« A une passante »
Intro :
- Ce poème est dédicassé à une anonyme («une» pronon indéfinie). Cette inconnue est définie essentiellement pour son mouvement. - Grâce au titre on peut constater que ce poème est placé sous le signe de la rapidité et de l’éphémère. @ - Dans ce poème, on a ici un acte de la vie quotidienne, c-t-d, une rencontre hasardeuse avec une des inconnues de la capitale. --> C’est donc l’occassion pour le poète d’évoquer sous le mode lyrique le tragique de la condition humaine. - Ce sonnet et considéré comme une arme spécifiquement urbain où l’amour est lié à l’impossible possession.

Problèmatique :
Comment Baudealaire renouvelle-t-il la lyrique amoureuse en adoptant une esthétique de la modernité, qui rend compte de l’inaccessibilité de l’idéal féminin ?

Axes :
- Construction du sonnet qui renprend un thème romanesque --> Celui de la rencontre amoureuse - Rencontre --> Ambivalance d’un idéal féminin qui conduit le poème dans un nouvel état, le spleen. I - La rencontre : une scène romanesque II - Les significations symbolique de la femme

I - La rencontre : une scène romanesque
1) - Un récit en deux grandes parties
Dans ce poème, il y a opposition traditionnelle du tercet et du quatrin dans le sonnet. Vers 1-9 --> Récit de la rencontre avec l’emplois de l’imparfait (description) et du passé simple (action délimitée dans le temps, une suite d'action brève dans le temps). Vers 9-14 --> Méditation du poète, il analyse ici les répercussions intérieures provoquée en lui par cet événement. Discours adressé directement à la passante ( P.C ; P.S ; Présent ; Futur )

2 ) - Le cadre de la rencontre
- Le décors est mis en place dès le premier vers. La rencontre se déroule dans un univers urbain La rue est personnifiée ( «hurlait» ), voir animalisée. - Cet univers urbain renvoi à la fois au titre de la section et du poème, « A une passante » --> la ville est un élément essentiel de la modernité. - L’agressivité de cet ville est souligné par : «