Fascination

toujours de pair ? Longtemps, cette question ne s'est pas posée. Le progrès, en particulier celui des sciences et des techniques, semblait mu par un élan naturel vers l'amélioration du bien-être de l'homme sur Terre. Il y avait, d'un côté, la fascination par les découvertes des secrets du fonctionnement de notre univers, de la pomme de Newton à la relativité d'Einstein. De l'autre, l'enthousiasme pour les applications de l'électricité, l'automobile, l'aviation ou, bien entendu, la machine à laver

vaisseau qui roule») et à la fin ils s’embrassent. Avec sa description du mouvement, Baudelaire communique que cette attirance est dangereuse. Il décrit le pouvoir que cette femme exerce sur lui : comment les mouvements de la femme exercent une fascination sur lui, pour finalement faire un parallèle entre un baiser et la morsure fatale d’un serpent. L’auteur souligne comment malgré ceci, il ressent du bonheur par sa présence et par l’attention que cette femme lui porte «un ciel liquide qui parsème

Japon féodal particulièrement durant l'ère Edo, et qui exalte "l'orgueil qui doit être sorti de son fourreau, comme une bonne lame, pour qu'elle ne rouille pas" (Hagakure, Jocho Yamamoto). De même, en Europe, la période romantique voit une forme de fascination artistique et littéraire pour l'orgueil et de la révolte qu'il peut entrainer, comme le note Camus dans ses analyses (dans l'Homme révolté notamment).

la pièce va dans le sens de faire réfléchir le public, tous les moyens sont bons pour y arriver. Dans cet ordre d’idées, Meyerhold s’inspire grandement, depuis le début de sa carrière, de sa fascination qu’il a pour la technologie des machines, en réaction avec la révolution industrielle. De cette fascination découle une méthode de jeu particulière à Meyerhold qui s’appelle la biomécanique. Cette méthode avait pour but de créer un système de jeu plastique où les acteurs doivent « […] se servir du

déteste d’être faible ? >> poète en errance, en quête d’un amour perdu, malheureux • Strophe 2 : une quête épique ➔ « Je suivis ce mauvais garçon » : passé simple : action de 1er plan, surprenante >> Fascination ou emprise du poète en quête de son amour ? Fascination appuyée par les allitérations en -s. ➔ « qui sifflotait …poches » >> allure nonchalante et assurée du voyou : image du rabatteur. Les valeurs morales semblent s’inverser : voyou/sûr de lui ; poète/honteux. >>

dans un poème en prose intitulé « A la mystérieuse : j’ai tant rêvé de toi ». La thématique du rêve et du sommeil est particulièrement chère à Desnos, comme d’ailleurs à tous les surréalistes : il partage avec ses amis Breton, Aragon, Eluard… la fascination pour le pouvoir de l’inconscient. Tous se livrent à des expériences diverses pour explorer le continent mystérieux de l’onirisme, et Breton salue à plusieurs reprises les dons exceptionnels de medium de Desnos, par ailleurs sujet au somnambulisme

affectif provoquera des illusions pour le scientifique (l'image du feu par exemple pourra obstruer la connaissance de l'électricité2). Mais cette même image produira en littérature des effets inattendus et surchargés poétiquement : son pouvoir de fascination sera très important (chez Novalis ou Hölderlin3 par exemple pour l'image du feu). La rêverie poétique « sympathise » intimement avec le réel, tandis que l'approche scientifique est « antipathique » : elle prend ses distances avec la charge affective

assassin. I-Un incipit oppressant A- Suspense d'un roman policier B- Dramatisation d'une scène de cinéma C- Décor contrasté II-Un personnage complexe: les tourments d'un assassin A- Les hésitations d'un novice révolutionnaire B- La fascination pour la mort CONCLUSION de l'analyse littéraire: Nous avons donc, dans cet incipit, découvert un personnage dévoué très fermement à une cause, mais qui n'en oublie pas ses principes pour autant. Au travers de cette scène qui semble durer

Staline = « communiste habillé en maréchal, dictateur tapi dans sa ruse. » En réalité, Staline est quelqu'un qui n'hésite pas à imposer à son pays « une dépense inouïe de souffrances et de pertes humaines » De Gaulle dévoile une sorte de fascination pour Staline, malgré la cruauté de ses actes. Par exemple, il évoque « son charme ténébreux ». C'est un dirigeant « hors-normes » par sa volonté de puissance et sa cruauté. De Gaulle voit en lui « un conquérant à l'air bonhomme » prêt à tout pour

Rousseau ------------------------------------------------- Biographie Il est né en 1712 à Genève, et l’un des écrivains classiques dont la fascination sur ce monde moderne ne cesse de croître. Ayant perdu sa mère à sa naissance, Jean Jacques Rousseau;passe les premières années de sa vie dans la Protestante République de Genève, d’abord avec son père : un fantasque horloger ; puis chez un pasteur de Bossey en 1772. Errant sur les chemins de vie, Jean Jacques Rousseau est recueilli par Mme