Fascisme

valeur à la personne humaine. Le fascisme, le nazisme et le stalinisme ont en commun d’avoir été des régimes totalitaires exigeant : – une totale obéissance de la population, – la direction par l’Etat de la vie privée et de la conscience de chacun, – l’arrestation massive des opposants, – la perte des libertés, la répression, la manipulation de l’opinion, la personnalisation du pouvoir. Pourtant, ces 3 formes de totalitarisme ne se confondent pas : le fascisme est spécifiquement italien ; le

premier paragraphe de la page 67 jusqu’à fin du premier paragraphe de 69. Ce passage représente la naissance de la mafia en Sicile. Du deuxième paragraphe de la page 69 jusqu’à fin de l’avant dernier paragraphe de la page 70 Ce passage représente le fascisme avec la stratégie de la guérilla. Du dernier paragraphe de la page 70 jusqu’à l’avant dernier paragraphe de la page 72. Ce passage représente les années troubles de l’Italie. Du dernier paragraphe de la page 72 jusqu’à la fin de l’article page

TOTALITAIRES. (SOVIÉTIQUE, NAZISME ET FASCISME ) INTRODUCTION : Au lendemain de la première guerre mondiale, le démocratie semble l'emporter partout en Europe ( ex : France : Front populaire ), à l'exception de la Russie qui est devenue communiste depuis 1917. Cependant le parti fasciste en Italie et le parti nazi en Allemagne, prennent le pouvoir et vont éliminer leurs opposants. --> Le mot totalitaire est né en 1923. C'est l'italien Giovanni Amendola opposant au fascisme qui définit cette notion, comme

politico‑théoriques des sciences sociales ‑ aujourd'hui souvent méconnus ou simplement censurés par les positions dominantes du champ universitaire ‑ ont tenté de comprendre les phénomènes de psychologie collective liés à l'avènement des divers fascismes, États totalitaires et régimes autoritaires. Leurs thématiques de réflexion et leurs programmes de recherche ont permis de défricher de vastes champs d'investigation des phénomènes sociaux de masse: les rapports entre la sexualité (fantasmes) et

idéal pour l’Italie de montrer sa puissance. Techniquement, l’Italie a gagné la guerre avec les Alliés, mais cela n’a rien apporté aux Italiens. De cette déception naît le fascisme. C’est donc une guerre gagnée mais en même temps une guerre perdue. La crise mondiale de 1929 joue aussi un grand rôle. De 1929-1945, le fascisme a fortement influencé l’identité nationale, car il a voulu faire de l’Italien un homme superpuissant qui devait dominer le monde. Mussolini était à la base un modèle pour Hitler

Histoire: synthèse « les régimes totalitaires: le nazisme et le fascisme. » Le régime totalitaire est souvent associé à la dictature. Instaurée en par Hitler en Allemande, en Russe par Lénine et puis par Staline, en Espagne par Franco, l'État veut tout contrôler par le biais d'un seul parti politique. Caractéristiques d'un régime totalitaire: Une idéologie imposée à tous Un parti unique contrôlant l'appareil d'État, dirigé idéalement par un chef charismatique, Un appareil

Il utilise pour cela des squadre (escouades), sortes de milices, issues en grande partie des rangs des arditi (venant des troupes d'élite démobilisées en 1918) nationalistes, dont l'uniforme est la chemise noire — qui deviendra un des symboles du fascisme. Le roi d'Italie Victor-Emmanuel III lui confie le gouvernement à la suite d'un ultimatum demandant le pouvoir, appuyé par la mobilisation des Fasci. La "Marche sur Rome" du 30 octobre 1922 n'aura donc pas été, formellement, un coup d'État mais bien

a ensuite l’antithèse qui marque le renversement du système le 25 avril 1945, c’est-à-dire la récupération du pouvoir par les paysans. Et puis, il y a la synthèse, la scène finale du film, qui notifie que le patronat a survécu à la disparition du fascisme et donc que le combat des classes, malgré le changement apparent, n’est pas encore terminé. Chacune de ces parties fonctionne selon une esthétique qui lui est propre : la première doit être classée dans un registre purement épique, la seconde

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . chAPitRe 8 l’extRême dRoite : le fascisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.1. Ses origines historiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.2. Ses idées maîtresses. . . . . . . . . . . . . . . . . .

et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive. Benito Mussolini exaltait sa « farouche volonté totalitaire », appelée à délivrer la société des oppositions et des conflits d'intérêts[5]. Giovanni Gentile, théoricien du fascisme, mentionna le