Fascination

à particule qui l’extirperait de sa condition sociale modeste, bien trop humble pour elle. " Elle prononça à mi-voix :" La baronne de Cernès. La Baronne Galéas de Cernès. Paule de Cernès..."Comment expliquer une telle fascination pour le milieu aristocratique, une fascination qui l’a conduite directement dans une impasse ? L’auteur se risque à une explication : " La jeune fille avait voulu venger l’enfant sans doute. Et puis ce mariage, c’était une porte, croyait-elle, ouverte sur l’inconnu, un

comparant au poète, éloge du soleil p.126 Le Cygne Ridicule : vouloir quitter son habitat naturel Dédié à Victor Hugo -> exilé comme Baudelaire Paris en mouvement, Paris change « Là » appuie la mélancolie p.130 Les petites vieilles Fascination - Dégout : Monstres, état misérable, mais l’horreur tourne aux enchantements. Jeune –> beau L’étrange : Dans tout ce qui est laid on peut trouver du beau 2 côtés de la ville : beau et laid -> gloire passé et actuel p.136 Le crépuscule

(strophes 1 à 4) → Portrait des petites vieilles comme des êtres ayant perdu toute humanité Vers 1è à 20 (strophe 5) → Fascination du poète pour les yeux des petites vieilles Vers 21 à 32 (strophes 6 à 8) → Méditation sur la mort Vers 33 à 36 (strophe 9 → Retour aux yeux des petites vieilles Problématique : En quoi Baudelaire, à travers la description des petites vieilles et la fascination pour leurs yeux, transforme-t-il ce portrait de la laideur en éloge de la beauté ? *** Le titre « Les petites

dégout de l'alcool & leur rêve d'une vie paisible. Ms présence inquiètante de l'alambic. Lecture du texte Pb: Comment ce texte met il en évidence le phénomène d'attraction/répulsion envers l'alcool ? Axes: I. Le refus de l'alcool II. La fascination de l'alcool I. Refus de l'alcool exprimé surtout en début & en fin de texte par les 2 perso. S'exprime dir. par des rèf. au passé, ou ind. à travers le rêve d'une vie rangée. Passage au DD (ex: l.d, 8, 21 ) ou se trouvent exprimés prudence &

: « On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments », disait André Gide. Le fait est qu'une œuvre tire souvent sa saveur d'une exploration du Mal, à côté de laquelle la vertu paraît parfois fade et convenue. A quoi attribuer cette fascination du lecteur et du spectateur pour les personnages auxquels leur enracinement dans le Mal donne une couleur particulière ? Les domaines d'application : les fictions romanesques, théâtrales, cinématographiques. La recherche du plan : le libellé

est doté : l'inconnu/mystère/aventure qu’elle représente => solitude /petitesse/ fragilité  : l'homme FACE immensité de l'océan => fascination /attraction : homme POUR mer (malgré : conscience de sa propre vulnérabilité/danger) Quatrains 3/4 :l'impuissance de l'homme FACE mer => lutte inégale et sans issue => cherche : comprendre : forces

deuxième partie, le couple se rend à l’opéra de Rouen. Problématique : en quoi cette scène témoigne t-elle d’une confrontation du personnage d’ Emma à la réalité et au rêve que lui permet l’opéra ? En quoi l’opéra exerce t-il un pouvoir de fascination sur le personnage d’ Emma ? I - Une description réaliste (un début d’opéra) 1) description organisée - on peut observer dans le premier paragraphe la présence de connecteurs qui montrent une certaine progression dans la description

lorsqu’il traduit les livres d’Edgar Poe qu’il se découvre une fascination pour le mal. L’auteur écrira en 1861 son recueil principal, les Fleurs du Mal d’où est tiré notre poème, le mort joyeux, qu’il a rédigé à 40 ans. En 1866, Baudelaire connait de graves problèmes de santé, ce qui mènera à son décès l’année suivante. Les principaux thèmes abordés dans les œuvres de Charles Baudelaire sont grandement influencés par sa fascination pour le mal : corruption, révolte et pensées malsaines. Époque

particulièrement, sur la passante. --> Image idéaliste de la femme = ça sera la dernière image que le poète gardera d’elle après sont passage. Vers 6-8 --> Fascination sur l’expression du poète ( « moi » ; « moi je » ) -> redoublement de la première personne. Ici l’auteur imobile, la femme est elle en mouvement. On remarque donc bien la fascination que l’auteur éprouve. « Buvait » --> intésité du désir et de l’ivresse lié à la contemplation du regard de la femme. L’homme dévisage la femme et se perd

divertissement est un homme plein de misères (fragment 142 de l'édition Brunschvicg), indiquant ainsi l'interrogation moraliste de l'auteur qui veut montrer que l'homme pour sortir de son ennui existentiel par le divertissement peut aller jusqu'à la fascination du Mal. C'est dans le monde figé du grand silence blanc de l'hiver montagnard que cet ennui atteint son paroxysme qui peut conduire au meurtre ou au suicide. L'action du roman se déroule dans une région que Giono connaît bien, le Trièves, entre