Fausset

cause à effet, ex : « si tu ne travailles pas, tu vas rater tes examens ». - La concession (admettre que l’adversaire a en partie raison pour mieux démontrer qu’il se trompe sur le plus important). - le raisonnement par l’absurde (on démontre la fausseté d'une thèse en s'appuyant sur les conséquences absurdes qui s'en suivraient si on l'adoptait) ex : la démocratie sans le pouvoir du peuple est-elle encore une démocratie ? - l’analogie (comparer deux situations pour établir une conclusion ), ex :

caractère et se montre dans la splendeur de son personnage. Il s'adresse d'abord aux délégués en utilisant le vocatif "mes amis" (vers 24) qui donne un ton paternaliste à son discours. Ce ton qui veut faire croire à l'acceptation d’un secours montre la fausseté du personnage qui leur laisse un espoir qui ne sera pas concrétisé. Il utilise pour cela l’alexandrin " les choses d'ici-bas ne me regardent plus " (vers 25) pour se retrancher derrière le mode de vie qu'il a choisi : une vie de solitude

Alceste, celui-ci doit-être le parfait reflet de ce que l'on pense, et juge le comportement de Philinte comme une trahison de son âme. Alceste s'indigne de même conte les " obligeants diseurs d’inutiles paroles". Et se pose alors la question de la fausseté du langage. Le langage est ainsi détruit s'il est utilisé de même en toutes circonstances, avec toutes les personnes. C'est donc là une question essentielle posée par la pièce : comment utiliser le langage ? Et cette question peut autant être posée

carrière politique ", troisième partie des Mémoires d’outre-tombe, Chateaubriand rappelle la stature politique du soldat et de l’homme d’Etat en la personne de Napoléon. Mais il lui reproche surtout d’avoir été un ennemi de la liberté ; il dénonce la fausseté historique et le despotisme du mythe napoléonien, autour duquel tout le peuple s’est établi après sa mort. Cependant, Chateaubriand apprécie le caractère " éclairé " de ce despote, notamment pour la réorganisation de la société française

accepter une partie de la thèse de l'adversaire pour donner davantage de force aux réfutations, aux objections et à sa propre thèse. - La réfutation apporte un argument contraire aux arguments adverses. - Le raisonnement par l'absurde montre la fausseté d'une thèse en présentant les conséquences  dépourvues de sens auxquelles elle conduirait. La visée est alors polémique.   Les procédés au service de l’argumentation L'argumentation repose presque uniquement sur la maîtrise des techniques

puissance, et en tant que discours. Mais Macbeth n’est pas un enquêteur comme Œdipe, lui se place délibérément du côté de l’aveuglement, et ne cherche qu’à se rassurer. La parole du destin est essentiellement perverse, « maîtresse d’erreur et de fausseté » : elle intègre et préprogramme en quelque sorte les erreurs de son destinataire, condamné à être d’abord un outil, puis un jouet du destin. Remarque sur Hécate : il y a une polémique shakespearienne pour savoir quel est le rôle d’Hécate dans

des nonnes (présence d’une métaphore), ce qui reflète l’emportement du personnage et de ses propos. Puis nous observons un portrait caricatural des hommes, femmes et du monde avec une accumulation hyperbolique des défauts avec pour dominants la fausseté et la duplicité. Ici Perdican reprend le point de vue pessimiste de Camille, cependant l’adversatif « mais » va renverser l’image péjorative car il va montrer que l’union de ces deux êtres avec l’amour va sublimer leurs défauts. Cette tyrade est

ces hommes, qui vont alors se confronter à la religion. Partie 4 On voit alors « Gaga en religieuse en rouge » qui prie et finit par ingurgiter son chapelet, c'est le concept de la femme qui se nourrit de la religion pour en avaler toutes ces faussetés. Apres sa, au milieu des danseurs, apparait une « Gaga à la croix à l'envers », avec des talons également placés à contre-sens de son visage, cela signifie un retournement jusque dans les idées. La vraie Lady Gaga apparait dans la dernière partie

philosophie classique privilégie en effet la mémoire qu'elle considère comme une faculté utile, positive parce qu'elle aide au jugement. L'imagination, en revanche, est souvent dévalorisée. Pascal, par exemple, dit qu'elle est "maîtresse d'erreur et de fausseté" Le sens du problème Il s'agit de savoir si l'imagination n'est qu'une mémoire qui ne se contrôle plus. Autrement dit, n'est-elle que cela ou est-elle aussi autre chose ? Présupposé de la question Il est présupposé que l'imagination est

jugement qui par hasard se trouve être vrai renvoie, tout comme un jugement faux, à un mauvais usage du libre arbitre. Mais ce jugement ne laisse pas d’être vrai, même s’il trouve à sa racine le même mauvais usage du libre arbitre qui engendre la fausseté. Nous voyons ainsi comment chez Descartes, contrairement à ce qui se passe chez Spinoza, c’est bien la présence de l’objet qui a la fonction de rendre le jugement vrai et comment l’absence d’évidence ne le rend pas faux mais seulement douteux