa. On se propose dans cette dissertation d’étudier où et comment le registre comique peut faire rire et s’il peut servir à autre

théâtre -culturels : contextes historique et littéraire du XVIIè siècle -littéraires : auteurs et œuvres majeurs du siècle, connaissance des genres théâtraux (comédie, tragédie, tragi-comédie, farce) En quoi peut-on dire que L’École des femmes relève à la fois de la farce et de la « grande comédie ? » Œuvre intégrale Molière, L’École des femmes (1662) Textes complémentaires Corpus 1 : caractériser un texte théâtral 1. Molière, L’Avare, Les personnages 2. Molière, L’Avare

vais quand même : c’est pour faire plaisir au roi mais aussi c’est l’occasion de sortir et « d’aller se promener ». « ils sont tombés » : comique, burlesque, farce. Marie essaie de raccrocher les choses, de faire que le royaume tiennent bon car sinon il n’y aurait plus de roi et plus d’espoir : « essaye de les repêcher » à dérision, farce. « Si j’avais … » : impuissance de la part du roi qui se heurte à l’évidence : la disparition des valeurs en général, de la compétence en particulier. Marie