Fausset

Afin de savoir si la liberté est une illusion, il nous faudra ainsi nous interroger sur la possibilité de juger de la liberté à l’aune des critères de la vérité et de fausseté, de l’apparence et de la réalité. Si apparence il y a, cette apparence peut-elle être attribuée à la liberté sans faire disparaître en même temps que l’illusion le champ de la décision et de l’action ? L’enjeu de notre devoir sera alors de montrer que la liberté ne peut se faire des illusions sans se perdre qu’à la condition

discours sous le signe de la clarté. Pour le locuteur, il s'agit d'exposer sa thèse et de l'étayer, en s'appuyant sur des arguments et des exemples précis. Dans le fragment « Imagination » des Pensées, Pascal condamne cette « maîtresse d'erreur et de fausseté » et bâtit un raisonnement structuré. Il commence par donner une définition de l'imagination pour ensuite énumérer les risques qu'elle présente pour la raison humaine. Puis il étudie deux exemples concrets qui < viennent illustrer la force de

définie comme étant la conformité de ce que l’on dit avec ce qui est. Elle nous est souvent présentée comme un dogmatisme. La vérité concerne l'ordre du discours, c'est pour cela qu'elle n'est pas synonyme de réalité car le réel n'a ni vérité ni fausseté. Elle se définit comme étant l'adéquation du réel avec la pensée, mais aussi en étant la concordance entre la parole et la pensée. Nous pouvons émettre l'idée que la vérité aurait deux sens. En effet, d'une part nous discernons la vérité subjective

dédouble : D’un coté on peut porter un jugement de fait. En ce sens on se contente de dire ce qui est, de décrire la réalité. Ce jugement sera vrai ou faux. De l’autre on peut porter un jugement de valeur qui ne portera pas sur la vérité ou la fausseté mais sur le bien et le mal D’une façon comme d’une autre on perçoit déjà la difficulté qu’il y aura à juger sa culture. D’un coté comment décrire objectivement sa propre culture : il manque la distance nécessaire entre un sujet et son objet

travers la forme épistolaire de son roman dans le portrait visuel fait des personnages. En effet, les différentes étapes de « construction » de l'apparence permettent de voir Merteuil déshabillé, la seule fois dans le film, ce qui pourrais insinuer la fausseté de ce personnage. La longueur temporelle de l'habillement, préparation de l'apparence, peut être vue comme une métaphore de la patience des deux personnages pour la réalisation de leur mauvais dessein. En effet, la caractéristique principale des

adhésion et cependant continuent leur cogitation. Il s'agit des croyants, qui regroupent les deux autres caractères. L'esprit ou l'intelligence humaine veut trouver la vérité. La raison tend vers la vérité, mais risque de rencontrer la fausseté. Démarche rationnelle de l'Homme qui cherche la verité. Il peut se trouver dans diverses situations. Il ne s'agit pas de plusieurs formes de croyance mais plutôt de plusieurs situations dans lesquelles on peut se retrouver en cherchant la vérité

Le doute est-il une limite a l’esprit critique? Dans ce sujet nous avons une mise en relation entre le doute qui est un état d’esprit hésitant à se prononcer sur la vérité ou la fausseté d’une définition et qui suspend donc le jugement, et l’esprit critique qui est un libre examen de l’esprit qui n’accepte d’autre autorité que celle de la raison. Ainsi nous pouvons nous demander l’influence que peut créer le doute sur l’esprit critique nous allons don nous interroger sur ce qui peut nous amener

renseigne sur l’état d’esprit de la récente veuve. L’antithèse qu’on retrouve à la ligne 3 et qui oppose les termes « veuvage » et « profiter » nous conforte sur la légèreté des mœurs du personnage. Le personnage principal de l’extrait dégage aussi une fausseté qui intrigue le lecteur. La Marquise de Merteuil apparaît en effet comme une femme hypocrite et calculatrice. Elle est en premier lieu maîtresse dans l’art de la dissimulation. On retrouve dans le texte un rythme ternaire mis en valeur par des expressions

reposent notre vie et notre salut. LUCRECE, De la Nature, livre IV, traduction A. Ernout, TEL Gallimard, pp.161-162 CORRECTION Introduction [Thème du texte formulé comme un problème:] Comment déterminons nous la vérité ou la fausseté de nos croyances sur le monde si ce n’est par les sens ? La vérité étant l’adéquation d’une affirmation avec la réalité, et cette réalité n’étant accessible que par l’expérience sensible que nous en faisons, il semble clair que nos sens sont à l’origine

peut avoir une troisième fonction: celle de dénoncer certains comportements humains, certaines mœurs d’une époque précise. Les fables de La Fontaine situent leurs actions à la cour du roi Louis XIV à Versailles (17ème siècle): elles critiquent la fausseté et l’hypocrisie des courtisans qui font tout pour gagner la reconnaissance du roi. La cour n’est en fait qu’un théâtre où règne l’hypocrisie et dont le metteur en scène est le roi, le rôle de comédien étant incarné par les courtisans. Une critique